Bretteville-le-Rabet

commune française du département du Calvados

Bretteville-le-Rabet
Bretteville-le-Rabet
L'église Saint-Lô.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Caen
Intercommunalité Communauté de communes Cingal-Suisse Normande
Maire
Mandat
Robert Brard
2020-2026
Code postal 14190
Code commune 14097
Démographie
Gentilé Rabellois
Population
municipale
300 hab. (2021 en augmentation de 1,01 % par rapport à 2015)
Densité 66 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 01′ 33″ nord, 0° 15′ 29″ ouest
Altitude Min. 75 m
Max. 125 m
Superficie 4,53 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Hom
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Bretteville-le-Rabet

Bretteville-le-Rabet est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 300 habitants[Note 1].

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune est bordée au nord par Cauvicourt, à l’est par Soignolles, au sud par Estrées-la-Campagne et Grainville-Langannerie, à l’ouest par Urville.

Il y a deux routes départementales, dont l’une, la D 43, conduit de Langannerie à Saint-Sylvain. La D 239 part de Bretteville et mène à Soignolles. Une voie romaine, dite le « Chemin Haussé », passant par la campagne, fait la jonction avec Renémesnil (ancienne commune absorbée par Cauvicourt). La commune est aussi bordée par la route nationale 158 qui relie Caen à Falaise, et passe à fort peu de distance du village, du côté de Langannerie.

Hydrographie modifier

Jadis, un fort ruisseau coulait dans la commune, connu sous le nom de Muance. Sa source est à Grainville et il ne coule à Bretteville que par intervalles. Sa largeur est d’un demi-mètre et suffisante pour son volume. Se perdant dans le sol sablonneux et calcaire de la plaine, il se retrouve à 5 km de là, vers le nord, au hameau de Saint-Martin-des-Bois à Saint-Sylvain.

Géologie modifier

Le sol de la commune se compose de terrains appartenant à la formation oolithique (calcaire de Caen) et s’unit aux grandes plaines du nord du département.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant à la plaine agricole de Caen à Falaise, sous le vent des collines de Normandie et proche de la mer, se caractérisant par une pluviométrie et des contraintes thermiques modérées[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 728 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Sylvain à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 681,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Bretteville-le-Rabet est une commune rurale[Note 2],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (83,1 %), mines, décharges et chantiers (10,9 %), zones urbanisées (6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Britavilla depuis 1168 [14], Breteville Larabel en 1250, Bretevilla dicta Larabella en 1260, Bretainvilla la Rabel en 1266, Bretevilla la Rabel au XIIIe siècle (charte de Saint-André-en-Gouffern, n° 65), Bresteville la Rabelle en 1373, Britavilla la Rabet au XIVe siècle (livre pelut de Bayeux), Bretheville l’Arrabel en 1453 (arch. nat. P. 271, n° 186), Berteville Rabet au XIVe siècle (Cassini)[15].

Le nom Bretteville est issu de l'ancien français bret(e) qui signifie « breton(ne) » dans son acception ancienne, c'est-à-dire « originaire de l'actuelle Grande-Bretagne »[16], tandis que Rabet vient de Rabel, « la (paroisse du seigneur) Rabel ».

Le nom du seigneur, attesté d'abord sous la forme Rabel est restée très longtemps en usage (en tout cas jusqu'à la fin du Moyen Âge) et l'aspect moderne Rabet n'est apparu que tardivement.

Le gentilé est Rabellois [17].

Histoire modifier

Préhistoire modifier

Des datations au carbone 14 révèlent la présence de l’homme à la Fordelle, à l’est de Bretteville-le-Rabet, au Néolithique (-4885 à -3910 av. J-C). La minière de la Fordelle est composée d’une quinzaine de cavités d’extraction constituées de puits communicants creusés en cloche très près les uns des autres. Chaque puits comporte une cheminée d’accès cylindrique ouvrant sur une chambre de 3 à 5 m dont le fond se situe à 2,6 m de profondeur. Chacun de ces puits a produit entre 2,5 et 6,5 m3 de silex. Le façonnage des silex était sans doute réalisé ailleurs[18].

Du Moyen Âge au Ier Empire modifier

  • Rabel était un vaillant chef sous le duc Robert, père de Guillaume, qui lui donna une partie de sa flotte pour aller dévaster les côtes bretonnes. Ce Rabel, fils de Guillaume de Tancarville, avait fondé à cet endroit au XIIe siècle, une vaste commanderie de templiers.
  • Plus tard, un Rabel qui participa à la conquête de l’Angleterre, reçut des fiefs de Guillaume[19].
  • Un troisième Rabel, chambellan, périt avec Guillaume Adelin sur la Blanche-Nef en 1120[20].
  • Enfin, un quatrième Rabel, seigneur de Mézidon, se révolta contre le roi Étienne en 1137[21]
  • On trouve dans l’adjudication de plusieurs héritages faite aux plaids de Brétheville et Tournebu en 1488 un Jean Le Normand, écuyer, seigneur de Bretteville-le-Rabet. En 1636, Jacques Le Normand bailla par contrat la seigneurie de Bretteville-le-Rabet à Charles de Baize et la lui céda définitivement en 1679[22]. Charles de Baize, neveu du précédent, fit de Jean Jacques Langlois, son neveu, son héritier en 1748. En 1793, Jean Louis Joseph Langlois légua le manoir de Bretteville à son gendre, Jean Baptiste Jacques Étienne du Bisson, ancien président au bailliage et siège présidial de Caen et trésorier de France. Ce dernier, à son tour, le légua en 1806 à son gendre, Jean Jacques Luc Edmond de Foucault, chevalier de Saint-Louis, ancien garde du corps de Louis XVI et capitaine de cavalerie.

Les Templiers et les Hospitaliers modifier

La commanderie de Bretteville [23] est fondée par Rabel de Tancarville à la fin du XIIe siècle (1148), voulant imiter les seigneurs de Gouvix, alors suzerains de Bretteville. Lors de la destruction de l’ordre du Temple en 1307, il y avait trois templiers à Bretteville, un commandeur, Martin Renaud, et deux frères.

La commanderie qui dépendait du bailliage de Caen fut donnée aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem qui la réunirent en 1325 à celle de Voismer et en jouirent jusqu’à la Révolution.

Sur l’emplacement de l’ancienne commanderie, on peut y voir une belle ferme qui porte le nom de l’Hôpital. Il reste encore quelques salles voûtées qui datent du XIIIe siècle ; elles étaient divisées en deux nefs par un rang de colonne supportant les arceaux de voûte, disposition constante à cette époque dans les pièces du rez-de-chaussée[24].

Libération de Bretteville-le-Rabet en août 1944 modifier

Lancée le 7 août 1944, l’opération « Totalize » est une offensive mécanisée canadienne ayant pour objectif d’ouvrir la voie aux Alliés sur l’axe Caen-Falaise. Elle a débuté à 23h par le déversement de 3 462 tonnes de bombes par 492 Lancaster entre les Aucrais et Potigny. Le 8 août, 650 chars polonais et canadiens s’élancent depuis Tilly-La-Campagne sur un front de 7 km. Ce jour-là, 60 chars canadiens et polonais sont détruits au nord et à l’est de Bretteville-le-Rabet. L’assaut sur Bretteville est lancé le 9 août à 3h30 par 3 escadrons du Canadian Grenadier Guards et les compagnies mécanisées du Lake Superior. Face à la résistance acharnée de 200 Landser (grenadiers) de la 89 Infanterie-Division, Bretteville-le-Rabet n’est libérée qu’à 15h30. Le même jour, l’offensive sur la cote 140 et le bois du Quesnay conduit à la perte de 83 Sherman polonais et canadiens. Plus de 1270 Allemands seront fait prisonniers entre le 8 et le 10 août 1944[25].

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1800 1812 Hubert Bocage SE Nommé par le sous-préfet de l'arrondissement de Falaise
1812 1869 Pierre Saint-Jean SE Nommé par le préfet du Calvados en 1812, conseiller général, président de la société d'agriculture de Falaise
1869 1887 Jean Louis Saint-Jean SE  
1887 1900 Louis Giffard SE  
1900 1927 Octave Biré SE Avocat, conseiller général
1929 1931 Robert de Foucault SE  
1931 1935 Henri Guesnon SE  
1935 1941 Fernand Guesnon SE  
1941 1945 M. de Foulques SE  
1945 1953 Henri Guesnon SE  
1953 1959 Louis Desloges SE  
1959 2001 Paul Énouf SE Agriculteur, plus jeune maire de France lors de sa 1re élection[17]
2001 2014 Odile Lagrange PS Contrôleur du travail
mars 2014[26] mai 2014[27] Dominique Leboucher SE Commercial en assurance ; assassiné quelques semaines après son élection
2014[28] 2020 Odile Hamon-Énouf SE Gérante de société, fille de Paul Énouf
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité modifier

La commune fait partie de la communauté de communes du Cingal.

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

En 2021, la commune comptait 300 habitants[Note 4], en augmentation de 1,01 % par rapport à 2015 (Calvados : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
189275203210220198234199190
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
220211220191181167167165158
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
14214413810111194105112136
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
115116118133175193248257305
2021 - - - - - - - -
300--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture et patrimoine modifier

Le manoir seigneurial modifier

Le manoir seigneurial, situé en face de l’église paroissiale, subsiste de nos jours. La disposition actuelle du manoir et des autres bâtiments, de la haute et de la basse-cour ainsi que du potager et de son pavillon est semblable à celle dessinée en 1755 par Trudaine[Note 5]. Dans la partie la plus élevée est le manoir qui parait du XVIIIe siècle ; des caves voûtées existent dans ce manoir qui a la forme et les dimensions de beaucoup d’autres maisons féodales de la plaine de Caen. Entouré d’écuries, d’étable, remise, grange, pressoir et four à pain, il a conservé sa vocation agricole jusqu’au milieu du XXe siècle. Un parc, fermé de murs et traversé par un vallon sous lequel coule par intervalles un petit ruisseau connu sous le nom de Muance, y est annexé. La propriété, transmise de génération en génération, appartient à la famille de Foucault.

L'église Saint-Lô modifier

Inscrite   Inscrit MH au titre des Monuments historiques depuis le 19 septembre 1928[33], l'église dépendait du diocèse de Bayeux. Entre 1135 et 1142, Robert de Bretteville l'offrit en patronage à l'abbaye du Plessis-Grimoult. L'édifice date du début du XIIe siècle, mais les baies du chœur sont du XVe siècle et la nef du XVIIIe siècle (date 1785 sur la porte occidentale). Elle contient trois cloches en bronze installées et baptisées en 1821 qui sont répertoriées à l'inventaire général du patrimoine culturel [34].

Le Chemin Haussé modifier

Le Chemin Haussé est une voie romaine appelée également « Chemin du Duc Guillaume » qui longe la commune [35] et qui fait l'objet d'un recensement à l'inventaire général du patrimoine culturel[36]. Il joua un rôle stratégique à partir du IIIe siècle av. J.-C. pour acheminer les troupes vers la zone côtière qui subissait les incursions des saxons. Il tire son nom d'un mode de construction typique des voies antiques : la fondation est constituée d'une épaisse accumulation de pierres et de sable qui surélève le chemin par rapport aux terrains environnants. Un important fossé courait à une vingtaine de mètres de chaque côté de la chaussée. La largeur globale de la structure était de 32 mètres. Ces fossés avait une fonction de drainage et servaient à délimiter l'espace aliénable du domaine public.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
Écartelé : au 1er d'argent à croix pattée et alésée de gueules, au 2e de gueules à deux léopards d'or armés et lampassés d'azur, l'un au-dessus de l'autre, au 3e d'azur à la gerbe de blé d'or, au 4e d'argent au silex taillé au naturel, posé en pal la pointe en bas, au filet d'azur ondé de deux pièces, brochant en fasce sur la partition, à la vergette d'argent brochant sur le tout du tout[37].
Détails
Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armoiries de la Normandie.
La croix pattée représente la commanderie templière.
La gerbe de blé évoque la plaine rurale.
Le silex évoque la présence de peuplement au Néolithique.

Articles connexes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Atlas de Trudaine, p. 24.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  • Altitudes, superficie : répertoire géographique des communes[38].
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Bretteville-le-Rabet et Saint-Sylvain », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Sylvain_sapc » (commune de Saint-Sylvain) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Sylvain_sapc » (commune de Saint-Sylvain) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Archives du Calvados, H 6577
  15. Célestin Hippeau, Dictionnaire topographique du Calvados : comprenant les noms de lieu anciens et moderne, Impr. nationale (Paris, (lire en ligne), p. 41.
  16. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 116.
  17. a et b « Paul Enouf a été le plus jeune maire de France en 1959 », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  18. Verron G. Basse Normandie. In: Gallia préhistoire, tome 29, fascicule 2, 1986. p. 391-412.
  19. Duschesne, p. 266.
  20. Duschesne, p. 868.
  21. Duschesne, p. 909.
  22. Dictionnaire universel de la noblesse, par M de Courcelles, p. 238.
  23. Notice no IA00000282, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  24. Arcisse de Caumont, Statistique monumentale du Calvados, t. 2, Caen, Hardel, (lire en ligne), p. 261-262.
  25. « Totalize ou la difficulté de convertir un succès tactique en une exploitation victorieuse » par Nicolas Aubin.
  26. « Bretteville-le-Rabet (14190) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  27. « Calvados : le maire d'une petite commune émasculé et tué par un mari jaloux », Le Figaro, 23 mai 2014.
  28. « Odile Hamon-Enouf est la nouvelle maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Église Saint-Lô », notice no PA00111115, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « 3 cloches », notice no IM14001000, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  35. Le Chemin haussé sur Panoramio.
  36. Ministère de la Culture, Notice no IA00000228.
  37. « Bretteville-le-Rabet », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  38. Site de l'IGN.

Liens externes modifier

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