Clergoux

commune française du département de la Corrèze

Clergoux
Clergoux
Château de Sédières.
Blason de Clergoux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Tulle
Intercommunalité CA Tulle Agglo
Maire
Mandat
Catherine Donnedevie
2022-2026
Code postal 19320
Code commune 19056
Démographie
Gentilé Clergousiens, Clergousiennes
Population
municipale
406 hab. (2021 en diminution de 0,49 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 16′ 46″ nord, 1° 58′ 24″ est
Altitude Min. 511 m
Max. 603 m
Superficie 16,11 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Tulle
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sainte-Fortunade
Législatives 1re circonscription de la Corrèze
Localisation
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Clergoux
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Clergoux

Clergoux est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.

Ses habitants sont appelés les Clergousien(ne)s.

Géographie modifier

Description modifier

Clergoux est située à 18 km à l'est de Tulle (14 à vol d'oiseau), 33 km au nord d'Argentat-sur-Dordogne (23), 18 km au sud-ouest d'Égletons (16), sur un plateau de moyenne altitude, entre 500 et 600 m.

Elle est desservie par l'ancienne route nationale 678 (actuelle RD 978) qui relie Tulle à Clermont-Ferrand via Mauriac.

Communes limitrophes modifier

Hydrographie modifier

 
L'étang de la Prade et le château de Sédières.

De nombreux lacs et étangs parsèment les environs (étang de Prévôt, barrage de la Valette, étang Ferrier, étang de Taysse).

Le ruisseau de l'Homme Mort, branche-mère de la Saint-Bonnette, prend sa source sur le territoire communal.

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 375 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Marcillac-la-Croisille à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 318,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Clergoux est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tulle, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,9 %), prairies (16 %), zones agricoles hétérogènes (8,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,6 %), eaux continentales[Note 3] (4,4 %), zones urbanisées (1,9 %)[13].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts modifier

Coudert, une ancienne paroisse qui a fait partie des membres de la commanderie de Carlat jusqu'à la Révolution française.

L'historien Hippolyte Bouffet mentionne une origine templière remontant à une donation figurant dans le testament du comte Henri Ier de Rodez rédigé en octobre 1221 alors qu'il participait à la cinquième croisade[14].

Habitat et logement modifier

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 329, alors qu'il était de 322 en 2013 et de 313 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 62,1 % étaient des résidences principales, 28,8 % des résidences secondaires et 9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,1 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Clergoux en 2018 en comparaison avec celle de la Corrèze et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (28,8 %) supérieure à celle du département (15,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 79,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (79,5 % en 2013), contre 68,5 % pour la Corrèze et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Clergoux en 2018.
Typologie Clergoux[I 1] Corrèze[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 62,1 73,8 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 28,8 15,1 9,7
Logements vacants (en %) 9 11,1 8,2

Risques naturels et technologiques modifier

Le territoire de la commune de Clergoux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Saint-Bonnette. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[17],[15]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques (PPR) inondation « Chenailler-Mascheix - Bassin de la Dordogne », approuvé le [18].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Clergoux.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 61,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 304 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 64 sont en aléa moyen ou fort, soit 21 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risques technologiques modifier

La commune est en outre située en aval des barrages de Bort-les-Orgues, du Chastang, de Marcillac, d'Enchanet, de Hautefage et de Saint-Étienne-Cantalès, des ouvrages de classe A[Note 4] soumis à PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[22].

Risque particulier modifier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Clergoux est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[23].

Toponymie modifier

Histoire modifier

De 1912 à 1960, le village a été desservi par une gare sur le Transcorrézien, une ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique dite Le Tacot, favorisant ainsi un développement économique de l'agriculture locale et du tourisme. La ligne a été exploitée de 1912 à 1925 par la Société des Tramways Départementaux de la Corrèze[24],[25].

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement de Tulle du département de la Corrèze.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de La Roche-Canillac[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux modifier

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Sainte-Fortunade

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de la Corrèze.

Intercommunalité modifier

Clergoux était membre de la communauté de communes du Doustre et du Plateau des Étangs, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec d'autres petites intercommunalités le ,au sein de la Communauté d'agglomération Tulle Agglo, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1959 mars 2008 Jean Maison[27],[28],[29] PCF Résistant, charron puis chef d'entreprise de menuiserie
Conseiller général de Roche-Canillac (1995 → 2004)
mars 2008[30] mars 2014 Claude Gounel[31] PS  
mars 2014 mai 2022[32] Marc Bachellerie[33],[34]
(1953-2022)
DVD Retraité
Mort en fonction
mai 2022[35] septembre 2022[36] Alain Mazet   Démissionnaire
octobre 2022[37] En cours
(au 16 décembre 2022)
Catherine Donnedevie   Agricultrice

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].

En 2021, la commune comptait 406 habitants[Note 5], en diminution de 0,49 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
375375458333308344353359460
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
583546593577583626604617665
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
617702663502508510437380335
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
390430397390367385374367376
2014 2019 2021 - - - - - -
404405406------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
L'église Notre-Dame
  • Château de Sédières, datant des XVe et XVIe siècles, et son parc (festival de juin à septembre).
  • Église Notre-Dame de Clergoux, des XIIe, XIVe et XVe siècles. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historique en 1972[41].
  • 7 croix de pierre
  • Nombreux étangs
  • L'ancienne gare du Tacot
  • La stèle de la Résistance
  • Nombreux puits, fours et séchoirs à châtaignes

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
D'azur au chevron d'or accompagné de trois palmes de même.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[21].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

Autres sources modifier

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Clergoux et Marcillac-la-Croisille », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Marcillac » (commune de Marcillac-la-Croisille) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Marcillac » (commune de Marcillac-la-Croisille) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Hippolyte Bouffet, « Les Templiers et les Hospitaliers de Saint-Jean en Haute-Auvergne », Revue de la Haute-Auvergne, Aurillac, t. XVI,‎ , p. 93, 124-125, lire en ligne sur Gallica
    L'auteur cite les terres de « Marcheix, Couderc, Orleat et Corrèze ». Voir Liste des commanderies templières en Corrèze.
    .
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Clergoux », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  18. « PPRI Chenailler-Mascheix - Bassin de la Dordogne », sur le site de la préfecture de Corrèze (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Clergoux », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. Article R214-112 du code de l’environnement
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  23. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  24. « L'exposition « Mémoire de Villages » : Le Transcorrèzien », Histoire et patrimoine, Mairie de Saint-Pardoux-la-Croisille (consulté le ).
  25. « Le Transcorrézien ou « Tacot » : Si le Viaduc des Rochers Noirs est la trace la plus impressionnante du passage du Transcorrézien, il en subsiste quelques autres, notamment des gares restaurées à Chirac Bellevue, Liginiac, Saint Hilaire Luc et Soursac, ainsi qu’un wagon-grue en gare de Chirac-Bellevue. Le Transcorrézien, appelé plus familièrement le Tacot, fut pendant une cinquantaine d’années le tramway à vapeur le plus utilisé de Haute-Corrèze, reliant Tulle et Ussel en Corrèze », Explorez > Notre patrimoine > Patrimoine industriel > Patrimoine ferroviaire, sur tourisme-hautecorreze.fr (consulté le ).
  26. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. « Jean Maison se souvient : des bois de Clergoux à la libération de Tulle : La Corrèze, sa terre familiale depuis des générations et où il est né, a été délivrée par les siens de l’occupation nazie. Parmi les libérateurs, celui qui fut ensuite maire communiste de Clergoux pendant quarante-neuf ans », L'Humanité,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. r Angélique Martinez, « Décés de Jean Maison, figure de la Résistance corrézienne : Jean Maison s'est éteint hier soir à l'âge de 91 ans. A l'été 1944, du haut du plateau des Etangs en Corrèze, il a vécu des événements qui façonnent à tout jamais la conscience d’un homme », La Montagne,‎ 13/06/2016 mis à jour le 11/6/2020 (lire en ligne, consulté le ).
  29. Alain Albinet, « Résistant, maire de Clergoux pendant un demi-siècle, patron communiste, Jean Maison est mort : Tout d’humilité et d’engagements, Jean Maison est décédé à l’âge de 91 ans. La Corrèze perd avec lui un de ses grands témoins et acteurs du siècle précédent », France 3 Nouvelle-Aquitaine,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jean Maison, qui s'était fait également élire maire de Clergoux, en 1959, à la tête d'une liste « d'union ouvrière et paysanne ». Il sera réélu à huit reprises, jusqu'en mars 2008, où il abandonnera l'écharpe tricolore, à l'âge de 83 ans. Entre-temps, il avait aussi exercé le mandat de conseiller général du canton de La-Roche-Canillac, sous l'étiquette communiste, mais surtout sur son nom propre ».
  30. Site de la préfecture, consulté le 20 août 2008
  31. « La perte des commerces déplorée », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Samedi 26 janvier, Claude Gounel, maire, a invité les habitants pour leur présenter ses veux pour 2013 ».
  32. Laurent Naldo, « Clergoux – Le maire Marc Bachellerie nous a quittés », La Vie corrézienne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. « Marc Bachellerie brigue un nouveau mandat à la tête de la commune de Clergoux (Corrèze) », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. « Marc Bachellerie se projette sur l’année avec des projets : Marc Bachellerie, le maire de la commune, en présentant ses vœux évoque les projets qu’il a et se projette sur 2021, avec « espoir et solidarité ! », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. « Alain Mazet est le nouveau maire », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Au bout de trois scrutins à bulletins secrets, Alain Mazet, ancien premier adjoint, a été élu maire (5 voix et 6 blancs) ».
  36. « Le maire, Alain Mazet, élu en juillet dernier a présenté sa démission : Clergoux. Le maire de Clergoux présente sa démission. Alain Mazet, maire de Clergoux, a présenté sa démission. Elle a été acceptée par le Préfet le 26 septembre », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. « À Clergoux (Corrèze), la maire Catherine Donnedevie élue sans avoir été candidate : La récente élection de Catherine Donnedevie à la mairie de Clergoux, en Corrèze, illustre un débat régulièrement commenté en milieu rural : la difficulté d'être maire, la responsabilité personnelle devant la loi, les risques d'agression, bref, la somme des difficultés qui découragent l'engagement. Ainsi, Catherine Donnedevie a été élue maire sans avoir été candidate..... et accepte sa nouvelle fonction », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Cathy Donnedevie a été élue avec 10 voix et une abstention ».
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. « Eglise Notre-Dame », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).