Bocé

ancienne commune française du département de Maine-et-Loire

Bocé
Bocé
La rue de l'Église.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Saumur
Canton Baugé
Commune Baugé-en-Anjou
Statut commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Laurent Bitaud
2020-2026
Code postal 49150
Code commune 49031
Démographie
Gentilé Bocéens
Population 624 hab. (2013)
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 30′ 27″ nord, 0° 04′ 55″ ouest
Altitude Min. 39 m
Max. 97 m
Superficie 16,01 km2
Historique
Fusion 1er janvier 2016
Commune(s) d'intégration Baugé-en-Anjou
Localisation
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Bocé
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Bocé

Bocé est une ancienne commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire, devenue le , une commune déléguée de la commune nouvelle de Baugé-en-Anjou[1].

Géographie modifier

Localisation modifier

Ce village angevin de l’ouest de la France se situe dans le Baugeois, au sud de Baugé, sur la route D 458 qui va du Guédeniau à Baugé[2].

Le Baugeois est la partie nord-est du département de Maine-et-Loire. Il est délimité au sud par la vallée de l'Authion et celle de la Loire, et à l'ouest par la vallée de la Sarthe[3].

Topographie, géologie et relief modifier

L'altitude de la commune varie de 39 à 97 mètres[5]. Le relief du Baugeois est principalement constitué d'un plateau, aux terrains sablonneux, siliceux ou calcaires[6], caractérisés par de larges affleurements sédimentaires, crétacés, sables et calcaires aux teintes claires.

D'une superficie de plus de 16 km2 (1 601 hectares), une partie du territoire de Bocé comprend une zone boisée se situant sur la forêt de Chandelais[7], massif forestier domanial de Maine-et-Loire, avec une forte dominance de feuillus et présentant des milieux assez diversifiés[8].

Située sur l'unité paysagère du plateau du Baugeois[9], une partie de la commune se trouve en inventaire des Zones naturelles d'intérêt écologique, floristique et faunistique (ZNIEFF), pour le territoire de la forêt de Chandelais[8].

Climat modifier

Son climat est tempéré, de type océanique. Le climat angevin est particulièrement doux, du fait de sa situation entre les influences océaniques et continentales. Généralement les hivers sont pluvieux, les gelées rares et les étés ensoleillés[6].

Aux alentours modifier

Les communes les plus proches sont Le Guédéniau (3 km), Cuon (3 km), Chartrené (4 km), Le Vieil-Baugé (4 km), Baugé (4 km), La Lande-Chasles (5 km), Pontigné (6 km), Saint-Martin-d'Arcé (6 km), Lasse (8 km) et Échemiré (8 km)[10].

Urbanisme modifier

Morphologie urbaine : le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.

En 2009 on trouvait 282 logements sur la commune de Bocé, dont 82 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 91 %, et dont 76 % des ménages en étaient propriétaires[11]. En 2013, on trouvait 296 logements sur la commune, dont 80 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 90 %, et dont 79 % des ménages en étaient propriétaires[12].

Toponymie et héraldique modifier

Toponymie modifier

Formes anciennes du nom : Bociacus au début du XIe siècle, Bocei en 1047, Buciacus en 1077, Ecclesia de Boceio en 1080, Buciœ en 1084, Bocheium en 1090, Boziacus en 1100, pour devenir ensuite Boce[13] puis Bocé[14],[15].

Nom des habitants : Les Bocéens[16].

Héraldique modifier

  Blason
D'azur au chevron d'or accompagné en chef de deux écussons d'or à la feuille de chêne de sinople et en pointe d'une flèche du même, posée en pal et mouvant de la pointe.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Histoire modifier

Antiquité et Moyen Âge modifier

Il semble que Bocé est à l'origine un grand domaine gallo-romain, dont la chapelle domestique devient ensuite église paroissiale, et est constituée dès le XIe siècle[7]. La fondation du prieuré de Saint-Martin de Bocé, Bocei, Boceium, est antérieure à l'année 1070[17].

Appartenant au seigneur Hugues Chamaillard puis à Guillaume Chamaillard, elle est cédée aux moines de Marmoutier[18]. L'abbaye de la Boissière possèdent également des terres à Bocé[7].

Au XVe siècle le Roi René, qui aime venir chasser dans les forêts de la région, fait reconstruire le château de Baugé.

Ancien Régime modifier

Bien qu'assez petite, la paroisse de Bocé est habitée aux XVIe et XVIIe siècles par un certain nombre de notables[7].

Sous l'Ancien Régime, Bocé dépend de la sénéchaussée angevine de Baugé (royaume de France) et relève du diocèse d'Angers, du grenier à sel et de l’élection de Baugé[7].

Époque contemporaine modifier

À la réorganisation administrative qui suit la Révolution, en 1790 la commune est rattachée au canton de Baugé et à son district, puis en 1800 à l'arrondissement de Baugé, et à sa disparition en 1926, à l'arrondissement de Saumur[14].

La mairie date de 1850, l'école de filles de 1882 et celle de garçons de 1892. L'électricité est établie dans la commune en 1929[7].

Pendant la Première Guerre mondiale, 33 habitants perdent la vie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, aucun habitant n'est tué[19].

En 2014, un projet de fusion de l'ensemble des communes de l'intercommunalité se dessine. Le , les conseils municipaux de l'ensemble des communes du territoire communautaire votent la création d'une commune nouvelle au 1er janvier de l'année suivante[20]. L'arrêté préfectoral est signé le 10 juillet et porte sur la création au de la commune nouvelle de « Baugé-en-Anjou », groupant les communes de Baugé-en-Anjou, Bocé, Chartrené, Cheviré-le-Rouge, Clefs-Val d'Anjou, Cuon, Échemiré, Fougeré, Le Guédeniau et Saint-Quentin-lès-Beaurepaire[1].

Politique et administration modifier

 
Mairie de Bocé.

Administration actuelle modifier

Depuis le , Bocé constitue une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Baugé-en-Anjou et dispose d'un maire délégué[1].

Liste des maires délégués successifs
Période Identité Étiquette Qualité
janvier 2016 en cours Laurent Bitaud[21],[22]    
Les données manquantes sont à compléter.

Administration ancienne modifier

La commune est créée à la Révolution. Commune en 1790[14]. Le Conseil municipal est composé de 15 élus[23].

Liste des maires successifs[24]
Période Identité Étiquette Qualité
1792   Simon Fenau    
1793   Gaugain    
1798   Jacques Ferrières   Ancien payeur de l'armée de l'Ouest
1821   Joseph Abraham    
1831   Jean-Pierre Bigot    
1834   Caternault    
1837   Joseph Abraham    
1848   Pierre-Étienne-Jean Bigot    
1857   Philippe Caternault    
1872   Auguste Lemoine    
1878   Charles Morché    
1896   Auguste Foucher    
1919   Auguste Oger    
1945   Victor Charruau    
         
1977 2001 Raphaël Chevalier DVG Retraité
mars 2001 mars 2014 Jean-Pierre Gallet   Commercial retraité
mars 2014 décembre 2015 Laurent Bitaud[25],[26]    
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages modifier

La commune ne comporte pas de jumelage[27].

Ancienne situation administrative modifier

Intercommunalité modifier

La commune était intégrée à la communauté de communes canton de Baugé. Créée en 1994[28], cette structure intercommunale regroupe les dix communes du canton, dont Le Guédeniau, Cuon et Chartrené[29]. Elle a pour objet d’associer des communes au sein d’un espace de solidarité, en vue de l’élaboration d’un projet commun de développement et d’aménagement de l’espace[30].

La communauté de communes est membre du Pays des Vallées d'Anjou, structure administrative d'aménagement du territoire. Le syndicat mixte du Pays des Vallées d'Anjou (SMPVA) regroupe six communautés de communes : Beaufort-en-Anjou, Canton de Baugé, Canton de Noyant, Loir-et-Sarthe, Loire Longué, Portes-de-l'Anjou[31].

Autres administrations modifier

Conseil de développement du Pays des vallées d'Anjou (CDPVA), syndicat intercommunal d’eau et d’assainissement de l’agglomération Baugeoise, syndicat mixte intercommunal de valorisation et de recyclage thermique des déchets de l’Est Anjou (SIVERT), syndicat intercommunal pour l'aménagement du Couasnon (SIAC)[32].

Le SIVERT est le syndicat intercommunal de valorisation et de recyclage thermique des déchets de l’Est Anjou, qui se trouve à Lasse[33].

Autres circonscriptions modifier

Jusqu'en 2014, Bocé fait partie du canton de Baugé et de l'arrondissement de Saumur[34]. Ce canton compte alors les dix mêmes communes que celles de la communauté de communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. La commune est alors rattachée au canton de Beaufort-en-Vallée, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[35].

Bocé fait partie de la troisième circonscription de Maine-et-Loire, composée de huit cantons dont Longué-Jumelles et Noyant. La troisième circonscription de Maine-et-Loire est l'une des sept circonscriptions législatives que compte le département.

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37],[Note 1].

En 2013, la commune comptait 624 habitants, en augmentation de 9,28 % par rapport à 2008 (Maine-et-Loire : 3,2 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
800547782825838753766761800
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
803751763790774734769788785
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
750723664638596621571553547
1968 1975 1982 1990 1999 2008 2013 - -
520478492480501571624--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[4] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (19,6 %) est en effet inférieur au taux national (21,8 %) et au taux départemental (21,4 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,4 % contre 48,7 % au niveau national et 48,9 % au niveau départemental).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :

  • 50,4 % d’hommes (0 à 14 ans = 21,9 %, 15 à 29 ans = 12,5 %, 30 à 44 ans = 21,9 %, 45 à 59 ans = 25 %, plus de 60 ans = 18,7 %) ;
  • 49,6 % de femmes (0 à 14 ans = 25,1 %, 15 à 29 ans = 14,1 %, 30 à 44 ans = 23,7 %, 45 à 59 ans = 16,6 %, plus de 60 ans = 20,5 %).
Pyramide des âges à Bocé en 2008 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90  ans ou +
0,4 
7,6 
75 à 89 ans
6,7 
11,1 
60 à 74 ans
13,4 
25,0 
45 à 59 ans
16,6 
21,9 
30 à 44 ans
23,7 
12,5 
15 à 29 ans
14,1 
21,9 
0 à 14 ans
25,1 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2008 en pourcentage[40].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90  ans ou +
1,1 
6,3 
75 à 89 ans
9,5 
12,1 
60 à 74 ans
13,1 
20,0 
45 à 59 ans
19,4 
20,3 
30 à 44 ans
19,3 
20,2 
15 à 29 ans
18,9 
20,7 
0 à 14 ans
18,7 

Vie locale modifier

Services publics présents sur la commune : mairie, école primaire avec cantine. Située dans l'académie de Nantes, l'école est gérée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI), avec les communes du Guédeniau et de Cuon. Les autres services publics se trouvent à Baugé, dont le collège et le centre de secours[32].

La plupart des professionnels de la santé se trouvent à Baugé, ainsi que l'hôpital local, l'hôpital intercommunal du Baugeois et de la Vallée (95 places), et plusieurs maisons de retraite[41].

La collecte des déchets ménagers (tri sélectif) est organisée par la communauté de communes du canton de Baugé. La déchèterie intercommunale se situe sur la commune de Saint-Martin-d'Arcé[33].

Outre les services publics, on trouve sur la commune des infrastructures sportives (boule de fort, tennis, tennis de table…) et des structures d'hébergements (gîtes ruraux et chambres d'hôtes).

Économie modifier

Tissu économique modifier

Commune principalement agricole, en 2008, 52 établissements sont présents sur la commune, dont 46 % relèvent du secteur de l'agriculture[42]. Deux ans plus tard, en 2010, sur 57 établissements présents, 44 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour 17 % sur le département), 5 % du secteur de l'industrie, 12 % de celui de la construction, 32 % du secteur du commerce et des services et 7 % de celui de l'administration et de la santé[11].

Sur 54 établissements présents sur la commune à la fin de l'année 2013, 39 % relevent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 12 % sur le département), 11 % du secteur de l'industrie, 9 % du secteur de la construction, 35 % de celui du commerce et des services et 6 % du secteur de l'administration et de la santé[12].

Une zone artisanale est présente sur le territoire.

Agriculture modifier

Liste des appellations présentes sur le territoire[43] :

  • IGP Bœuf du Maine, IGP Porc de la Sarthe, IGP Volailles de Loué, IGP Volailles du Maine, IGP Œufs de Loué,
  • IGP Cidre de Bretagne ou Cidre breton,
  • IGP Maine-et-Loire blanc, IGP Maine-et-Loire rosé, IGP Maine-et-Loire rouge, IGP Val de Loire blanc, IGP Val de Loire rosé, IGP Val de Loire rouge.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

La commune de Bocé comporte plusieurs inscriptions à l'inventaire du patrimoine[44], dont deux monuments historiques[45].

  • Château de Parpacé, Moyen Âge et XVIe siècle, Monument historique inscrit le 19 avril 1993.
  • Église Saint-Martin-de-Vertou, dédiée à un saint local[18], construite à la fin du XIe ou au début du XIIe siècle, offre une nef sans collatéraux couverte d'un lambris de bois[19], Monument historique classé le 21 juillet 1930.
Inscrits à l'inventaire général
  • Chapelle Saint-Maur, des XVe ou XVIe siècles, reprise au XIXe siècle ;
  • Plusieurs fermes des XVe, XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles ;
  • Plusieurs maisons des XVe, XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles ;
  • Manoir de la Boulaye, du XVe siècle, remanié au XIXe siècle ;
  • Manoir de la Défourerie, des XVe ou XVIe siècles, remanié au XIXe siècle ;
  • Manoir du Grand-Mandon, des XVe ou XVIe siècles, remanié au XIXe siècle ;
  • Manoir de Valettes, du XVe ou XVIe siècle, remanié aux XVIIIe et XIXe siècles ;
  • Presbytère du XVIIe siècle, remanié aux XIXe et XXe siècles.

On y trouve aussi un menhir, le menhir de la Cache ou pierre du Guédeniau[46],[47].

Personnalités liées à la commune modifier

Pour approfondir modifier

Bibliographie modifier

  • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1874) (BNF 33141105, lire en ligne), p. 388-390.
  • Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. 1 (A-C), Angers, P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau, , 1re éd. (lire en ligne), p. 373-375.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références modifier

  1. a b et c « Arrêté no DRCL-2015-525 du 10 juillet 2015 portant création de la commune nouvelle de Baugé-en-Anjou », Recueil spécial des actes administratifs de la préfecture de Maine-et-Loire, no 47,‎ (lire en ligne [PDF]).
  2. IGN et BRGM, Géoportail Bocé (49), consulté le 23 janvier 2012.
  3. Paul Wagret, Jacques Boussard, Jacques Levron et Simone Mailliard-Bourdillon, Visages de l'Anjou, Paris, Horizons de France, (BNF 31614504), p. 10.
  4. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  5. EHESS[4] indique une superficie de 1 601 ha et une altitude de 39 m / 97 m, consulté le 7 février 2011. La Communauté de Communes (C.C. du canton de Baugé, page Bocé, consultée le 23 janvier 2012), indique quant à elle une superficie de 1 600 ha.
  6. a et b Comité météorologique départemental de Maine-et-Loire, « Les régions naturelles, le climat », sur Conseil général de Maine-et-Loire, 2006-2014 (version du sur Internet Archive), consulté le 24 mai 2011.
  7. a b c d e et f Célestin Port 1965, p. 388-390.
  8. a et b DREAL Pays de la Loire, Données environnementales GéoSource, Liste des zonages recensés sur la commune de Bocé, consultée le 5 juillet 2011.
  9. Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 58 — Données consultables sur WikiAnjou.
  10. Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Bocé (49) », sur Lion1906 (version du sur Internet Archive), consulté le 23 janvier 2012 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
  11. a et b Insee, Statistiques locales du territoire de Bocé (49), données mises à jour le 7 décembre 2012.
  12. a et b Insee, Statistiques locales du territoire de Bocé (49), consultées le 28 août 2016.
  13. Célestin Port 1874, p. 373-375 — selon ses travaux faits au XIXe siècle sur les archives anciennes.
  14. a b et c EHESS, Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Bocé, consultée le 8 juillet 2011 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l’ensemble du territoire français de l’époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
  15. Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 32.
  16. C.C. du canton de Baugé, Commune de Bocé, consultée le 23 janvier 2012.
  17. Paul Marchegay, Archives d'Anjou, t. 2, Angers, Cosnier et Lachèse, , p. IX.
  18. a et b Jacques Mallet, Congrès archéologique de France, vol. 122, Édition A. Picard et fils, 1964.
  19. a et b Célestin Port 1965, p. 388.
  20. Le Courrier de L'Ouest, « Feu vert à la création de la commune nouvelle : les résultats du vote », sur courrierdelouest.fr, .
  21. « Communes déléguées - Bocé », sur Mairie de Baugé-en-Anjou (baugeenanjou.fr) (consulté le ).
  22. « Baugé-en-Anjou. Municipales : les quinze maires délégués élus en 2020 », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
  23. Nombre de conseillers municipaux sur le Code général des collectivités territoriales.
  24. Célestin Port 1965, p. 390, liste des maires jusqu'en 1965.
  25. Préfecture de Maine-et-Loire, Liste des maires élus en 2014, document du 23 avril 2014.
  26. Le Courrier de l'Ouest, Laurent Bidaud élu nouveau maire de la commune, article du 30 mars 2014.
  27. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
  28. Arrêté préfectoral no D3-94-932 du 23 décembre 1994 portant création de la Communauté de Communes du canton de Baugé.
  29. Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté no 2012361-0003 portant modification des statuts de la Communauté de Communauté du Canton de Baugé, du 26 décembre 2012.
  30. Statuts de la Communauté de communes du Canton de Baugé, Arrêté préfectoral no 2007-107 du 9 mai 2007.
  31. Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté no 2012354-0007 portant modification des statuts du Syndicat Mixte du Pays des Vallées d'Anjou, du 19 décembre 2012.
  32. a et b C.C. du canton de Baugé, Communauté de communes, consultée le 7 juillet 2011.
  33. a et b SIVERT, C.C. canton de Baugé, consulté le 20 décembre 2010.
  34. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Bocé, consultée le 21 février 2015.
  35. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
  36. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .
  39. « Évolution et structure de la population à Bocé en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  40. « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  41. Fédération Hospitalière de France, Hôpital local (Baugé), consulté le 6 octobre 2011.
  42. Insee, Statistiques locales 2008 du territoire de Bocé, consultées le 7 juillet 2011.
  43. INAO, Fiche de Bocé (49), consultée le 6 juillet 2011 — AOC Appellation d'origine contrôlée (FR), AOP Appellation d'origine protégée (CE), IGP Indication géographique protégée (CE).
  44. Ministère de la Culture, Monuments historiques et Inventaire général du patrimoine culturel, base Mérimée, consultée le 23 janvier 2012.
  45. Service Départemental de l'Architecture et du Patrimoine, Maine-et-Loire, consultée le 7 février 2011.
  46. Jean Danzé, Le secret des menhirs : de Bretagne et d'ailleurs, La Rochelle, La Découvrance, , 125 p. (ISBN 978-2-84265-700-0), p. 71 et 116.
  47. Michel Gruet (actualisé par Charles-Tanguy Le Roux), Mégalithes en Anjou, Cheminements, , p. 38-39.