Clodion (sculpteur)

sculpteur français
Clodion
Clodion par Vital Gabriel Dubray (1857). au palais du Louvre, Paris.
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 75 ans)
ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Surnom
ClodionVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalités
duché de Lorraine (jusqu'en )
française (à partir de )Voir et modifier les données sur Wikidata
Activité
Maîtres
Lieu de travail
Mère
Anne Adam (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Conjoint
Catherine-Flore Pajou (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Parentèle
Distinction

Claude Michel, dit Clodion, né le à Nancy et mort le à Paris, est un sculpteur lorrain, puis français[1].

Biographie modifier

Formation et années romaines modifier

Claude Michel est le fils de Thomas Michel et Anne Adam, et s’inscrit donc dans la dynastie de sculpteurs Adam avec ses frères Sigisbert François (1728-1811) et Pierre Joseph Michel (1737-1787). Il est très vite appelé « Claudion », « Clodion », c’est-à-dire « le petit Claude », pour le différencier d’un frère plus âgé. Dès 1756, il est élève de l’école du modèle à l’Académie royale de peinture et de sculpture, logeant chez son oncle Lambert Sigisbert Adam. À la mort de ce dernier en 1759, il entre comme élève de Jean-Baptiste Pigalle. Le , il est lauréat du premier prix de sculpture avec un bas-relief représentant Absalon, qui fait tuer son frère Amnon dans le festin (aujourd’hui disparu), avant d’être pensionnaire de l’École royale des élèves protégés à partir de [2].

Le , il reçoit son brevet pour l’Académie de France à Rome. Brillant modeleur, il y réalise des petits sujets en terre cuite qui plaisent aux amateurs. Un de ses premiers chefs-d’œuvre est la Minerve (1766)[a], qui fait référence à la Minerve antique de la collection Giustiniani[2].

Ce séjour constitue un environnement propice à l’épanouissement d’une culture artistique et littéraire à laquelle l’avait sensibilisé son oncle Lambert Sigisbert Adam. Clodion se distingue par son charme et son élégance, à la fois en tant que modeleur, mais également par la taille du marbre. En 1766, il reçoit la commande d’un groupe en marbre pour le duc de la Rochefoucauld, et en 1768 d’une Vestale destinée à Catherine II de Russie. Il décide de prolonger son séjour romain au-delà des trois ans réglementaires et ne quitte Rome qu’en [2].

Carrière en France et second voyage à Rome modifier

En 1773, il montre un choix d’œuvres à l’Académie royale de peinture et de sculpture, en obtenant ainsi l’agrégation. Dès , il expose au Salon les modèles en plâtre représentant Jupiter, Hercule, Le Fleuve Scamandre desséché par les feux de Vulcain, une esquisse pour un monument funéraire et des bas-reliefs d’inspiration antique[2].

Entre 1773 et 1774, il se rend pour la deuxième fois à Rome, où il réalise de délicats bas-reliefs en terre cuite. Il en profite pour récupérer des blocs de marbre pour ses commandes pour le jubé de la cathédrale de Rouen, et pour la galerie de l’hôtel de l’abbé Terray[2].

Sa carrière prend de l’ampleur après l’avènement de Louis XVI en 1774. En effet, Clodion s’implante dans le monde des amateurs fortunés construisant des hôtels particuliers dans les nouveaux quartiers parisiens. Il exécute d’importants bas-reliefs pour l’architecte Alexandre-Théodore Brongniart dont le Triomphe de Galatée pour Jacques-Louis-Guillaume Bouret de Vézelay (d)  [2].

En 1782, il exécute deux frises en stuc pour la cour de l’hôtel de Bourbon-Condé, ainsi qu’un décor pour la salle de bains de l’hôtel de Besenval, dans un tout autre esprit. En effet, l’appareillage en pierre de tonnerre met en valeur un cortège de déités déshabillées. Au centre de la pièce, une Jeune femme dénudée fait écho à la Jeune Grecque endormie de Joseph-Marie Vien, peinte pour Besenval. À cela s’ajoutent deux frises sur les amours des Dieux inspirées des Métamorphoses d’Ovide[2].

 
Adélaïde Labille-Guiard, Portrait de Madame Clodion (1783), Paris, musée du Louvre.

En 1778, il reçoit sa première commande royale pour un portrait de Montesquieu assis, s’inscrivant dans la série des « Grands hommes de la France » prévue pour orner la Grande Galerie du Louvre. Les vingt-sept statues réalisées pour ce projet ne seront jamais installées. Le modèle en plâtre qu’il réalise pour le Salon de 1779 est si largement critiqué que le marbre qu’il présente en 1783 est basé sur un modèle ultérieur. En revanche, les deux modèles en terre cuite qu’il réalise, en 1784, pour le concours pour l’érection d’un monument public commémorant l’ascension en ballon des frères Robert destiné à être exposé au jardin des Tuileries à Paris, font forte impression[2].

Multipliant les œuvres légères et virtuoses jusqu’à la Révolution, sa clientèle est telle qu’il n’a plus besoin d’exposer au Salon avant 1801. À l’avènement de la Révolution, il se fait discret mais, — contrairement à une légende tenace — ne se retire pas à Nancy. À partir de 1795, sa carrière redémarre et, durant l'Empire, il poursuit sa production de brillantes terres cuites, en parallèle de commandes prestigieuses, parfois monumentales[2].

En 1781, il épouse Catherine Flore Pajou (1764-1841), fille du sculpteur Augustin Pajou et d'Angélique Roumier, et sœur de Jacques-Augustin-Catherine Pajou ; ils divorcent en 1794[b].

Œuvres modifier

Les années romaines modifier

  • Le Fleuve Scamandre desséché par les feux de Vulcain, vers 1760, plâtre, 69 × 90 × 56 cm, Semur-en-Auxois, musée Dumont[2],[4].
  • Le Fleuve du Rhin séparant les eaux, 1765-1766, terre cuite, 35 × 39 cm, Londres, Victoria and Albert Museum[5].
  • Le Fleuve du Rhin séparant les eaux, 1765, terre cuite, 29,7 × 45,7 × 30,5 cm, Fort Worth, musée d'Art Kimbell.
  • Minerve, 1766, terre cuite, H. 47,6 cm, New York, Metropolitan Museum of Art[2]
  • Vase au décor de dix femmes et un enfant tenant un oiseau, 1766, terre cuite, H. 39 cm, diam. 18,4 cm, Paris, musée du Louvre[6].
  • Vase au décor de cinq femmes faisant un sacrifice, 1766, terre cuite, H. 38,9 cm, diam. 18,4 cm, Paris, musée du Louvre[7].
  • Vase au décor de cinq femmes faisant un sacrifice, 1766, marbre, 36,4 × 19,8 cm, diam. 18,3 cm, Chicago, Art Institute of Chicago[8].
  • Pleureuse, 1766, terre cuite, 28 × 18,7 × 15,8 cm, Paris, musée du Louvre[2].
  • Pleureuse, 1766, terre cuite, 27,5 × 15,5 × 17,5 cm, Paris, musée du Louvre[2].
  • Sainte Marie Madeleine pénitente, 1767, terre cuite, 19,5 × 25 × 19,5 cm, Paris, musée du Louvre[9].
  • Sainte Marie Madeleine pénitente, 1768, terre cuite, 16,5 × 35 × 16 cm, Agen, musée des Beaux-Arts[2].
  • La Marchande d’Amours, vers 1765-1768, bas-relief en marbre, 243 × 289 × 3 cm, Nancy, musée des Beaux-Arts.
  • L’Offrande à l’Amour, entre 1765 et 1771 (?), terre cuite, 235 × 280 cm, Nancy, musée des Beaux-Arts[10].
  • Vestale, 1770, marbre, 95,5 × 42,1 × 35 cm, Washington, National Gallery of Art[2].
  • Antinoüs Osiris (d’après l’antique), années 1770, terre cuite, 28 × 9 × 7,7 cm, Paris, collection particulière[5].
  • Monument pour un chien, vers 1770, terre cuite, 165 × 18 × 8 cm, Paris, musée Cognacq-Jay[11].
  • Mausolée de Ninette, vers 1770, terre cuite, 38 × 18 × 16 cm, Nancy, Musée lorrain[12].
  • Mausolée de Fifi, 1772, terre cuite, 32 × 20 × 19 cm, Besançon, musée des Beaux-Arts[2],[13].

Salon de 1773, œuvres d’amateurs et premières commandes monumentales modifier

  • Hercule au repos, 1773, plâtre, 47,5 × 58,5 × 29,5 cm, Paris, musée du Louvre[14].
  • Satyre jouant de la flûte devant une nymphe qui l’écoute et deux satyres enfants dansant, 1773, bas-relief en terre cuite, 33 × 36,2 × 2,2 cm, Los Angeles, musée d'Art du comté de Los Angeles[5]
  • Satyre enfant courant avec un hibou, 1773, terre cuite, 45,1 cm, Cleveland, Cleveland Museum of Art[5].
  • Satyresse enfant courant avec un nid, 1773, terre cuite, 45,1 cm, Cleveland, Cleveland Museum of Art[5].
  • Le Sacrifice à l’Amour, vers 1773, bas-relief en marbre, 26 × 30,7 × 2 cm, Paris, musée des Arts décoratifs[15].
  • Le Sacrifice à l’Amour, vers 1773, terre cuite, 23 × 26 cm, collection particulière[2].
  • Une femme qui, en expirant, montre à son époux le fils qu’elle lui donne, 1773, bas-relief en terre cuite, 24 × 40 × 2 cm, Paris, musée du Louvre[16].
  • Ange tenant un cœur, 2e moitié du XVIIIe siècle, marbre, 187 × 90 × 70 cm, Versailles, château de Versailles[2].
  • La Bascule, vers 1775, terre cuite, 44,5 × 41,3 cm, Toledo, musée d'Art de Toledo[17].
  • Fillette portant des fleurs dans sa tunique, années 1770, terre cuite, Cleveland, Cleveland Museum of Art[18].
  • Jeune fille présentant des guirlandes de roses sur un plateau, années 1770, terre cuite, 45,1 × 15,2 × 17,3 cm, Cleveland, Cleveland Museum of Art[19].
  • L’Offrande à Priape, vers 1775, terre cuite, 45,1 × 33,5 × 21,9 cm, Malibu, J. Paul Getty Museum[20].
  • Briséis quittant Achille (?)¸ 1775-1777, terre cuite, 45 × 35,3 × 21,5 cm, Paris, collection particulière[5].
  • Sainte Cécile, vers 1775, terre cuite, 44,1 × 18,2 × 16,1 cm, Paris, musée du Louvre[21].
  • Sainte Cécile, 1777, marbre, 190 × 107 × 64 cm, Rouen, cathédrale Notre-Dame[2].
  • La Poésie et la Musique, vers 1774-1778, marbre, 117,6 × 89,1 × 56 cm, pour la galerie de l’hôtel de l’abbé Terray, Washington, National Gallery of Art[22].
  • Triomphe de Galatée, 1779, terre cuite, 29,8 × 161,2 × 18 cm, Copenhague, Statens Museum for Kunst[2].
  • Le Triomphe d’Ariane, vers 1780, bas-relief en terre cuite, 32,2 × 91,5 × 4 cm, pendant présumé du Triomphe de Bacchus, Paris, Petit Palais[2].
  • Le Triomphe de Bacchus, vers 1790, bas-relief en terre cuite, 37 × 109 cm, pendant présumé du Triomphe d’Ariane, Ottawa, Musée des beaux-arts du Canada[2].
  • Jeune fille portant une aiguière, années 1780, terre cuite, 43,5 × 16,5 × 11,5 cm, Paris, collection particulière[5].
  • Bacchant proposant un plateau de fruits à une bacchante portant un enfant, années 1780, terre cuite, 44,5 × 23 × 23,5 cm, Suisse, collection particulière[5].
  • Bacchant portant un vase, accompagné d’une bacchante tenant un enfant par la main, années 1780, terre cuite, H. 50,8 cm, Waddesdon, Waddesdon Manor[23].
  • Bacchante courant portant des fruits dans sa tunique, vers 1780-1785, terre cuite, collection particulière[5].
  • Léda et le cygne, vers 1782, terre cuite, 39,5 × 18,5 × 18 cm, Laneuveville-devant-Nancy, château de Montaigu[2].
  • Montesquieu, 1783, marbre, 164 × 122 × 122 cm, Paris, musée du Louvre[24].
  • Égyptienne au naos, vers 1783, terre cuite, 48 × 19,5 × 13 cm, Paris, musée du Louvre[25].
  • Modèle pour un monument commémorant l’ascension en ballon des physiciens Charles et Robert, 1784, terre cuite, H. 109,5 cm, New York, Metropolitan Museum of Art[26].

Les grands décors architecturaux modifier

  • Enfants et petits satyres volant ses enfants à une panthère, vers 1781, bas-relief en terre cuite, 24,5 × 79,1 × 4,5 cm, modèle pour le décor de la cour de l’hôtel de Bourbon-Condé, New York, Metropolitan Museum of Art[5].
  • Enfants et petits satyres volant ses enfants à une panthère, vers 1781, bas-relief en stuc, 165 × 642 × 9 cm, élément de décor de la cour de l’hôtel de Bourbon-Condé, Paris, musée du Louvre[27].
  • Enfants et satyres conduisant une chèvre au sacrifice, vers 1781, bas-relief en terre cuite, 25,4 × 77,5 × 4,8 cm, modèle pour le décor de la cour de l’hôtel de Bourbon-Condé, New York, Metropolitan Museum of Art[5].
  • Enfants et satyres conduisant une chèvre au sacrifice, vers 1781, bas-relief en stuc, 166,5 × 660 × 9 cm, élément de décor de la cour de l’hôtel de Bourbon-Condé, Paris, musée du Louvre[2].
 
Satyresses jouant avec des satyres enfants autour d’un œil-de-bœuf, vers 1781, Nancy, Musée lorrain.
  • Satyresses jouant avec des satyres enfants autour d’un œil-de-bœuf, vers 1781, bas-relief en stuc, 185 × 412 × 24 cm, élément de décor de la cour de l’hôtel de Bourbon-Condé, Nancy, Musée lorrain[2].
  • Naïade, 1782, pierre de tonnerre, destinée à la salle de bains de l’hôtel de Besenval, collection particulière[2].
  • Vénus et l’Amour avec Léda et le cygne, 1782, pierre de tonnerre, 103 × 323 × 22 cm, décor pour la salle de bains de l’hôtel de Besenval, Paris, musée du Louvre[28].
  • Pan poursuivant Syrinx sous le regard de l’Amour, 1782, pierre de tonnerre, 104 × 323 × 23 cm, décor pour la salle de bains de l’hôtel de Besenval, Paris, musée du Louvre[29].
  • Paire de vases à décor identique d’une ronde de satyres et de satyresses avec les accessoires d’une thiase bachique, 1782, pierre de tonnerre, H. 107 cm, diam. 42 cm, destinés à la salle de bains de l’hôtel de Besenval, Paris, musée du Louvre[30].
  • Erigone, 1782, plâtre, 205 × 80 × 47 cm, élément de décor de la salle à manger, Maisons-Laffitte, château de Maisons-Laffitte[5].
  • Erigone tenant la grappe de la main droite, fin XVIIIe siècle, terre cuite, 56,1 × 20,5 × 16,8 cm, réduction d’après le modèle du château de Maisons, Paris, Petit Palais[5].
  • Erigone tenant la grappe de la main gauche, fin XVIIIe siècle, terre cuite, 52,5 × 18 × 12,5 cm, réduction d’après le modèle du château de Maisons, Stockholm, Nationalmuseum[5].
  • Enlèvement de Psyché, 1797-1800, terre cuite, 59 × 32,5 × 43 cm, Londres, Victoria and Albert Museum[31].
  • Deux jeunes femmes – ou nymphes – portant avec trois bras une coupe chargée de fruits, entre 1785 et 1793, plâtre, 235 × 110 × 100 cm, destiné à la salle à manger de l’hôtel Botterel-Quintin, Paris, musée des Arts décoratifs[5].
  • Deux jeunes femmes – ou nymphes – portant avec quatre bras une coupe chargée de fruits, entre 1785 et 1793, plâtre, 235 × 110 × 100 cm, destiné à la salle à manger de l’hôtel Botterel-Quintin, Paris, musée des Arts décoratifs[5].

Dernières années modifier

Iconographie modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. New York, Metropolitan Museum of Art.
  2. Voir les actes de mariage et de divorce ainsi que son acte de décès reproduits par Henri Herluison[3].

Références modifier

  1. Albert Jacquot, Les Adam et les Michel et Clodion, Paris, J. Rouam, , 96 p., illustr., fac-sim. ; in-8º (OCLC 457437472)
  2. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z et aa Pierre-Hippolyte Pénet et Guilhem Scherf, Les Adam : la sculpture en héritage, Gand, Snoeck, (ISBN 978-94-6161-623-4 et 94-6161-623-6, OCLC 1280397973, lire en ligne).
  3. Henri Herluison, Actes d’état civil d’artistes, musiciens et comédiens : extraits des registres de l’hôtel de ville de Paris détruits dans l’incendie du 24 mai 1871, Paris, J. Baur, , 24 p., in-8º (OCLC 918734298, lire en ligne sur Gallica).
  4. « Galerie d’images de l’article « La Sculpture en Lorraine au XVIIIe siècle (les Adam et Lunéville) » », sur latribunedelart.com, .
  5. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s et t Anna L. Poulet et Guilhem Scherf (dir.), Clodion (1738-1814), catalogue de l’exposition (Paris, musée du Louvre, 17 mars – 29 juin 1992), Paris, RMN, 1992
  6. « Vase avec décor de dix femmes et un enfant tenant un oiseau », sur collections.louvre.fr, (consulté le ).
  7. Claude dit Clodion Michel et France, Vase avec décor de cinq femmes faisant un sacrifice, (lire en ligne).
  8. Clodion, Vase, (lire en ligne).
  9. « Madeleine repentante ou sainte Marie-Madeleine pénitente », sur collections.louvre.fr, (consulté le ).
  10. Notice no 05120000071, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  11. « Monument pour un chien | Musée Cognacq-Jay », sur museecognacqjay.paris.fr (consulté le ).
  12. « Le mausolée de Ninette », sur collections.louvre.fr, (consulté le ).
  13. Notice no M0332001976, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  14. Claude dit Clodion Michel et France, Hercule au repos, (lire en ligne).
  15. « Le sacrifice à l'Amour ».
  16. Claude dit Clodion Michel et France, Une femme qui, en expirant, montre à son époux le fils qu'elle lui laisse, (lire en ligne).
  17. (en) « The See-Saw », sur emuseum.toledomuseum.org (consulté le ).
  18. (en) Anonymous, « Child Carrying Fruit and Flowers », sur Cleveland Museum of Art, (consulté le ).
  19. (en) Anonymous, « Young Girl Carrying a Garland of Roses on a Platter », sur Cleveland Museum of Art, (consulté le ).
  20. (en) « Offering to Priapus (The J. Paul Getty Museum Collection) », sur The J. Paul Getty Museum Collection (consulté le ).
  21. Claude dit Clodion Michel et France, Sainte Cécile, (lire en ligne).
  22. « Poetry and Music », sur nga.gov (consulté le ).
  23. (en-GB) « Votaries of Bacchus - Waddesdon Manor », sur waddesdon.org.uk (consulté le ).
  24. Claude dit Clodion Michel et France, Montesquieu (1689-1755) parlementaire et écrivain, (lire en ligne).
  25. Claude dit Clodion Michel et France, Égyptienne au naos, (lire en ligne).
  26. « Modèle pour un monument commémorant l’ascension en ballon des physiciens Charles et Robert », sur metmuseum.org (consulté le ).
  27. Claude dit Clodion Michel et France, Bacchanale d'enfants. La Panthère de Bacchus défendant ses petits, (lire en ligne).
  28. Claude dit Clodion Michel et France, Vénus et l'Amour avec Léda et le cygne, (lire en ligne).
  29. Claude dit Clodion Michel et France, Pan poursuivant Syrinx sous le regard de l'Amour, (lire en ligne).
  30. Claude dit Clodion Michel et France, Vase à décor d'une ronde de satyres et de satyresses, (lire en ligne).
  31. (en) Victoria and Albert Museum, « Cupid and Psyche | Clodion | V&A Explore The Collections », sur Victoria and Albert Museum: Explore the Collections (consulté le ).
  32. « Réunion des Musées Nationaux-Grand Palais - », sur photo.rmn.fr (consulté le ).
  33. « Zéphyr et Flore ».
  34. (en) « The Flood », sur collections.mfa.org (consulté le ).
  35. « Bacchante courant ».
  36. « Réunion des Musées Nationaux-Grand Palais - », sur photo.rmn.fr (consulté le ).
  37. Claude dit Clodion Michel et France, Homère mordu par les chiens, (lire en ligne).
  38. Notice no 10777, base Atlas, musée du Louvre.

Bibliographie modifier

  • Antoine Dingé, Notice nécrologique sur C.M. Clodion, 1814, p.
  • Albert Jacquot, Les Adam et les Michel et Clodion, Paris, J. Rouam, , 96 p., in-8º (OCLC 457437472, lire en ligne).
  • Albert Jacquot, Essai de répertoire des artistes lorrains : sculpteurs, Paris, Librairie de l’art ancien et moderne, , 32 p., 5 pl. ; in-8º (OCLC 80843746, lire en ligne sur Gallica).
  • Édouard Salin, « Sur quelques statuettes de Clodion », Le Pays lorrain, no 8, , p. 337-346.
  • Anonyme, « Clodion », Connaissance des Arts, no 40, , p. 72-77.
  • (en) James Parker, « Clodion’s Bas-reliefs from the Hôtel de Condé », The Metropolitan Museum of Art Bulletin, New York, vol. XXV, no 6,‎ , p. 230-41 (ISSN 0026-1521, DOI https://doi.org/10.2307/3258330).
  • Michèle Beaulieu, « Le Mausolée de Ninette par Clodion », Le Pays lorrain, no 2, 1971, p. 81-84.
  • Guilhem Scherf, « Clodion [le décor de la salle de bains de l’hôtel de Besenval] », dans Gaborit (dir.), 1988, p. 86-87.
  • (en) Anne L. Poulet, « A Neoclassical Vase by Clodion », The Art Institute of Chicago. Museum studies, vol. 15, no 2, 1989, p. 138-153 et 177-180.
  • Guilhem Scherf, « Autour de Clodion, variations, imitations, répétitions », Revue de l’art, no 91,‎ , p. 47-59 (ISSN 0035-1326, lire en ligne, consulté le ).
  • Anna L. Poulet et Guilhem Scherf (dir.), Clodion (1738-1814), Paris, RMN, 1992. — Catalogue de l’exposition, Paris, musée du Louvre, du au .
  • (en) Michael Levey, « Clodion : Paris », The Burlington Magazine, Londres, vol. 134, no 1071,‎ , p. 395–7 (ISSN 0007-6287, lire en ligne, consulté le ).
  • Guilhem Scherf (dir.), Clodion et la sculpture française de la fin du XVIIIe siècle : actes du colloque, Paris, musée du Louvre, 20-21 mars 1992, Paris, La documentation française, , 594 p., 24 cm (ISBN 978-2-11003-019-1, OCLC 31047025, lire en ligne).
  • Guilhem Scherf, « Homère mordu par les chiens de Clodion (1738-1814) : une œuvre inédite retrouvée – Remarques sur l’exposition Clodion », Revue du Louvre. La Revue des Musées de France, no 3, 1993, p. 54-60.
  • Guilhem Scherf, « La Léda de Clodion, une terre cuite de la collection Édouard Salin au château de Montaigu », Le Pays lorrain, no 3, juillet-, p. 139-146.
  • Guilhem Scherf, « La galerie des "Grands Hommes" au cœur des salles consacrées à la sculpture française du XVIIIe siècle », Revue du Louvre. La Revue des Musée de France, no 5/6, 1993, p. 58-67.
  • Guilhem Scherf, « L’Offrande à l’Amour de Clodion : une acquisition majeure du musée des Beaux-arts de Nancy », Péristyles, Cahier de l’Association Emmanuel Héré, no 4, 1994, p. 19-24.
  • Béatrice Salmon (dir.), Autour de Clodion, les terres cuites de la collection Paul Cailleux, musée Bonnat de Bayonne, Nancy, Ville de Nancy, 1996. — Catalogue de l’exposition, Nancy, musée des Beaux-Arts, du au .
  • Guilhem Scherf, « Claude Michel, dit Clodion (1738-1814). “Cet artiste est remply de goût dans ses ouvrages”», dans Pierre-Hippolyte Pénet et Guilhem Scherf (dir.), Les Adam, La sculpture en héritage, Gand, Éditions Snoeck, 2021, p. 267-275. — Catalogue de l’exposition, Nancy, musée des Beaux-Arts, du au .

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