Cabourg

commune française du département du Calvados

Cabourg
Cabourg
Le Grand Hôtel.
Blason de Cabourg
Blason
Cabourg
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Lisieux
Intercommunalité CC Normandie-Cabourg-Pays d'Auge
Maire
Mandat
Emmanuel Porcq
2023-2026
Code postal 14390
Code commune 14117
Démographie
Gentilé Cabourgeais
Population
municipale
3 583 hab. (2021 en diminution de 2,21 % par rapport à 2015)
Densité 649 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 17′ 21″ nord, 0° 06′ 55″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 15 m
Superficie 5,52 km2
Élections
Départementales Canton de Cabourg
(bureau centralisateur)
Législatives 4e circonscription du Calvados
Localisation
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Liens
Site web https://cabourg.fr/

Cabourg est une commune française située dans le département du Calvados, région Normandie.

Ville de villégiature de Marcel Proust qui aimait résider dans « son » Grand Hôtel, la commune est une importante station balnéaire au bord de la Manche et a été un lieu de rendez-vous de la grande bourgeoisie européenne, principalement française, anglaise, belge, suisse et russe durant la Belle Époque et l'entre-deux-guerres. Son front de mer se couvre d'hôtels dans les années 1920.

Elle est peuplée de 3 583 habitants[Note 1], les Cabourgeais.

Géographie modifier

Situation modifier

Cabourg est une ville balnéaire normande de la Côte Fleurie située entre Caen et Deauville au sud de la baie de la Seine. La ville est située en bord de mer et en bord de la Dives. Elle se situe aux portes du pays d'Auge.

Le Sentier de grande randonnée GR 223 passe le long de la plage de Cabourg.

Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes sont Dives-sur-Mer, Houlgate et Varaville.

Hydrographie modifier

Cabourg est une commune limitrophe de la Manche dont le territoire est limité à l'ouest par le lit du fleuve côtier la Dives.

La Divette y conflue.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant à la plaine agricole de Caen à Falaise, sous le vent des collines de Normandie et proche de la mer, se caractérisant par une pluviométrie et des contraintes thermiques modérées[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 716 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sallenelles à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 735,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Cabourg est une commune urbaine[Note 2],[8]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10].

Elle appartient à l'unité urbaine de Dives-sur-Mer, une agglomération intra-départementale regroupant 24 communes[11] et 36 564 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dives-sur-Mer, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

La commune, bordée par la Dives, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[16]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[17],[18].

Occupation des sols modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (73,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (59,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (54,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (19,4 %), prairies (18,4 %), eaux maritimes (4,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,3 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement modifier

En 2023, le nombre total de logements dans la commune est de 11 117, alors qu'il était de 10 853 en 2019, de 10 500 en 2014 et de 10 242 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 19,3 % étaient des résidences principales, 78,7 % des résidences secondaires et 1,02 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 25 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 74,9 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Cabourg en 2019 en comparaison avec celle du Calvados et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (79,7 %) extrêmement supérieure à celle du département (17,9 %) et à celle de la France entière (9,7 %), qui matérialise le statut de commune balnéaire de Cabourg. Concernant le statut d'occupation de ces logements, 54,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (53,2 % en 2014), contre 57 % pour le Calvados et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Cabourg en 2019.
Typologie Cabourg[I 1] Calvados[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 18,3 75,1 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 79,8 17,9 9,7
Logements vacants (en %) 1,9 6,9 8,2

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes latinisées Cathburgum en 1066 - 1079[20] ; Cadburgus et Cathburgus en 1077[21] et la forme normande Cadburg en 1082[20] ; Caborc en 1155 ; Cadborc en 1169 ; Caburgus en 1172 ; Cadburgus en 1190 ; Cabourc en 1297 ; Cabourt au XIVe siècle ; Cabbourg en 1554[22].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale dont l'origine précise reste à déterminer. Ernest Nègre explique Cabourg par le nom de femme Hadeburgis pris absolument[20]. Albert Dauzat et Charles Rostaing préfèrent comme la plupart des toponymistes, la juxtaposition de deux appellatifs, à savoir, pour eux, le gaulois cato- « combat » et germanique burg « village »[21] (comprendre « germanique continental »). René Lepelley se contente de reprendre le propos du précédent mais évoque un bas latin burgus[23]. Enfin pour Louis Guinet, il s'agit vraisemblablement d'un nom de lieu basé sur le vieux saxon *burg[24] que François de Beaurepaire considère comme vieil anglais en Normandie, c'est-à-dire burg, burh « bourg »[25]. Il est précédé d'un élément indéterminé, peut-être le celtique cad « combat » ou un nom de personne saxon Cada, car il se rapproche manifestement des noms de lieux britanniques du type Cadbury et Cadborough qui sont aussi d'anciens Cadburg, Cadbuhr[24]. L'hypothèse saxonne est renforcée par l'existence avérée aussi bien par les textes d'époque que par l'archéologie moderne, d'établissements saxons aux IVe-Ve – VIe siècles dans le Bessin et la campagne de Caen, ainsi que par l'existence de plusieurs lieux-dits Cabourg, Cabourt, Cabour en Normandie[24], mais pas ailleurs. Selon François de Beaurepaire, les types toponymiques en -bourg auraient pu se diffuser postérieurement, lors de l'arrivée de colons anglo-scandinaves au Xe siècle (cf. Cherbourg ou Wambourg).

Remarque : La suggestion d'Ernest Nègre reste la moins forte, autant d'un point de vue phonétique (on voit mal en effet comment Hadeburg- serait devenu Cathburg- / Cadburg-, avec passage de [h] à [c] inexplicable en Normandie) que d'un point de vue structurel (les anthroponymes, notamment féminins, employés absolument sont extrêmement rares dans la toponymie normande, en particulier ceux d'une époque aussi reculée).

Histoire modifier

 
Le Casino : lithographie d'Henri Privat-Livemont (1897).

En 1793, on recense à Cabourg seulement 165 habitants[26]. Le village se développe alors principalement à proximité de la Dives, au nord de la confluence avec la Divette. L'habitat s'organise autour de deux axes : l'un parallèle au fleuve et l'autre au sud de la route de Caen à Dives, l'église se trouvant légèrement isolée au sud-ouest[27]. Les dunes au nord de la commune ne sont pas peuplées[28]. Au XIXe siècle, la population augmente régulièrement jusqu'à atteindre 718 habitants en 1866.

Henri Durand-Morimbau (père d'Henri des Houx), homme d’affaires et avocat parisien, décide dans les années 1850 de créer une station balnéaire à proximité du petit village de pêcheurs. Pour ce faire, il fonde une Société thermale. Doté d'un capital de 12 millions de francs par actions au porteur, de 500 francs chacune, l'organisme achète les terrains riverains de la mer constitués de dunes et d'herbages. On confie à l'architecte Robinet, le soin de tracer un plan d'urbanisme[29]. Celui-ci choisit un plan radio-concentrique rappelant celui des théâtres gréco-romains : les avenues convergent vers une place centrale sur laquelle est érigée un casino composant la scène. La première pierre du casino, en réalité construit en bois, est solennellement posée le et des centaines d’arbres sont plantés le long des avenues nouvellement tracées. La nouvelle station balnéaire est alors inaugurée, sous le nom de Cabourg-les-Bains[30]. Mais les ressources financières viennent rapidement à manquer et la station souffre de son absence de desserte par les chemins de fer.

En 1861, un grand hôtel est construit en bordure du rivage. Il est détruit puis reconstruit en 1907 par les architectes Virault et Mauclerc. Le casino en bois est remplacé en 1867 par un nouveau bâtiment en pierre plus fonctionnel.

En 1879, une ligne de chemin de fer est ouverte entre la gare de Dives-Cabourg et celle de Mézidon, permettant ainsi des liaisons depuis Paris ; elle est prolongée jusqu'à Trouville-Deauville en 1882-1884. En 1881, une ligne entre Caen et Dozulé-Putot s'embranche sur la ligne Mézidon - Dives, améliorant ainsi la liaison entre la station balnéaire et la préfecture. En 1891 - 1892, la première ligne des chemins de fer du Calvados est ouverte entre Caen et Dives ; trois haltes sont prévues sur le territoire communal : Bas-Cabourg, Cabourg Pépinière, Cabourg (au bout de l'avenue de la Mer).

Après une légère baisse démographique dans les années 1870, la population cabourgeaise s'accroît rapidement quand le village devient une cité balnéaire à la mode.

De 1881 à 1936, la population double (de 1 014 à 2 095 habitants), avant d'atteindre son maximum en 1946 avec 3 479 habitants recensés. De nombreux équipements sont construits pour faire face à l'essor de la station :

  • un nouvel hôtel de ville en 1883, regroupant la mairie, l’école des garçons et le bureau des Postes et télégraphes ;
  • une digue-promenade en 1887 de 1 200 m de long afin de lutter contre l'érosion ;
  • des équipements touristiques tel que le garden-tennis ou le golf, situé près de l'hippodrome ;
  • le Grand Hôtel, reconstruit en 1908 par les architectes Viraut et E. Mauclerc.

Après un fort déclin démographique dans les années 1950, la population repart à la hausse dans les années 1970 en raison de la politique de relance touristique et de promotion immobilière de Bruno Coquatrix élu maire en 1971 ; en 1999, le nombre d'habitants dépasse son seuil historique de 1946.

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs modifier

La commune se trouvait depuis 1801 dans l'arrondissement de Caen du département de du Calvados. Le , elle est transférée à celui de Lisieux[31].

Elle faisait partie de 1801 à 1982 du canton de Troarn, année où elle devient le chef-lieu du canton de Cabourg[32]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux modifier

Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur d'un nouveau canton de Cabourg, qui compte désormais 34 communes.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription du Calvados.

Intercommunalité modifier

Cabourg était membre de la communauté de communes de l'Estuaire de la Dives, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2002 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Normandie-Cabourg-Pays d'Auge dont est désormais membre la commune.

Tendances politiques et résultats modifier

Lors du second tour des élections municipales de 2014 dans le Calvados, la liste DVD menée par Tristan Duval obtient la majorité des suffrages exprimés, avec 1 015 voix (45,09 %, 20 conseillers municipaux élus dont 5 communautaires, devançant de 4 voix celle, également DVD, menée par Pascal Sourbé, qui a recueilli 1 011 voix (44,91 %, 6 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
La troisième liste, PS-PCF-EELV, a obtenu 225 voix (9,99 %, 1 conseiller municipal élu).
Lors de ce scrutin, 27,90 % des électeurs se sont abstenus[33].

Ces élections sont annulées par le Conseil d'État le et de nouvelles élections municipales sont organisées en mai[34]. Lors du premier tour, la liste DVD menée par le maire invalidé Tristan Duval obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 224 voix (59,91 %), devançant très largement les listes menées respectivement par[35] :
- Pascal Sourbé[36] (DVD, 685 voix, 33,53 %) ;
- Florence Lepennetier[37] (DVG, 134 voix, 6,56 %).
Lors de ce scrutin, 32,72 % des électeurs se sont abstenus.

Lors du second tour des élections municipales de 2020 dans le Calvados[38], la liste DVD menée par le maire sortant Tristan Duval[39] obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 094 voix, devançant très largement celle DVD menée par Julien Champain — bénéficiant de la fusion de la liste du 1er tour DIV menée par Alexandra Lorin Guinard — qui a recueilli 770 voix (41,30 %, 5 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 42,93 % des électeurs se sont abstenus[40],[41]

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1946 mars 1965 André Thiers
(1890-1973)
  Maître des requêtes au Conseil d'État
mars 1965 mars 1971 Marie-Paul Manalt   Propriétaire d'hôtel
mars 1971 avril 1979 Bruno Coquatrix SE Directeur de l'Olympia
Chevalier de la Légion d'honneur, chevalier des Palmes académiques
Mort en fonction
avril 1979 mars 1989 Michel Moles[Note 4]. MRG Conseiller financier
mars 1989 juin 1995 Didier Van Themsche[44],[45] DVD Éleveur de chevaux de course
Président de la Semcar[46]
juin 1995 avril 2004 Jacques Porcq[47] RPR
puis UMP
Médecin
Président de la CC de l'Estuaire de la Dives (2004 → 2008)
Conseiller régional de Basse-Normandie[Quand ?]
Démissionnaire
avril 2004 avril 2014 Jean-Paul Henriet UMP Médecin
Chevalier de la Légion d'honneur[48]
avril 2014[49] septembre 2023[50] Tristan Duval[51],[52] DVD Producteur de spectacles
Vice-président de la CC Normandie-Cabourg-Pays d'Auge (2017 → )
Démissionnaire[53]
septembre 2023[54],[55] En cours
(au 29 septembre 2023)
Emmanuel Porcq LR[56] Notaire à Dozulé
Conseiller départemental du Calvados (2020 → )

Distinctions et labels modifier

La commune est classée « quatre fleurs » au Concours des villes et villages fleuris et grand prix national du fleurissement. Elle fait partie des sept villes à avoir eu la « fleur d'or » au millésime 2013.

Depuis , Cabourg bénéficie de la dénomination commune touristique[57]. En 2017, la compétence tourisme est intégrée à Normandie Cabourg Pays d’Auge Tourisme, qui avait alors en charge d’assurer la promotion touristique de Cabourg. Depuis le 1er janvier 2024, la ville de Cabourg a récupéré sa compétence « Promotion du tourisme, dont la création d’office de tourisme ». La ville dispose d'un office de tourisme.

Jumelages modifier

 
Jumelages et partenariats de Cabourg. 
Jumelages et partenariats de Cabourg. 
VillePaysPériode
 Atlantic City[58] États-Unis
 Bad Homburg vor der Höhe[58] Allemagnedepuis
Bromont[58],[59] Canadadepuis
 Coire[58] Suissedepuis
 Jurmala[58] Lettoniedepuis
 Mayrhofen[58] Autrichedepuis
 Mondorf-les-Bains[58] Luxembourgdepuis
Oussouye[58] Sénégal
Salcombe[58] Royaume-Unidepuis
 Spa[58] Belgiquedepuis
 Terracine[58] Italiedepuis

Équipements et services publics modifier

Équipements sportifs modifier

Dans la ville sont implantés plusieurs équipements sportifs :

  • un hippodrome,
  • une plaine des sports avec un gymnase, un skate park et un stade
  • un minigolf,
  • deux golfs,
  • un club de voile,
  • un club de char à voile,
  • une piscine (un centre aqualudique verra le jour à l'été 2024),
  • des terrains de tennis et de padel,
  • un circuit de karting
  • jet ski
  • kite surf.

Des loueurs de vélo permettent aussi d’effectuer des randonnées sur la côte et dans les marais.

Justice, sécurité, secours et défense modifier

La ville est dotée d'une police municipale, et équipée d'un système de vidéoprotection, déployé dans toute la commune.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[60]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[61].

En 2021, la commune comptait 3 583 habitants[Note 5], en diminution de 2,21 % par rapport à 2015 (Calvados : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
165227245224276323321345375
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
5637187016941 0141 0991 1251 3651 644
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 8521 9571 8972 0112 0362 0953 4793 1023 022
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
3 0673 3083 2383 3553 5203 9654 0273 7123 650
2021 - - - - - - - -
3 583--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[62].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités modifier

 
Bérénice Bejo, Camille Japy et Marilou Aussilloux lors du Festival du Film de Cabourg, en 2023.

Cabourg accueille chaque année de nombreux événements : la Saint Valentin, le Garden en fleurs, Cabourg à la Belle Époque, les feux de la saint Jean, le festival de musique Cabourg, Mon Amour, déambulations et concerts l'été dans l'avenue de la Mer, Villas en musique, festival littéraire Des Mots à la Mer, etc.

Tous les ans a également lieu, sur la plage et la promenade Marcel-Proust, le Festival du film romantique[43].

Économie modifier

Commerce modifier

La ville est dotée d'un supermarché.

Dans l'artère de Cabourg, l'avenue de la Mer, il y a de nombreuses boutiques-souvenirs.

De nombreux restaurants sont implantés dans la ville.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Le Grand Hôtel de Cabourg : en grande partie, ce bâtiment est inscrit depuis 1993 à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques. Marcel Proust y a séjourné et il fut occupé par les Allemands lors de la Seconde Guerre mondiale.
  • Église Saint-Michel de Cabourg.
  • Le Casino, agrandi de 2006 à 2007. Il est décidé de construire un nouveau Casino, qui sera situé près du complexe aqualudique, afin de redonner sa vocation à l’ancien d’un lieu de culture comprenant un théâtre et des espaces de réception pour des congrès.
  • Le buste de Charles Bertrand, réalisé par Alfred Boucher et inauguré en . Il est situé dans les jardins du Casino.
  • La statue de Marcel Proust, réalisée par Edgar Duvivier (pt) et inaugurée en . D'abord située dans les jardins du casino, elle se trouve désormais dans les jardins de la Villa du Temps retrouvé.
  • Les bains de Cabourg, se situant sous la promenade Marcel-Proust.
  • La thalassothérapie, son hôtel « Les bains de Cabourg » et son restaurant « Le poisson d'argent ».

Selon le ministère de la Culture, le casino et le Grand-Hôtel constituent « l'un des ensembles balnéaires les plus cohérents et les mieux conservés de la Belle Époque »[63].

  • En mai 2021, la Villa du Temps retrouvé ouvre ses portes. Ce musée d’un nouveau genre propose un voyage dans la Belle Époque, accompagné par l’œuvre Marcel Proust[64]. Développé et imaginé par Tristan Duval alors maire de Cabourg, avec un comité scientifique parmi lesquels siégeait Jérôme Neutre, Jérôme Clément, il se veut un lieu présentant des oeuvres majeures issues des grandes collections et de grands musées comme Orsay, Beaux arts de Rouen et de Strasbourg, Carnavalet, etc. La Villa du Temps retrouvé propose un parcours Belle Époque et une exposition thématique autour des grandes personnalités de la période comme Gustave Eiffel, Fantômas, Max Linder, etc.

Cabourg, comme sa voisine Deauville et d'autres villes proches du littoral de Normandie situées à proximité de Paris, présente beaucoup de superbes habitations privées. Ainsi, sur les grandes artères de la ville (l'avenue de la Mer par exemple), ou dans les plus petites ruelles, on peut admirer de très belles, et souvent très grandes, demeures ou villas.

Cabourg dans les arts et la culture modifier

Littérature modifier

Cabourg a servi de modèle à Marcel Proust pour la station balnéaire de Balbec, qui sert de cadre à une partie de À l'ombre des jeunes filles en fleurs, deuxième roman de À la recherche du temps perdu[65]. L'écrivain a résidé plusieurs années au Grand-Hôtel, de 1907 à 1914[66].

Depuis 2001, le Cercle littéraire proustien de Cabourg-Balbec décerne tous les deux ans le prix de la Madeleine d'or à une œuvre en français permettant la promotion ou l'étude de l'œuvre de Marcel Proust.

Depuis 2021, Cabourg organise le festival littéraire « Des mots à la mer » au mois d'octobre, célébrant la littérature généraliste et la littérature jeunesse.

À la télévision modifier

En 1989, Cabourg gagne la finale du jeu télévisé Intervilles face à Troyes[67].

Au cinéma modifier

Gastronomie modifier

Les Coques de Cabourg sont une spécialité chocolatière (appellation réglementaire : bonbons de chocolats fourrés pralinés) approuvée par la ville de Cabourg depuis 2017. Inspirées des coquillages appelés communément « coques » et scientifiquement « Cerastoderma edule » qui se ramassent sur les plages normandes, les Coques de Cabourg existent en trois saveurs, fleur de sel, caramel, et teurgoule, une spécialité normande de riz-au-lait à la cannelle cuite au four[68].

Personnalités liées à la commune modifier

  • Adolphe d'Ennery (1811-1899), dramaturge, maire de la ville, propriétaire de la villa l'Albatros.
  • Louis Artus (1870-1960), auteur dramatique, vaudevilliste, romancier et critique. Ami de Proust[69], une avenue de Cabourg porte son nom.
 
Marcel Proust, habitué du Grand-Hôtel de Cabourg.

Héraldique, logo et devise modifier

  Blason
Parti : au 1er de gueules au bateau de sable habillé d'argent et flammé de tricolore voguant de face sur une mer d'azur, au 2e à l'estuaire de la Dives au naturel, formé d'un littoral d'or mouvant du flanc senestre et de la pointe, parcouru d'un fleuve sinueux d'azur mouvant de senestre et se jetant en chef dans une mer aussi d'azur, le tout sommé d'un chef d'azur chargé d'un poisson d'argent[73].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
 
Logo actuel de Cabourg.

Le logo de la commune est reproduit ci-contre.

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Population municipale 2021, légale en 2024.
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Initiateur du Festival du film de Cabourg[43].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

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Références modifier

Site de l'Insee modifier

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Autres sources modifier

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  37. Corinne Printemps, « Ancienne élue de Cabourg, Florence Lepennetier est décédée : À 67 ans, Florence Lepennetier, présidente de l’association Cabourg pour tous, est décédée des suites d’une longue maladie. Tous, proches et opposants politiques, lui reconnaissent sa fidélité aux idées de gauche et un engagement sans failles dans le respect de chacun », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ) « n 2014, Tristan Duval devenu maire, Florence Lepennetier est la seule représentante de Cabourg pour tous à siéger au conseil municipal. Juin 2014, le tribunal administratif invalide le résultat. Mai 2015, Tristan Duval est réélu et Florence Lepennetier perd son siège. « Nous allons continuer de travailler au sein de notre association », déclare alors, Florence Lepennetier ».
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  42. « Par décret du président de la République, contresigné par le ministre de l'intérieur, […] M. Joseph Pégat, maire de Cabourg, ont été révoqués. » [3]
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  44. « Le maire de Cabourg mis en examen pour escroquerie », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Elle fait suite à une plainte déposée par Me Corinne Lepage Huglo, maire-adjoint, et plusieurs conseillers municipaux ».
  45. M.L., « La droite et le centre s’unissent autour de Didier Van Themsche (UMP) », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Didier Van Themsche, 69 ans, un militant UMP, propriétaire terrien à Moissy-Cramayel autour de la ferme de Chanteloup et consultant hippique, conduira la liste d'union de la droite et du centre aux élections municipales de Moissy-Cramayel en mars 2014 [...] Peu importent ses cinq ans d'ennuis judiciaires et sa condamnation pour abus de confiance et abus de crédits : « Ce n'était que des attaques politiques lancées par mon opposante à Cabourg, Corine Lepage, rétorque Didier Van Themsche. J'ai été relaxé pour tout le reste ».
  46. « La SEM de Cabourg et sa région affiche un passif de 36 millions : La tribunal de commerce de Caen a nommé hier un administrateur judiciaire pour rétablir la situation financière de la Semcar en dépôt de bilan. Mais c'est toute la gestion de la précédente municipalité qui est aujourd'hui en accusation », Les Échos,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Cette SEM, présidée par l'ancien maire Didier Van Themsche, battu aux dernières municipales par la liste de Jacques Porcq sur laquelle figurait le ministre de l'Environnement Corinne Lepage, se trouvait confrontée à une impasse de trésorerie d'environ 36 millions de francs, qui l'a conduite à déposer son bilan le 24 juillet ».
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  48. Nicolas Mouchel, « L'ancien maire de Cabourg Jean-Paul Henriet promu chevalier de la Légion d'Honneur : À 77 ans, pour son action de conseiller municipal puis maire de Cabourg, Jean-Paul Henriet a reçu les insignes de chevalier de la Légion d'Honneur », Le Pays d'Auge,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élu conseiller municipal en 1979, réélu en mars 1983 puis 2001, Jean-Paul Henriet devient premier adjoint en 2001 puis maire en succédant à Jacques Porcq en 2004 ».
  49. « Tristan Duval est élu maire : Devant une assistance de deux-cents personnes, Tristan Duval a été élu maire de Cabourg, sans surprise. Huit adjoints le soutiendront dans sa tâche. », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  50. Nicolas Mouchel, « Le maire de Cabourg Tristan Duval passe la main : "mon bilan, j'en suis très fier" : Ce vendredi 22 septembre 2023, lors du conseil municipal de Cabourg, le maire Tristan Duval annoncera sa démission après un mandat et demi, comme prévu lors de son élection », Le Pays d'Auge,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  51. Élection municipale de 2014 annulée par le Conseil d'État en 2015 : « Annulation de l’élection municipale de Cabourg : Mise en place d’une délégation spéciale » [PDF], Actualités, Préfecture du Calvados, (consulté le ).
  52. Réélu en 2015 après l'annulation des élections de 2014 : « Tristan Duval maire, Pascal Sourbé démissionne : Sans surprise, Tristan Duval a été élu maire, entouré de la même équipe d'adjoints qu'en mars 2014. Du côté de l'opposition, Pascal Sourbé et Catherine Sicard ont démissionné », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  53. Fanny Tual, « Cabourg : les derniers vœux du maire Tristan Duval : Samedi 28 janvier 2023, c'était la dernière fois que Tristan Duval formulait ses vœux en tant que maire. Comme promis, le Cabourgeais quittera ses fonctions dans neuf mois », [[Le Pays d'Auge (journal)|]],‎ (lire en ligne, consulté le ).
  54. Nicolas Mouchel, « Emmanuel Porcq devient maire de Cabourg et succède à Tristan Duval : Emmanuel Porcq a été élu maire de Cabourg, vendredi 29 septembre 2023. Il succède à Tristan Duval qui devient quant à lui 8e adjoint, en charge des grands projets d’urbanisme », [[Le Pays d'Auge (journal)|]],‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le candidat naturel à la succession de Tristan Duval a été donc élu, avec 22 voix pour et cinq votes blancs ».
  55. Marie Lenglet, « Emmanuel Porcq est le nouveau maire de Cabourg : Une semaine après la démission de Tristan Duval, son premier adjoint lui succède à la tête de la station balnéaire cabourgeaise. Ce passage de relais, annoncé dès les Municipales de 2020, a été entériné par le conseil municipal, ce vendredi 29 septembre 2023 », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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