Bours (Pas-de-Calais)

commune française du département du Pas-de-Calais

Bours
Bours (Pas-de-Calais)
Le donjon, classé monument historique.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC du Ternois
Maire
Mandat
Bertrand Beaucamp
2020-2026
Code postal 62550
Code commune 62166
Démographie
Gentilé Boursicotiers
Population
municipale
600 hab. (2021 en diminution de 1,48 % par rapport à 2015)
Densité 51 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 27′ 19″ nord, 2° 24′ 21″ est
Altitude Min. 83 m
Max. 184 m
Superficie 11,84 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Auchel - Lillers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
Législatives 6e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Bours
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Bours

Bours [buʁ] est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Boursicotiers.

La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.

Géographie modifier

Localisation modifier

Bours se situe à environ, 5 kilomètres de Pernes, 12 kilomètres au nord-est de Saint-Pol-sur-Ternoise, 33 kilomètres d'Arras et à 54 kilomètres de la côte par Berck.

 
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes :

Géologie et relief modifier

La superficie de la commune est de 11,84 km2 ; son altitude varie de 83 à 184 m[1].

Hydrographie modifier

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

La commune est traversée par la Ferté, cours d'eau naturel non navigable de 5 km, qui prend sa source dans la commune de Valhuon et se jette dans la Clarence au niveau de la commune de Pernes[3]. La Ferté a deux affluents, qui prennent leur source dans la commune de Bours : le Marest[4] et le Baloche[5].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 872 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fiefs à 8 km à vol d'oiseau[8], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 070,6 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Bours est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auchel - Lillers, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 29 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,9 %), prairies (18,4 %), zones agricoles hétérogènes (14 %), forêts (4,7 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports modifier

Voies de communication modifier

La commune est desservie par la route départementale D 89 et la D 916 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Lillers[18].

Transport ferroviaire modifier

La commune se trouve à 4 km de la gare de Pernes - Camblain, située sur la ligne de Fives à Abbeville, desservie par des trains TER Hauts-de-France[19].

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Bruz (1154), Bors et Burs (1190), Bours (1370), Bours-les-Pernes (1613), Bours-Gricourt (1720), Bour (XVIIIe siècle), Bielonne (1281), Beloone (1282), Biélone (1296), Camières (1554), Camières (1554), Camières (1554), Camières (1554), Camières (1554), Camières (1554), Camières (1554), Camières (1554), Camières (1554), Camières (1554), Camières (1554)[20], Bours depuis 1793 et 1801[1].

Bors en flamand[réf. nécessaire].

Histoire modifier

En 1243, Guillaume de Hameles est bailli de Fauquembergues et vassal de Bours. Il cède la dîme de Moulle au chapitre de chanoines de Thérouanne[21].

La commune, instituée lors de la Révolution française, absorbe entre 1790 et 1794 celle de Noyelles-les-Pernes[1].

Pendant la Première Guerre mondiale, des troupes françaises stationnent sur Bours, située en arrière du front de l'Artois, par exemple en avril 1915[22]. Il en va de même en août 2015[23]. De nouveau en septembre 1915, des soldats français stationnent sur Bours et sur les hameaux de Bours Monneville et Gricourt[24].

Politique et administration modifier

Découpage territorial modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités modifier

La commune faisait partie de la petite communauté de communes du Pernois créée fin 1993.

Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du 16 décembre 2010[25] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du Pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.

Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[26]. À l'initiative des intercommunalités concernées[27], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le 26 février 2016 le principe de la fusion de :
- la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[28] ;
- la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
- de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [29],[30].

La communauté de communes du Ternois, qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le [31].

Circonscriptions administratives modifier

La commune faisait partie depuis 1801 du canton d'Heuchin[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.

Circonscriptions électorales modifier

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Jean Noe    
mars 2008 2020 Bernadette Noe   Réélu pour le mandat 2014-2020[32],[33]
3 juillet 2020 En cours Bertrand Beaucamp   Profession libérale[34],[35]

Équipements et services publics modifier

Espaces publics modifier

La commune fait partie des villages labellisés Village Patrimoine[36], qui œuvrent à mettre en avant leurs patrimoines matériels et/ou immatériels (historique, culturel, naturel, architectural, etc.).

Équipements municipaux modifier

En octobre 2014, la mairie, qui occupait jusqu'alors des locaux dans le donjon de Bours, est réinstallée dans l'ancien presbytère en face de la famille héritière du roi et leur demeure somptueuse[37].

Justice, sécurité, secours et défense modifier

La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[38].

Population et société modifier

Démographie modifier

Les habitants de la commune sont appelés les Boursicotiers[39].

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[41].

En 2021, la commune comptait 600 habitants[Note 3], en diminution de 1,48 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
522556557643655645636628667
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
611645630612663634589624631
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
652700674655610599616626630
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
597545510505524509547592614
2021 - - - - - - - -
600--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 318 hommes pour 299 femmes, soit un taux de 51,54 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[43]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
1,3 
6,0 
75-89 ans
6,7 
14,9 
60-74 ans
15,4 
18,3 
45-59 ans
17,1 
24,1 
30-44 ans
20,5 
14,6 
15-29 ans
15,4 
21,2 
0-14 ans
23,5 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[44]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Manifestations culturelles et festivités modifier

  • Lors des Journées européennes du patrimoine, les environs du donjon accueillirent à nouveau[45] en 2010 une animation particulière : un vide-greniers sur la place Centrale, mais surtout le campement médiéval de la « Compagnie des Arbalétriers flamands ». En 2011 et 2015, cette animation a été assurée par la Ghilde des Sangliers du Ferrain, basée à Tourcoing[46],[47],[48].
  • le Les Bours Six Côtes, trail de 8 km, 12 km, 18 km, 24 km organisé par le footing-club de Bours, qui a lieu chaque année le jour de l'Ascension[49] et dont la 8e édition a lieu le [50].

Sports et loisirs modifier

Loisirs modifier

Le domaine KesWest est situé au bord de la commune. Il comporte une brasserie "le route 66", un bar à thèmes "le studio café", un complexe de loisirs "adventures studio", une discothèque +25 ans "le versus", une discothèque +18 ans "le paradisio" et une salle de concerts, spectacles & d'événements "le 360".

Économie modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Monument historique modifier

Maintes fois restauré, et habité jusqu'en 1735, le donjon était en très mauvais état, jusqu'en 1982, date à laquelle la municipalité décide de son rachat pour y installer la mairie (jusqu'en 2014) et entreprendre une complète restauration[52],[53],[54],[55].
Une nouvelle campagne de restauration est menée à partir de 2015 par l'intercommunalité[56],[57]. Le projet comprend la restauration intérieure du donjon, ainsi qu'un aménagement paysager et la création d’un double accès permettant de créer une allée circulaire et de rendre accessible le monument à tous publics sur deux niveaux. Le coût prévisionnel est de 1 797 600  dont une recette de 880 000  du Fonds européen de développement régional (FEDR)[58].

Autres lieux et monuments modifier

  • L'église Sainte-Austreberthe, dont la nef à quatre travées date du XIIIe siècle, les parties basses du chœur du XIe siècle et les parties hautes ont été reconstruites en style gothique flamboyant. Les bas-côtés ont été refaits au XVIIe siècle et probablement au XIXe siècle. Le portail sud semble appartenir à la 2e moitié du XIIIe siècle, sauf les tympans et fronton datés de 1665. Le clocher porte le millésime 1586[59].
  • Le monument aux morts[60].

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
De gueules à la bande de vair[61].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - la Ferté (E3641250 ) » (consulté le )
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Marest (E3641260 ) » (consulté le )
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Baloche (E3640710 ) » (consulté le )
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Bours et Fiefs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Fiefs » (commune de Fiefs) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Fiefs » (commune de Fiefs) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Auchel - Lillers », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  19. « Distance entre la commune et la gare de Pernes - Camblain », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  20. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne sur Gallica), p. 65.
  21. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome VII, 2e partie, Année 1243.
  22. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le )
  24. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le )
  25. n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
  26. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  27. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  28. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
    Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
  29. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
  30. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  31. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069,‎ , p. 37-39 (lire en ligne).
  32. « Liste des communes et des maires »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  33. Aline Chartrel, « Bours : «Des projets de sécurité routière ont été abordés» : Depuis six mois qu’elle a été réinvestie dans ses fonctions de maire, Bernadette Noé et son équipe ne se tournent pas les pouces. Quelques travaux de voirie ont été entrepris, et les chantiers devraient se multiplier d’ici la fin de l’année. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  35. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  36. Jacques Kmieciak, « Bours : village patrimoine », sur Liberté Hebdo, (consulté le ).
  37. Charles Demey, « À Bours, la nouvelle mairie inaugurée en grande pompe : C’était l’effervescence vendredi soir dans la commune de 600 habitants. Bours inaugurait sa nouvelle mairie flambant neuve, en présence de personnalités politiques et de nombreux Boursicotiers », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  39. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bours (62166) », (consulté le ).
  44. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  45. Photos de l'édition 2007 de la fête médiévale
  46. Programme officiel 2010 des Journées européennes du Patrimoine
  47. Site de la Compagnie médiévale des Arbalétriers flamands
  48. « Bours : un grand succès pour la 3e édition de «La nuit au donjon» », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  49. « Les Bours Six Côtes 2017 seront stabilisées à huit cents coureurs : Le trail des Bours Six Côtes est vite arrivé sur le tapis, lors de la dernière réunion des adhérents du footing-club. L’événement, qui jouit d’une excellente réputation, reviendra en force dès l’an prochain… », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  50. « Les Bours six côtes », Site officiel de l'association, (consulté le ).
  51. « Le donjon », notice no PA00108236, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  52. Site de l'association C.R.A.H.G.
  53. Site Normag.fr
  54. Autre site de l'association locale
  55. Page spécifique du site de l'Office de tourisme
  56. « Le donjon de Bours retrouve ses couleurs d’origine : Autre chantier phare du Pernois, celui du donjon de Bours, dont la com de com est le maître d’ouvrage. La première tranche des travaux de restauration, entamée en septembre, sera achevée dans cinq mois », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  57. Aline Chartrel, « La restauration du donjon de Bours ne met pas tout le monde d’accord : Il a fallu voter le nouveau financement des travaux au donjon la semaine dernière en conseil communautaire, dont les travaux ont été revus à la hausse. Certains élus, à Floringhem et à Pernes, décrochent (encore). Les investissements ont néanmoins été adoptés à la majorité », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  58. Ch. D., « Le site est «endormi» avant le lancement de gros chantiers », L'Abeille de la Ternoise, nos 8573-1622,‎ , p. 30.
  59. « L'église », Cercle de recherches archéologiques, historiques et généalogiques (CRAHG) de Bours, (consulté le ).
  60. « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
  61. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).