La calotte d'un moulin à vent à calotte tournante repose librement sur le corps d'un moulin à vent et peut pivoter à 360 degrés grâce au système d'orientation au vent (kruiwerk (nl)). La calotte rotative a été inventé au XVe siècle. L'arbre principal avec la « grand rouet » ou « rouet de frein » est situé dans la calotte.

Vocabulaire de moulinologie[1] français (néerlandais). Composants d'une calotte: 1=_(steenbord), 2= poutre marbrière (windpeluw), 3=luon (keerstijl), 4=_(hoekstijl), 5=panne de croupe avant (voorkeuvelensbalk), 6=_(wolfskeper), 7=_(nokbalk), 8=_(korte spruit), 9=_(penbalk), 10=_(ijzerbalk), 11=_(spantring), 12=_(overring), 13=_(steunderbalk), 14=_(spant), 15=_(linkervoeghout), 16=_(weerstijl), 17=_(burgemeester), 18=_(rechtervoeghout), 19=panne de croupe arrière (achterkeuvelensbalk), 20=_(roosterhout)


Description modifier

En Hollande, le dessus de la calotte est couvert de roseaux de Kalenberger, de bardeaux (schalie), bardages en planche, de plaques de cuivre ou de bois avec feutre bitumé. Seul le roseau local convient comme revêtement de calotte, en raison de sa finesse, qui le rend très résistant. Le roseau est également orienté vers le haut. Le roseau est assuré avec une corde, car le fil de fer est trop lisse permet au roseau de s'échapper. De plus les acides du roseau endommagent trop facilement le fil de fer.

Galerie modifier

De Walderveen modifier

De Koe modifier

De Hoop modifier

Oog in't Zeil modifier

Autre modifier


Références modifier

  1. Dictionnaire de Molinologie Anglais - Allemand - Français - Néerlandais. Compilé par la Groupe de travail du dictionnaire de la TIMS. Lire en ligne