Bougarber

commune française du département des Pyrénées-Atlantiques

Bougarber
Bougarber
Centre bourg
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté d'agglomération Pau Béarn Pyrénées
Maire
Mandat
Corinne Hau
2020-2026
Code postal 64230
Code commune 64142
Démographie
Population
municipale
833 hab. (2021 en diminution de 5,13 % par rapport à 2015)
Densité 81 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 23′ 54″ nord, 0° 28′ 16″ ouest
Altitude Min. 154 m
Max. 269 m
Superficie 10,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Artix et Pays de Soubestre
Législatives Première circonscription
Localisation
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Bougarber

Bougarber (prononcé [buɡaʁbe] ; en béarnais Borg Garbèr ou Bougarbè) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Bougarbersien[1].

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune de Bougarber se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 17 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 10 km d'Artix[4], bureau centralisateur du canton d'Artix et Pays de Soubestre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pau[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Viellenave-d'Arthez (1,5 km), Viellenave-d'Arthez (2,7 km), Beyrie-en-Béarn (2,8 km), Uzein (3,2 km), Labastide-Monréjeau (4,3 km), Aussevielle (4,8 km), Casteide-Cami (4,8 km), Denguin (4,8 km).

Sur le plan historique et culturel, Bougarber fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

Au nord-est, le territoire de Momas n'est distant que d'une cinquantaine de mètres.

Hydrographie modifier

 
Réseaux hydrographique et routier de Bougarber.

La commune est drainée par la Geüle, l'Aïgue Longue, l'Uzan, le Lata, un bras de l'Aygue Longue, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[8],[Carte 1].

La Geüle, d'une longueur totale de 21,2 km, prend sa source dans la commune de Denguin et s'écoule d'est en ouest. Elle traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Mont, après avoir traversé 9 communes[9].

L'Aïgue Longue, d'une longueur totale de 24,4 km, prend sa source dans la commune de Pau et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Luy du Béarn à Momas, après avoir traversé 13 communes[10].

L'Uzan, d'une longueur totale de 23,6 km, prend sa source dans la commune de Lons et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Luy du Béarn à Uzan, après avoir traversé 12 communes[11].

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[13].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 184 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Uzein à 3,19 km à vol d'oiseau[15], est de 13,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 093,8 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Réseau Natura 2000 modifier

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : le « gave de Pau »[20], d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 4] encore vivace[21],[Carte 2].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Bougarber est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[22],[23],[24].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[25],[26].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,4 %), prairies (13,5 %), zones agricoles hétérogènes (10 %), forêts (5,9 %), zones urbanisées (4,3 %)[27]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux modifier

  • Les Abésiaux
  • Affiusat
  • Arbus
  • Bédat
  • Casales
  • Cloutet
  • la Lanne
  • L'espiau
  • Liret
  • Luchane
  • Pétarrère
  • La Peyre
  • Pont-Long
  • la Serre
  • l'Uzan

Voies de communication et transports modifier

La commune est desservie par les routes départementales 208, 233, 733 et 945.

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Bougarber est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment l'Aygue longue, l'Uzan et la Geüle. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2008 et 2009[30],[28].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[31]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[32].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bougarber.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[33]. 38,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[34].

Toponymie modifier

Bougarber est une bastide béarnaise dont le nom Bourg Garbè signifie 'bourg gerbier'.

Le toponyme Bougarber apparaît sous les formes Borc-Garber et Borc-Garbe (respectivement 1385[35] et XIVe siècle[35], censier de Béarn[36]), Montgerbiel (XIVe siècle[35], Jean Froissart, livre IV), Borgarber (1402[35], censier de Béarn[36]), Mongarber (1538[35], réformation de Béarn[37]) et Bourgarber (1625[35], titres de Béarn[38]).
Le toponyme provient de deux mots d'origine germanique borc /burk/ 'bourg' et garbè (bas-latin garbarius) dérivé de garba 'gerbe de blé'[39].

Les Abésiaux, ancienne école, est mentionné sous la forme la Bésiau (1778[35], terrier de Bougarber).

Affiusat, lande de la commune, est cité en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[35].

Le toponyme Arbus apparaît sous la forme Arbuus (1385[35], censier de Béarn[36]).

Espiau, ancien hôpital pour les pèlerins, est mentionné en 1170[35] (d'après Pierre de Marca[40]), et apparaît sous les formes Lespiaup (1290[35], titres de Béarn[38]), Lespiaub (XIIIe siècle[35], fors de Béarn[36]), l'espitau de Lespiaub (1385[35], censier de Béarn[36]) et Commenda Sancti Jacobi de Spinalba (1527[35], titres des Barnabites de Lescar[41]). Le toponyme Spinalba signifie 'épine blanche', une étymologie romane crédible, peut-être une réfection savante qu'il faut comparer avec Espiaubaig à Andrein en 1527.

Histoire modifier

Protohistoire modifier

Tumulus posthallstattiens

à environ 800 m au sud-est du château, un tumulus fouillé en 1913 par l'abbé André Pédebucq[42] a livré des débris de bronze ; une urne funéraire à col évasé, pied étroit et panse légèrement carénée, recouverte d'une coupe ; et un vase rempli de cendres, recouvert d'une coupe ornée de gravures rectilignes. Fabre attribue ce mobilier au premier âge du fer[43].

En 1920, l'abbé Pédebucq continue les fouilles sur le premier tumulus et en fouille deux autres[44]. Ils ont livré des les vases recouverts de coupes et remplis de cendres, de formes atypiques, qui peuvent aussi bien dater de l'âge du cuivre (Chalcolithique) que du post-Hallstatt. Une datation est cependant possible grâce à des fragments de fibules : une fibule en fer dont le pied courbé en angle droit se termine par un bouton et une fibule à arbalète dont l'axe en fer est orné de disques de bronze[43]. Ces vestiges sont comparables au mobilier équivalent d'Avezac-Prat et du Tursan. La fibule en fer à bouton est fréquente sur le plateau de Ger. Mais les modèles en forme d'arbalète et dont l'axe est orné de disques de bronze n'y ont pas été signalés, alors qu'ils sont très nombreux à Avezac et dans le Tursan où ils ont été trouvés avec une fibule de La Tène II. Ces formes appartiennent à la première ou à la deuxième période posthallstattienne, ou peut-être aux deux[45].

Moyen-Âge modifier

Paul Raymond[35] note qu'en 1385, Bougarber comptait cinquante-neuf feux et dépendait du bailliage de Pau.

Les Hospitaliers modifier

L'Espiau était une commanderie[35] de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, qui dépendait de Sainte-Christine (Espagne). L'hôpital était situé dans les landes du Pont-Long, sur le chemin Romiu, nom qui s'appliquait à tous les chemins suivis depuis le XIe siècle par les pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle, couramment bordés de commanderies, d'hôpitaux ou auberges.

Temps modernes modifier

Beyrie a été unie à Bougarber de l'an XII à 1809[46].

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2008 Guy Weber    
2008 2014 Guy Weber    
2014 En cours Corinne Hau    

Intercommunalité modifier

La commune de Bougarber fait partie de quatre structures intercommunales[47] :

  • la communauté d'agglomération Pau Béarn Pyrénées ;
  • le SIVU pour le service de soins infirmiers à domicile pour personnes âgées du canton de Lescar ;
  • le syndicat « eau et assainissement » des Trois Cantons ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[49].

En 2021, la commune comptait 833 habitants[Note 8], en diminution de 5,13 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
345360458381444461441425398
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
375388378384351364377360332
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
314345300288258292295289273
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
372376403469600650683697811
2018 2021 - - - - - - -
834833-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

La commune fait partie de l'aire urbaine de Pau.

Économie modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Patrimoine civil modifier

Bougarber s'étend aujourd'hui au-delà des limites de la bastide, le long des voies perpendiculaires à la rue principale médiévale, la Carrère. La bâti s'est un peu densifié le long de cette voie. Les fossés ont été comblés. La porte nord du XIVe siècle, spécimen du système défensif des bastides béarnaises, reste visible. Cette porte[52] est inscrite aux monuments historiques.

Patrimoine religieux modifier

L'église Notre-Dame[53] date partiellement du XVIIe siècle.

Équipements modifier

Éducation

La commune dispose d'une école primaire et maternelle[54].

Personnalités liées à la commune modifier

Pour approfondir modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
  4. La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Bougarber » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Bougarber », sur geoportail.gouv.fr.
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Gentilé sur habitants.fr
  2. a b et c « Métadonnées de la commune de Bougarber », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Bougarber et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Bougarber et Artix », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches de Bougarber », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  7. Carte IGN sous Géoportail
  8. « Fiche communale de Bougarber », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  9. Sandre, « la Geüle ».
  10. Sandre, « l'Aïgue Longue ».
  11. Sandre, « l'Uzan ».
  12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  13. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  14. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  15. « Orthodromie entre Bougarber et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Pau-Uzein » (commune d'Uzein) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Station Météo-France « Pau-Uzein » (commune d'Uzein) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  18. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  19. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  20. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Bougarber », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « site Natura 2000 FR7200781 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  24. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur insee.fr (consulté le ).
  26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  28. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Bougarber », sur Géorisques (consulté le ).
  29. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  30. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  31. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  32. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Bougarber », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  33. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  34. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  35. a b c d e f g h i j k l m n o et p Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  36. a b c d et e Fors de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit du xive siècle (lire en ligne)..
  37. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  38. a et b Titres de la vicomté de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  39. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6)..
  40. D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
  41. Titres des Barnabites de Lescar - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  42. [Pedebucq 1922] Abbé André Pedebucq, « Fouilles de trois tumuli à Bougarber », Bulletin de la Société des Sciences, Lettres et Arts de Pau, t. 45, 2e série,‎ , p. 223-227 (lire en ligne [sur gallica]), p. 224-225. Cité dans Fabre 1943, p. 59.
  43. a et b [Fabre 1943] Gabrielle Fabre, « Contribution à l'étude du protohistorique du Sud-Ouest de la France », Gallia, vol. 1, no 1,‎ , p. 43-79 (lire en ligne [sur persee]), p. 59.
  44. Pedebucq 1922.
  45. Fabre 1943, p. 60.
  46. Site de la commune de Beyrie-en-Béarn
  47. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  48. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  49. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  50. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  51. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  52. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la porte de ville
  53. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Notre-Dame
  54. Site du Miey de Béarn - Notice sur l'école de Bougarber