Caharet

commune française du département des Hautes-Pyrénées

Caharet
Caharet
Paysage dans les environs du village de Caharet
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Tarbes
Intercommunalité Communauté de communes des Coteaux du Val d'Arros
Maire
Mandat
Jean-Luc Péré
2020-2026
Code postal 65190
Code commune 65118
Démographie
Gentilé Caharetais
Population
municipale
33 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 08′ 44″ nord, 0° 19′ 06″ est
Altitude Min. 408 m
Max. 569 m
Superficie 1,23 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lannemezan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Arros et des Baïses
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Caharet
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Caharet
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Voir sur la carte topographique des Hautes-Pyrénées
Caharet
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Voir sur la carte administrative d'Occitanie
Caharet

Caharet est une commune française située dans l'est du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne.

Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Lène et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Caharet est une commune rurale qui compte 33 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 116 habitants en 1831. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Lannemezan..

Ses habitants sont appelés les Caharetais.

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune de Caharet se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 22 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, et à 7 km de Tournay[2], bureau centralisateur du canton de la Vallée de l'Arros et des Baïses dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lannemezan[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Péré (1,1 km), Bégole (1,6 km), Lutilhous (1,9 km), Lagrange (3,0 km), Houeydets (3,3 km), Castéra-Lanusse (4,2 km), Mauvezin (4,3 km), Ricaud (4,4 km).

Sur le plan historique et culturel, Caharet fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre[4].

 
Carte de la commune de Caharet et des proches communes.
Communes limitrophes de Caharet[5]
Bégole
Péré  
Lutilhous

Hydrographie modifier

La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par le Lène, le ruisseau Coustalat et le ruisseau de Coustalats, constituant un réseau hydrographique de 1 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le Lène, d'une longueur totale de 11,1 km, prend sa source dans la commune de Capvern et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Arros à Ozon, après avoir traversé 8 communes[8].

Climat modifier

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[10].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

  • Moyenne annuelle de température : 11,4 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,6 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 1 025 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,1 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Campistrous », sur la commune de Campistrous, mise en service en 1989[14] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[15],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de précipitations de 1 103,2 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 28 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[18], à 12,6 °C pour 1981-2010[19], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[20].

Milieux naturels et biodiversité modifier

 
Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[21] : les « coteaux de Capvern à Betplan » (10 246 ha), couvrant 46 communes dont huit dans le Gers et 38 dans les Hautes-Pyrénées[22].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Caharet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[23],[I 2],[24].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lannemezan, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (52,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,8 %), zones agricoles hétérogènes (47,2 %)[25].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Logement modifier

En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 16[I 5].
Parmi ces logements, 75,0 % sont des résidences principales, 12,5 % des résidences secondaires et 12,5 % des logements vacants.

Voies de communication et transports modifier

La route départementale D 411 traverse le village.

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Caharet est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

Risques naturels modifier

Caharet est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[28]

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Caharet.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[29].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 18 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 18 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[31].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[26].

Risque technologique modifier

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[32].

Toponymie modifier

 
 
Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Caharet à l'ouest de Lannemezan

On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[33] qui rapporte les dénominations historiques du village :

Dénominations historiques :

Nom occitan : Caharet.

Histoire modifier

Cadastre napoléonien de Caharet modifier

Le plan cadastral napoléonien de Caharet est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[34].

Politique et administration modifier

 
La mairie en 2017.
 
Le foyer rural en 2019

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 2001 mars 2020 Raymond Père    
mars 2020 en cours Jean-Luc Péré    

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Historique administratif modifier

Sénéchaussée de Toulouse, élection d'Astarac, canton de Tournay (depuis 1801). Citée en 1790 et 1791 comme hameau de Lanespède, apparaît comme commune en 1791[35].

Intercommunalité modifier

Caharet appartient à la communauté de communes des Coteaux du Val d'Arros créée en janvier 2017 et qui réunit 54 communes.

Services publics modifier

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38]. En 2021, la commune comptait 33 habitants[Note 8], en stagnation par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
10299111116102105112115101
1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
10310588929082697997
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
513937323428313531
1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 -
3129252628263733-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2017[41].

Économie modifier

Emploi modifier

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 0 % 0 % 0 %
Département[I 7] 7,7 % 9,4 % 9,8 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 18 personnes, parmi lesquelles on compte 61,1 % d'actifs (61,1 % ayant un emploi et 0 % de chômeurs) et 38,9 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Lannemezan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 4 emplois en 2018, contre 3 en 2013 et 4 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 11, soit un indicateur de concentration d'emploi de 36,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 37,9 %[I 10].

Sur ces 11 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 3 travaillent dans la commune, soit 27 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 81,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 18,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied[I 12].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Début 2017, la commune est « réputée sans clochers »[42].

La commune ne dispose pas de cimetière.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

Il n'y a pas de blason officiel sur cette commune.

Voir aussi modifier

 
Le monument aux morts municipal (commun avec Bégole).

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Caharet » sur Géoportail (consulté le 3 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Caharet » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lannemezan » (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. Insee : Rapport statistique communal pour la ville de Caharet
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Caharet » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Caharet » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. Stephan Georg, « Distance entre Caharet et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Caharet et Tournay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Caharet », sur villorama.com (consulté le ).
  4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 287-289.
  5. Carte IGN sous Géoportail
  6. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Fiche communale de Caharet », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  8. Sandre, « le Lène »
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le ).
  14. « Station Météo-France Campistrous - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Orthodromie entre Caharet et Campistrous », sur fr.distance.to (consulté le ).
  16. « Station Météo-France Campistrous - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Orthodromie entre Caharet et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
  18. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  19. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  20. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  21. « Liste des ZNIEFF de la commune de Caharet », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « ZNIEFF les « coteaux de Capvern à Betplan » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  26. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Caharet », sur Géorisques (consulté le ).
  27. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  28. « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie (PDPFCI) 2020 – 2029 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur hautes-pyrenees.gouv.fr (consulté le ).
  29. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  30. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  31. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Caharet », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  32. « Dossier départemental des risques majeurs des Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  33. Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes Pyrénées, 2000.
  34. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Caharet en 1823
  35. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
  36. « Liste des juridictions compétentes pour Caharet », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. « Annuaire : Résultats de recherche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  42. « Recherches sur critères », Clochers de France.