Charles Fechter

acteur français
Charles Fechter
Fechter dans le rôle d’Obenreizer dans No Thoroughfare (1868).
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 54 ans)
QuakertownVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Mount Vernon Cemetery (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom dans la langue maternelle
Charles Albert FechterVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Conjoint
Autres informations
A travaillé pour
Herald Square Theatre (à partir d')
Niblo's Garden (en) (à partir de )
Adelphi Theatre (d) (à partir de )
Civic Repertory Theatre
Lunt-Fontanne Theatre
Comédie-Française
Théâtre du Vaudeville (d)
Théâtre de l'Odéon (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
signature de Charles Fechter
Signature de Fechter.
Certificat de naissance de Fechter à la mairie de Belleville.

Charles Albert Fechter, né le à Belleville[n 1] et mort le à Quakertown, est un acteur français.

Biographie modifier

Fils de Marie Anglélique Aegis, Flamande d’origine piémontaise[n 2] et de Jean Maria Guillaume Fechter, joaillier d’origine allemande, Fechter a suivi, âgé de 6 ans, ses parents en exil, à Londres, en 1830[1]. Six ans plus tard, alors qu’il avait 12 ans, sa famille est retournée s’installer en France[2]. Il a terminé son éducation à Boulogne-sur-Seine avant de commencer à travailler avec son père. Ses parents s’étant tous deux distingués dans la sculpture, il ambitionnait également à ses débuts, de poursuivre la carrière de ses parents[3], avant de découvrir par accident son talent en apparaissant dans quelques théâtres privés. En 1841, il intègre une compagnie qui se rendait en tournée en Italie. À la suite de l’échec de celle-ci, il est revenu à Paris où il s’est essayé au théâtre Molière dans le Mari de la veuve[4], essai qui lui a valu l’appui de Saint-Aulaire, qui l’a fait entrer au Conservatoire[5].

Tout en suivant les cours du Conservatoire, il a repris l’étude de la sculpture, qui devait rester son violon d’Ingres[3], et remporté la grande médaille de l’Académie des Beaux-Arts, vers la fin de 1844. À sa sortie, il débuté, en mai 1845, au Théâtre-Français dans Un ménage parisien, puis dans les rôles de Séide dans le Mahomet de Voltaire et de Valère dans le Tartuffe. Après avoir passé dix-huit mois, à la Comédie-Française, à jouer des bouts de rôle, dans les représentations de Rachel, ne trouvant guère à s’occuper, il est retourné à son activité de sculpteur en 1846[5].

Invité à se produire, la même année, dans une société française à Berlin, il a réalisé son premier succès décisif en tant qu’acteur. C’est également à ce théâtre qu’il a connu l’actrice Éléonore Rabut, qu’il a épousée, à son retour à Paris, Le [6]. Après un court séjour au Vaudeville, où il paraissait pour la première fois, il est allé passer trois mois en représentation à Londres, ayant parlé anglais dès son enfance[7], avant de revenir à l’Ambigu-Comique créer, en 1848, la Famille Thureau. Il a ensuite joué Oscar XXVIII ou la Révolte de Crétinbach, aux Variétés, avant d’entrer au Théâtre-Historique, où il a débuté avec le rôle de Yacoub dans Charles VII chez ses grands vassaux. Il a créé successivement l’Argent, Catilina, les Mystères de Londres.

En 1849, âgé de 25 ans, il entame une liaison avec Virginie Déjazet, alors âgée de 52 ans[8],[n 3]. Revenu à l’Ambigu, il y a rempli sept rôles importants dans : le Pardon de Bretagne, Mauvais cœur, les Trois Étages, Louis XVI, les Quatre Fils Aymon, la Jeunesse dorée, Notre-Dame de Paris, après quoi il repartit jouer, au Théâtre-Historique, deux autres ouvrages, où il a triomphé : Pauline et les Frères corses. En 1850, à la suite de brillantes propositions, il s’est engagé momentanément à la Porte-Saint-Martin, où il a joué le Lion et le Moucheron, Claudine, le Vol à la Duchesse, et le Diable.

Le Vaudeville, qui autrefois n’avait pas su le garder, ayant alors fait pour le reconquérir, la direction lui a offert 20 000 francs par an, chiffre considérable pour l’époque pour lui renouveler son engagement. Y ayant effectué sa rentrée dans le Coucher d’une étoile, Hortense de Cerny, il a créé avec beaucoup de succès, entre autres rôles, ceux de Louis et Fabien dans les Frères corses, de Phidias et de Raphaël dans les Filles de Marbre, en , son principal triomphe étant sa création du rôle d’Armand Duval dans la Dame aux camélias, au Vaudeville, le [9]. Retourné à la Porte-Saint-Martin, il a ensuite joué dans le Fils de la Nuit et dans la Belle Gabrielle. Une chute qu’il a fait dans cette dernière pièce a failli lui couter la vie[4].

Après une nouvelle apparition au Vaudeville, il a occupé, de mars 1857 à la fin 1858, en qualité de directeur adjoint, avec Charles de La Rounat [4], de l’Odéon, où il a tenté de nouvelles interprétations très réalistes pour l’époque, des chefs-d’œuvre du répertoire classique[10], notamment dans le Tartuffe, après avoir vu les trouvailles pour la comédie moderne de Montigny au Gymnase, il ambitionnait d’appliquer cet esprit de recherches méticuleuses de l’accessoire et du décor aux comédies et aux tragédies du répertoire classique. Il avait monté Tartuffe avec un grand soin et une remarquable étude historique, meubles et tapisseries exactes du XVIIe siècle, une grande crédence ornée de cuivres, de plats, d’aiguières, de verreries Louis XIII et Louis XIV, une cheminée au grand foyer historié de sa plaque blasonnée, chenets ciselés, etc[11]. Ensuite, il a repris le rôle de Georges dans l’Honneur et l’Argent, créant le marquis de Castel Gonthier du Rocher de Sisyphe, et Hugues de la Jeunesse. Néanmoins, ces pièces étaient la propriété exclusive de la Comédie-Française, qui lui a fait interdire de les produire à l’Odéon. Exaspéré, il a démissionné et décider de retourner tenter sa chance à Londres.

 
Charles Dickens and Charles Fechter.

Arrivé à Londres, il a d’abord été invité à se produire au Princess Theatre d’Oxford Street à Londres. Sa présence sur la scène anglaise, par ses apports hérités du théâtre français, a révolutionné le théâtre anglo-américain, sur lequel il a eu un impact considérable, tant sur le jeu d’acteur que sur la scène. Son jeu a imposé le réalisme romantique français sur la scène anglaise. Le , il remporte un succès retentissant dans le rôle-titre de Ruy Blas en anglais[12], suivi des Frères corses et de Don César de Bazan. Personne, avant lui, en Angleterre n'avait porté autant d’attention à la construction et à l'équipement de la scène, au décor et aux costumes. L’influent critique de théâtre anglais du Daily Telegraph, Clement William Scott (en) a écrit, à son sujet, qu’

« en arrivant sur scène, [il] a ébranlé les traditions usées de la vieille école du théâtre, si excellente qu’elle ait pu être en son temps, elle était devenue moisie et pédante, parce qu’elle avait perdu la passion et le merveilleux qui emportent l’imagination du public, ajoutant que « Les gouts changent et nulle part aussi vite qu’au théâtre. Aujourd’hui le travail scénique d’auteurs et d’acteurs du temps de Fechter est considéré comme de pauvres vestiges d’un passé disparu, et quand on tente de renouer avec une pièce ancienne, le spectateur actuel s’émerveille de ce qui plaisait autrefois au théâtre, non dans la pièce mais dans la façon dont elle est jouée. Ni Goldsmith, ni Sheridan, ni Robertson ne sont jamais mauvais sauf lorsqu’ils sont mal interprétés : quand l’acteur échoue, c’est l’auteur qui est ridiculisé[13]. »

Concernant son impact sur la scène, Scott a justement noté que « Fechter n’a pas laissé sa marque que sur le jeu d’acteur, il a également inauguré une révolution dans la scénographie[14],[n 4]. » Dans son History of the English Stage, Henry Barton Baker (d) a écrit que

« Fechter a inauguré une ère nouvelle dans l’art théâtral anglais qui a abouti au grand renouveau du XIXe siècle. Il a commencé par révolutionner la scène. Les vieilles routines, les chaussetrappes et les décors latéraux ont été abolis ; le revêtement de sol a été construit de manière à pouvoir être démonté comme un puzzle ; le paysage pouvait être physiquement élevé ou abaissé et toutes les manœuvres effectuées depuis la mezzanine en dessous ; au lieu d’être représentés par des tissus suspendus, ou les murs d’une pièce par des ailes ouvertes, les plafonds étaient construits en dur[15],[n 5]. »

Quelques mois plus tard, le , il va plus loin et se produit dans Hamlet, portant une perruque blonde. Cette version « française »[n 6]. La pièce connaissant 115 représentations. incarnant ensuite le Maure dans Othello, il connait l’échec, mais renoue avec le succès dans le rôle de Iago. En 1863, il a loué le Lyceum Theatre, qu’il a ouvert avec The Duke’s Motto, suivi de The Duke’s Motto, suivi de The King’s ButterflyThe Mountebank (où a joué son fils Paul, âgé de sept ans), The Roadside InnThe Master of Ravenswoodles Frères corses en version française originale, dans les rôles de Louis et de Fabian dei Franchi, et The Lady of Lyons.

Lorsque Charles Dickens a fait jouer l’Abîme au Vaudeville de la place de la Bourse, c’est Fechter en a fait la mise en scène cette pièce, quia connu un grand succès[16]. Fechter est ensuite retourné en Angleterre, apparaissant à l’Adelphi Theatre (1868) dans le rôle d’Obenreizer dans No Thoroughfare, de Charles Dickens et Wilkie Collins[17], d’Edmond Dantès dans le Comte de Monte-Cristo, et du comte de Leyrac dans Black and White, pièce dans laquelle il lui-même a collaboré avec Wilkie Collins[18].

 
Caricature de Charles Fechter and Charles Dickens par Thomas Nast.

L’aventure du Lyceum Theatre n’ayant pas réussi, il en a vendu, en 1868, le matériel avant de prendre, sur les conseils de Charles Dickens[n 7] de prendre, en 1870, le chemin de l’Amérique, où sa carrière a aussi bien démarré qu’en Angleterre. Sa première apparition à New York est au Niblo’s Garden dans le rôle-titre de Ruy Blas, en [19]. Reçu avec enthousiasme à Boston, il est engagé comme directeur du Globe Theatre au 730 Broadway, en , expérience brève, que le tempérament impérieux de Fechter, aggravé par l’abus de boisson, l’entraine dans des querelles privées et des disputes dans la presse. Parti en janvier 1871, il fait ensuite les mêmes expériences, cette année-là, au vieux French Theatre.

Après son échec au Globe Theatre, il est retourné en Angleterre pendant quelques mois, à la fin de 1872, avant de revenir, au printemps suivant, à New York. Il a continué à se produire dans son répertoire habituel, Hamlet, Ruy Blas et No Thoroughfare. Il a ensuite conclu un bref partenariat avec William Stuart au New Park Théâtre[20], où il a joué dans Love’s Penance, adaptation personnelle du Médecin des enfants de Loeillard d’Avrigny. Sa santé déclinant, il était parfois trop malade pour jouer, et ses accès de colère lui ont aliéné les derniers amis qui lui restaient.

Après l’échec de cette dernière pièce, il s’est retiré dans une ferme qu’il avait achetée dans le petit village de Rockland, passant les trois dernières années de sa vie seul avec Lizzie Price, une actrice de Philadelphie épousée au début de 1874, sans avoir pris la peine de divorcer d’Éléonore Rabut, ce qui le plaçait en situation de bigamie, et ses chiens dans sa ferme, où il est mort pauvre et méprisé, presque sans amis, d’une cirrhose du foie[21].

« Homme de génie, selon les estimations même de ses critiques les plus sévères, acteur éminent de la scène française, anglaise et américaine[n 8] », il a eu d’Éléonore Rabut un fils et une fille, qui a été également actrice[22]. Il a été inhumé au cimetière Mount Vernon de Philadelphie[23]. Son buste est exposé au Garrick Club, à Londres[24].

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Nombre de publications et d’auteurs, notamment de langue anglaise, ont donné Londres comme son lieu de naissance, à la suite de la biographie de Kate Field, op. cit. p. 5, qui va jusqu‘à donner, comme le signale déjà, en 1887, le Notes and Queries (Voir (en) Urban, « Charles Albert Fechter », Notes and Queries,‎ , p. 248 (lire en ligne, consulté le )), sans même un début de preuve, Hanway Yard, Oxford Street, comme son adresse de naissance, mais les registres d’état-civil de la mairie de Paris (Voir Fichiers de l’état civil reconstitué, « Fichiers de l’état civil reconstitué : Naissances V3E/N 872 [89/101] », sur Archives de Paris (consulté le )) établissent irréfutablement que Fechter est né en France, à Belleville.
  2. D’aucuns disent anglaise. Voir Dictionary of the Drama, op. cit.
  3. « J’étais l’automne alors qu’il était le printemps », écrira-t-elle.
  4. Citation originale : « Here was an actor, who on his coming to the stage, shook to their foundations the worn-out traditions of the old school of acting. which, however excellent it might have been in its time, had become musty and pedantic. His power lay in that glowing passion, that wonderful picturesqueness, which carry away the imagination of the audience, qualities that are no longer to be found upon our stage." In answer to the query as to whether an actor of Fechter’s type, and the style of play he presented would be welcomed again upon the stage, he replied : "That is a question. Tastes change and nowhere so quickly as in the theatre. Today the stage work of authors and actors of Fechter’s time are looked upon as poor relics of a departed past, and when a revival of some old play is attempted, the present theatre-goer marvels at what once pleased in the theatre. Perhaps the trouble lies not in the play but the way it is played. Neither Goldsmith, nor Sheridan, nor Robertson are ever bad except when badly acted: when the actor fails, the author is ridiculed. »
  5. Citation originale : « But it was not alone as an actor that Fechter left his mark upon the stage. Baker, in his "History of the English Stage," says: "Fechter inaugurated a new era in English histrionic art that led to the great theatrical revival of the nineteeth century He began by revolutionising the stage. The ancient grooves, trap-doors and sticky flats were abolished; the flooring so constructed that it could be taken to pieces like a child’s puzzle ; scenery could be raised or sunk bodily and all the shifting was done on the mezzanine stage beneath; ceilings were no longer represented by hanging cloths, or the walls of a room by open wings, but were solidly built. »
  6. Fechter, qui a séjourné en Angleterre de 6 à 12 ans, parlait couramment et correctement anglais, mais avec une intonation française.
  7. Ce dernier est allé jusqu’à lui écrire un article dans The Atlantic.
  8. Citation originale : « A man of genius, in the estimate of even his severest critics, an eminent actor on the French, the English, and the American stage », Pennsylvania Biographical Dictionary, op. cit.

Références modifier

  1. (en) Kate Field, Charles Albert Fetcher, Boston, J. R. Osgood, , 205 p., 20 cm (OCLC 38697089, lire en ligne), p. 7.
  2. (en) Catherine Quirk, « The French Actor on the London Stage : Charles Fechter », Cahiers victoriens et édouardiens, Paris, vol. 86,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cve.3359, lire en ligne, consulté le ).
  3. a et b Hippolyte Fortoul et Geneviève Massa-Gille (dir.), Journal d’Hippolyte Fortoul : ministre de l’instruction publique et des cultes (1811-1856), t. 2, 1er juillet 1855 - 4 juillet 1856, Paris, Droz, , 441 p. (ISBN 978-2-600-03990-1, lire en ligne), p. 87.
  4. a b et c Gustave Vapereau, Dictionnaire universel des contemporains contenant toutes les personnes notables de la France et des pays étrangers, Paris, Hachette & Cie, , 3e éd., 1862 p. (OCLC 77430648, lire en ligne), p. 646.
  5. a et b « Fechter », Revue du monde musical et dramatique, vol. 1-2,‎ , p. 89 (lire en ligne, consulté le ).
  6. Henry Lyonnet, La Dame aux camélias, Paris, Société française d’éditions littéraires et techniques, , 147 p., 19 cm (OCLC 583737325, lire en ligne), p. 84.
  7. Émile de La Bédollière (ill. Paul Gavarni), Londres et les Anglais, Paris, Barba, , 379 p. (lire en ligne), p. 170.
  8. Louis-Henry Lecomte, Virginie Déjazet d’après ses papiers et sa correspondance, Paris, Jules Tallandier, , 336 p., 1 vol. portr., couv. ill. ; in-18 ([bpt6k37020w/f213 lire en ligne] sur Gallica), p. 206.
  9. (en) William Davenport Adams, A Dictionary of the Drama : A Guide to the Plays, Playwrights, Players, and Playhouses of the United Kingdom and America, from the Earliest Times to the Present, t. 1. A-G, Chatto & Windus, , 627 p. (lire en ligne), p. 506.
  10. Bulletin baudelairien, vol. 22-26, Vanderbilt University, (lire en ligne), p. 67.
  11. Edmond Stoullig, « Chronique dramatique », Le Monde artiste, Paris, vol. 34, no 33,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  12. Edwin Booth, Victor Hugo’s Drama of Ruy Blas, Paris, W. Winter, , 118 p. (lire en ligne), p. 6.
  13. Cité dans (en) Charles Burham, « Charles Ferchter’s Debut in America », The Theatre, Meyer Bros. & Company, vol. 25,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  14. Ibid.
  15. (en) Henry Barton Baker, History of the London Stage and Its Famous Players (1576-1903), Londres, George Routledge and sons, , 2e éd., 557 p., 1 vol. (lire en ligne)
  16. Adolphe Le Reboullet, Eugène Seinguerlet et Charles Mehl, « Revue théâtrale », Revue alsacienne, Nancy, Berger-Levrault et cie, vol. 6,‎ , p. 344 (lire en ligne, consulté le ).
  17. (en) Charles Dickens, Delphi Complete Works of Charles Dickens (Illustrated), Delphi Classics, , 20457 p. (ISBN 978-1-908909-00-8, lire en ligne), p. 13779.
  18. (en) Steve Farmer (dir.), The Moonstone, Broadview Press, , 719 p. (ISBN 978-1-77048-191-6, lire en ligne), p. 25.
  19. (en) Charles Burnham, « Charles Fechter’s Debut in America », The Theatre, Meyer Bros. & Company, vol. 25,‎ , p. 7 (lire en ligne, consulté le ).
  20. (en) Ruth Crosby Dimmick, Our Theatres To-day and Yesterday, New York City, The H. K. Fly Company, (lire en ligne).
  21. (en) Jan Onofrio, « Fechter, Charles Albert », Pennsylvania Biographical Dictionary, Somerset, vol. 82,‎ , p. 384-5 (ISBN 978-0-40309-950-4, lire en ligne, consulté le ).
  22. Henry Lyonnet, Dictionnaire des comédiens français, ceux d'hier : biographie, bibliographie, iconographie, t. 2. E-Z, Genève, Bibliothèque de la Revue Universelle International Illustrée, s.d., 717 p., 2 vol. : ill., portr. ; 29 cm (lire en ligne sur Gallica), p. 565.
  23. (en) William T. Leonard, Masquerade in Black, Metuchen, Scarecrow Press, , 431 p. (ISBN 978-0-8108-1895-8, OCLC 241760298, lire en ligne), p. 74.
  24. (en) Percy Fitzgerald, The Garrick Club, Londres, Elliot Stock, , xviii, 252, 29 cm (OCLC 1169514637, lire en ligne), p. 233.

Bibliographie modifier

Liens externes modifier

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