Christine Albanel

femme politique française

Christine Albanel
Illustration.
Christine Albanel en 2008.
Fonctions
Ministre de la Culture et de la Communication

(2 ans, 1 mois et 5 jours)
Président Nicolas Sarkozy
Premier ministre François Fillon
Gouvernement Fillon I et II
Prédécesseur Renaud Donnedieu de Vabres
Successeur Frédéric Mitterrand
Porte-parole du gouvernement

(1 mois)
Président Nicolas Sarkozy
Premier ministre François Fillon
Gouvernement Fillon I
Prédécesseur Jean-François Copé
Successeur Laurent Wauquiez
Conseillère du 4e arrondissement de Paris

(5 mois)
Élection 16 mars 2008
Maire Dominique Bertinotti
Successeur Élisabeth Castel
Présidente de l’établissement public du musée et du domaine national de Versailles

(3 ans, 11 mois et 1 jour)
Prédécesseur Hubert Astier
Successeur Jean-Jacques Aillagon
Biographie
Nom de naissance Christine Marie Albanel
Date de naissance (68 ans)
Lieu de naissance Toulouse (France)
Nationalité Française
Parti politique RPR puis UMP
Entourage Jean-Bernard Mérimée (cousin)
Profession Enseignante
Conseillère d’État

Christine Albanel, née le à Toulouse (Haute-Garonne), est une femme politique et femme de lettres française.

Agrégée de lettres, conseillère d’État et proche de Jacques Chirac, elle est l’auteure de ses principaux discours à la mairie de Paris et à l’Élysée. En 2003, elle est nommée présidente de l’établissement public du château de Versailles.

Elle est ministre de la Culture et de la Communication de 2007 à 2009, et brièvement porte-parole du gouvernement en 2007, sous la présidence de Nicolas Sarkozy. À cette fonction, elle porte notamment une réforme de l'audiovisuel, ainsi que la controversée loi Hadopi, qui entraîne son départ du gouvernement. Elle intègre ensuite France Télécom (devenu Orange) en 2010.

Biographie modifier

Famille et formation modifier

Fille de médecin toulousain, Christine Marie Albanel est divorcée de Philippe Guilhot de Lagarde. Elle a un enfant[1].

Après une scolarité au Cours catholique Saint-Thomas d’Aquin et au lycée public Saint-Sernin à Toulouse[1], elle suit des études de lettres à la Sorbonne à Paris et obtient l’agrégation de lettres modernes. Elle devient professeure de français au lycée technique Saint-Lambert à Paris, dans une classe de BEP bâtiment[2].

Sa première rencontre avec la politique se fait à 13 ans, par l’intermédiaire de son oncle de 20 ans, étudiant en sociologie et militant de gauche en 1968 qui, dit-elle, était dans l'« utopie ». Elle affirme que malgré son prestige, elle s'est construite politiquement contre lui et son discours qu'elle considérait comme « extrême »[2].

« Plume » de Jacques Chirac modifier

Présentée par son cousin, Jean-Bernard Mérimée, alors chef du protocole au palais de l’Élysée, elle est de 1979 à 1981 attachée de presse d’Anne-Aymone Giscard d'Estaing, en tant que chargée de mission au secrétariat général de l’Élysée[3].

Après l’élection de François Mitterrand à la présidence de la République en , elle réintègre l’Éducation nationale et occupe pendant l’année scolaire 1981-1982 un poste à Luzarches[4].

Denis Baudouin la fait venir à l’hôtel de ville de Paris, où elle est chargée d’écrire les discours de Jacques Chirac, comme Alain Juppé avant elle. Elle rejoint ensuite le cabinet de Jacques Chirac lorsqu’il est nommé Premier ministre en 1986 pour continuer à écrire ses discours[3].

En 1988, Christine Albanel retrouve la mairie de Paris, où elle est nommée directrice adjointe du cabinet du maire. Elle fait aussi partie de l’équipe qui prépare la campagne présidentielle de 1995, autour de Maurice Ulrich. Jacques Chirac ayant été élu président de la République, elle le suit à l’Élysée[2]. C’est elle qui rédige le discours du Vel’ d’Hiv de par lequel Jacques Chirac reconnaît la responsabilité de la France dans la déportation des Juifs, ainsi que l’hommage à François Mitterrand prononcé au soir de sa mort le [3]. Elle devient également conseillère pour l’éducation et la culture et est nommée conseillère d’État au tour extérieur en 2000[5].

Sur le plan électif, elle est conseillère régionale d’Île-de-France de 1986 à 1992 et de 1998 à 2004. Elle est aussi secrétaire nationale auprès du délégué général à l’éducation, à la formation et à la culture du RPR (1992-1995) puis secrétaire nationale de l’UMP chargée de l’animation d’un groupe de réflexion sur l’évolution des programmes scolaires (2003)[6].

Présidente de l'établissement public du château de Versailles modifier

Elle est nommée en à la tête de l’établissement public du musée et du domaine national de Versailles[7], où elle succède à Hubert Astier. La nomination d’une personnalité administratrice et non d’une personnalité scientifique à la tête d’un tel établissement a cependant ému le monde des conservateurs et des historiens d’art[8].

Son action a ensuite été contestée, les spécialistes de la période l’accusant de sacrifier la conservation et la recherche scientifique au profit de la fréquentation toujours plus grande du site et au marketing[9]. Elle a en effet largement ouvert le palais aux événements en cherchant à « l’inscrire dans la modernité », accueillant par exemple une exposition de robes de mariées de Christian Lacroix dans la chapelle royale[3], et fait appel au secteur privé pour la rénovation et la valorisation du château[10].

Ministre de la Culture et de la Communication modifier

Nomination et difficultés modifier

 
Christine Albanel en 2007.

Le , elle est nommée ministre de la Culture et de la Communication et porte-parole du gouvernement dans le premier gouvernement de François Fillon. Reconduite en dans le deuxième gouvernement Fillon, elle perd toutefois le poste de porte-parole, confié à Laurent Wauquiez, jugé meilleur communicant[2] et plus politique[3]. Christine Albanel est également membre du conseil scientifique et d’évaluation de la Fondation pour l'innovation politique (Fondapol).

Ses débuts sont difficiles : plusieurs fois annoncée sortante lors des remaniements ministériels, elle est selon Le Monde peu appréciée par Nicolas Sarkozy et doit rivaliser avec l’influent conseiller culturel de l’Élysée, Georges-Marc Benamou. Après la sortie du conseiller du giron élyséen, elle est confrontée en à la constitution du Conseil de la création artistique, dont le délégué général Marin Karmitz est présenté comme un nouveau « ministre-bis »[11].

En outre, plusieurs annonces émaillent ses premiers mois. Capital révèle en qu’elle diffère la publication du rapport 2007 de la commission de récolement des dépôts d’œuvres d'art, faisant état de 17 000 disparitions d’objets du patrimoine historique, dont certains confiés à des ministères, ambassades ou élus[12]. Le rapport est finalement présenté en et la commission pérennisée[13].

Création artistique et diffusion modifier

Affirmant l’échec des démocratisations et décentralisation culturelles à travers « une politique d’addition de guichets et de projets au détriment de la cohérence d’ensemble [et] une prise en compte insuffisante des publics (…) davantage attachée à augmenter l’offre qu’à élargir les publics », Nicolas Sarkozy la charge d’appuyer la démocratisation sur l’éducation culturelle et artistique et les médias. Elle est aussi chargée d’adapter le monde culturel à la « révolution numérique » et de préserver la création artistique des risques de la contrefaçon[14].

Ainsi, partageant le désir de réformes profondes de Nicolas Sarkozy[3], elle mène le plan de modernisation des politiques publiques pour le ministère de la Culture, qui doit le voir se recentrer sur ses missions prioritaires, et sa réorganisation autour de trois directions générales et du regroupement des sept corps d’inspection du ministère.

Elle met également en place en les « Entretiens de Valois » sur le spectacle vivant, aboutissant un an plus tard à trois pistes de réformes : une refonte des labels de l’État aux établissements et aux compagnies, un partenariat avec les collectivités territoriales où l’État serait plus « partenaire » que « prescripteur » et une meilleure « circulation des artistes et des productions »[15].

Après l’essai de la gratuité de musées français voulu par le président de la République, elle le convainc de la limiter aux jeunes et aux collections permanentes. Elle met également en place l’enseignement artistique en primaire[16].

Affaire des têtes maories modifier

En , elle s’oppose à la restitution d’une tête de guerrier māori tatouée conservée par le Muséum d'histoire naturelle de Rouen. En effet, en réponse à la demande de retour de tous les restes de dépouilles māori dispersés dans le monde entier, formulée depuis 1992 par le musée national néozélandais Te Papa Tongarewa, le conseil municipal de Rouen ordonne la restitution de la tête, mais le ministère de la Culture fait annuler la décision par le tribunal administratif de la ville le . Pour les partisans de la restitution, ces têtes étaient considérées comme des morceaux de corps humains devant être rendues au nom de la loi sur la bioéthique de 1994[17], tandis que pour la ministre, en vertu de l'article 11 de la loi du sur les musées de France, il s'agit de pièces de collections publiques (en l'occurrence anthropologiques), qui à ce titre sont inaliénables à défaut d'une procédure préalable de déclassement (ou d'une loi spéciale)[18].

Réforme de l’audiovisuel modifier

Dans le cadre d’une réorganisation de l’audiovisuel extérieur, elle réalise la fusion de RFI, France 24 et TV5Monde au sein de la Société de l'audiovisuel extérieur de la France[16]. Elle est chargée de conduire une réforme de l’audiovisuel public, marquée par un accent sur la culture aux heures de grande écoute sur France Télévisions. Lors de cette réforme, la suppression de la publicité, mesure appuyée par Georges-Marc Benamou, est annoncée sans qu’elle soit consultée ou avertie.

Élections municipales de 2008 modifier

Elle se présente aux élections municipales de 2008 derrière Vincent Roger, tête de liste de la majorité présidentielle dans le 4e arrondissement de Paris où, selon son entourage, elle souhaite « apporter sa connaissance de Paris » et se battre sur trois fronts : « le plan de sauvegarde du Marais, la création d’un festival culturel du Marais, et la revalorisation de la dimension patrimoniale et culturelle du Marais »[19]. Élue conseillère municipale d’opposition, peu impliquée ni présente, elle démissionne peu de temps après[20].

Loi sur les archives modifier

En , elle porte la loi sur les archives, à laquelle la Direction des archives de France travaillait depuis de nombreuses années ; cette loi vise à faciliter l’accès aux archives et renforcer leurs protections[21]. Elle est critiquée par l’Association des archivistes français (AAF)[22],[23].

Loi Hadopi et départ de la rue de Valois modifier

 
Christine Albanel lors des débats à l’Assemblée sur la loi Hadopi.

En , elle sort affaiblie du débat parlementaire sur le projet de loi « Création et Internet » dite « loi Hadopi », voulu par Nicolas Sarkozy[24]. En effet, critiqué par les experts des technologies numériques, dénoncé par les députés de gauche et certains de la majorité comme « liberticide » et techniquement irréalisable[25], attaqué par le Parlement européen[26], le texte est rejeté par l’Assemblée nationale à l’issue de la commission mixte paritaire, puis les principales mesures de la version adoptée en nouvelle lecture sont jugées anticonstitutionnelles par le Conseil constitutionnel[27].

De plus, durant ce débat, Libération révèle qu’un membre du cabinet de la ministre a transmis à la direction de TF1 le courrier électronique du responsable du pôle innovation web du groupe, Jérôme Bourreau-Guggenheim, envoyé à titre personnel à la députée Françoise de Panafieu pour l’informer de son jugement et des problèmes techniques liés à la mise en place d’un tel projet. Cette missive ayant conduit au licenciement du cadre de TF1[28], Christine Albanel est contrainte de mettre à pied, un mois après avoir refusé sa démission, ce collaborateur, qui se révèle être son directeur adjoint, Christophe Tardieu, qui la seconde depuis sa nomination au château de Versailles[29].

La loi censurée est promulguée le [30], mais opposants et professionnels de la justice la jugent inapplicable[31], tandis que la ministre promet « un petit texte à la rentrée pour compléter »[32], ayant fait de cette loi une réalisation importante de son ministère, dont l’abandon ferait que « [sa] présence au ministère de la Culture n’aurait aucun sens »[33].

Lors du remaniement ministériel du , elle est remplacée par Frédéric Mitterrand[34].

Après le gouvernement modifier

Elle refuse, selon la presse, de remplacer Frédéric Mitterrand à la tête de la Villa Médicis[35], avant d'être chargée en d’une mission sur le « passage de l’économie du livre à l’ère du numérique » qui aboutit au rapport Pour un livre numérique créateur de valeurs, remis le .

Initialement pressentie pour succéder à Bruno Racine à la présidence de la Bibliothèque nationale de France, elle rejoint finalement, en tant que directrice exécutive chargée de la communication interne, externe, du mécénat et de la stratégie contenus de la nouvelle équipe, la nouvelle direction de France Télécom menée par Stéphane Richard, à partir du [36]. Le , elle devient directrice exécutive chargée de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE), des événements, des partenariats culturels et institutionnels et de la solidarité. Elle a aussi la charge de la fondation Orange[37].

En , elle est prise à partie par Thibault de Montbrial, chargé de défendre Frédérique Dumas, ancienne patronne de la filiale cinéma Orange Studio (ex-Studio 37), pour licenciement abusif, contre Stéphane Richard et Christine Albanel. L'avocat déclare : « c'est la première fois que je vois les administrateurs d'une filiale d'un groupe coté attester faussement du déroulement d'un conseil d'administration. Et c'est effarant qu'une ancienne ministre s'y soit prêté. Cela en dit long sur le management du groupe ! ». Elle est remplacée par David Kessler, ancien conseiller culturel de François Hollande à l'Élysée[38]. Frédérique Dumas porte plainte contre Christine Albanel et d'autres dirigeants du groupe pour faux et usage de faux[39].

Elle siège bénévolement au comité de déontologie créé par l'entreprise Endemol France à partir de 2010[40],[41].

Elle est membre permanent du jury du Prix des prix littéraires depuis 2011.

Début 2014, elle devient membre de la Haute Autorité présidée par la juriste Anne Levade chargée d'organiser la primaire ouverte de la droite et du centre de 2016[42]. Elle annonce l’année suivante soutenir Alain Juppé, candidat à ce scrutin[43].

Elle obtient en 2019 sa radiation des cadres du Conseil d'État[44]. À la fin de cette même année, elle est l'une des trois personnalités qualifiées nommées pour siéger au conseil d'administration de l'établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris[45],[46].

Décorations modifier

Détail des mandats et fonctions modifier

Au gouvernement modifier

Au niveau local modifier

Autres modifier

Œuvres modifier

Christine Albanel est l’auteure d’œuvres de fiction.

Théâtre modifier

Roman modifier

  • Une mère insensée, Flammarion, 1994.

Notes et références modifier

  1. a et b Who’s Who in France, 2008.
  2. a b c et d Natalie Levisalles, « Le masque de la plume », sur Libération, .
  3. a b c d e et f Philippe Goulliaud, « Christine Albanel, la culture du franc-parler », sur Le Figaro, .
  4. « Christine Albanel: une passionnée de théâtre à la Culture », sur Libération, (consulté le ).
  5. « Décret du portant nomination d'un conseiller d'Etat en service ordinaire », sur Légifrance (consulté le ).
  6. « Christine Albanel, la plume de l’ombre », sur 20 Minutes, .
  7. Décret du .
  8. « Editorial Fontainebleau 500 », sur La Tribune de l’art, .
  9. Didier Rykner, « Domaine de Versailles, ou Versailles-land ? », sur La Tribune de l’art, .
  10. « Christine Albanel : ministre de la Culture et la Communication », sur Les Échos, .
  11. Michel Guerrin et Nathaniel Herzberg, « Mme Albanel et M. Karmitz sont dans un bateau… », sur Le Monde, .
  12. « 17 000 œuvres d’art ont disparu des ministères, selon un rapport confidentiel », sur Capital, .
  13. Vincent Noce, « Œuvres d’art et mobilier disparus : les larcins de la République », sur Libération, .
  14. « Lettre de mission de M. Nicolas Sarkozy, président de la République, adressée à Mme Christine Albanel, ministre de la Culture et de la Communication », sur elysee.fr, .
  15. « Spectacle vivant : fin des Entretiens de Valois, cap sur les réformes », sur AFP, .
  16. a et b « La communication en silence », sur Le Nouvel Économiste, du 14 au 20 février 2008, p. 12.
  17. Natalie Castetz, « Rouen n’en fait qu’à sa tête », sur Libération, .
  18. (en) Elaine Sciolino, « French Debate: Is Maori Head Body Part or Art? », sur The New York Times, .
  19. « UMP : Albanel sera no 2 dans le IVe arrondissement », sur Le Nouvel Observateur, .
  20. « Elisabeth Castel : nouvelle conseillère d’arrondissement », sur vincentroger.typepad.fr, .
  21. « Archives : ce que le projet de loi va changer », Culture communication, no 160,‎ , p. 4.
  22. Xavier de la Selle, vice-président de l’Association des archivistes français, « À quoi bon conserver des dossiers à jamais incommunicables ? » [PDF], sur Archimag, .
  23. « Ensemble de documents relatifs à la loi du  », sur archivistes.org.
  24. Marion Mourgue, « Christine Albanel, ministre sur le gril », sur Backchich.info, .
  25. Antonin Durand, « Internet - Les cinq questions soulevées par la loi anti-piratage », France-Soir,‎ .
  26. Nicole Vulser, « Désaccords européens sur la future loi Internet », Le Monde,‎ .
  27. « Décision no 2009-580 DC du  », sur conseil-constitutionnel.fr, .
  28. Raphaël Garrigos et Isabelle Roberts, « Viré de TF1 pour s’être opposé à Hadopi », sur Libération, .
  29. Raphaël Garrigos et Isabelle Roberts, « Albanel suspend un collaborateur », sur Libération, .
  30. « LOI no 2009-669 du  », sur Journal officiel de la République française, .
  31. « Hadopi : «passer par des juges est impossible en l'état» », sur Le Figaro, .
  32. « Interview de Christian Albanel », sur RMC, .
  33. AFP, « Albanel : le texte contre le téléchargement illégal ne sera pas enterré », sur Le Point, .
  34. « Mitterrand à la place d'Albanel », sur Les Numériques, .
  35. « Confidentiel - Albanel refuse Médicis », sur Le Figaro, .
  36. Bruna Basini, « FT: Pourquoi Stéphane Richard a choisi Christine Albanel », sur Le Journal du dimanche, .
  37. « Christine Albanel remplacée par Xavier Couture », sur Le Figaro, .
  38. « Orange: l'ex-patronne de la filiale cinéma contre-attaque », sur BFM Business, .
  39. « Frédérique Dumas attaque les dirigeants d’Orange au pénal pour "faux et usage de faux" », sur universfreebox.com, .
  40. « Albanel, Mougeotte et Schweitzer membres du comité de déontologie d'Endemol », sur ozap.com, .
  41. « Michèle Cotta pourrait quitter le comité de déontologie d'Endemol », sur L'Express, .
  42. « Présidentielle 2017 : Anne Levade veillera sur la primaire UMP », sur Les Échos, .
  43. Philippe Goulliaud, « Christine Albanel s'engage au côté d'Alain Juppé », sur Le Figaro, .
  44. « Décret du portant acceptation de démission et radiation des cadres d'une conseillère d'Etat », sur Légifrance, .
  45. Décret du 2 novembre 2019 portant nomination au conseil d'administration de l'Établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris.
  46. « Notre-Dame : le général Georgelin appelle à jouer collectif face à un « immense défi » », sur Le Point, (consulté le ).
  47. « Décret du portant promotion et nomination dans l'ordre de la Légion d'honneur », sur Légifrance, (consulté le ).

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier