Bletterans

commune française du département du Jura

Bletterans
Bletterans
Place de la mairie.
Blason de Bletterans
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Jura
Arrondissement Lons-le-Saunier
Intercommunalité Communauté de communes Bresse Haute Seille
(siège)
Maire
Mandat
Stéphane Lamberger
2020-2026
Code postal 39140
Code commune 39056
Démographie
Gentilé Bletteranois(e)
Population
municipale
1 527 hab. (2021 en augmentation de 6,34 % par rapport à 2015)
Densité 192 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 44′ 50″ nord, 5° 27′ 18″ est
Altitude Min. 190 m
Max. 224 m
Superficie 7,97 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lons-le-Saunier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bletterans
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
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Bletterans
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Bletterans
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Bletterans
Liens
Site web bletterans.fr

Bletterans est une commune française située dans le département du Jura, en région Bourgogne-Franche-Comté. Les habitants se nomment Bletteranois et Bletteranoises.

Géographie modifier

Bletterans est située aux portes de la Franche-Comté, au cœur de la Bresse Jurassienne, une région riche de nombreux étangs.
La Seille traverse la commune, où elle se divise en deux bras et forme une île et où se situe le cœur du village.

Communes limitrophes modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Bourgogne, vallée de la Saône » et « Jura »[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 081 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lombard », sur la commune de Lombard à 6 km à vol d'oiseau[3], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 128,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −16,5 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Bletterans est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lons-le-Saunier, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 139 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (63,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,5 %), forêts (20,3 %), zones urbanisées (11,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,4 %), zones agricoles hétérogènes (4,2 %), prairies (0,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous la forme Bleterenco en 1150[14],[15], traduit en latin médiéval par [in] villa Bletterensi en 1175[14].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale de type germanique en -ing[15], suffixe qui désigne la parentèle, romanisé en -ingos[14],[16].

Le premier élément Bletter- représente selon Théophile Perrenot, l’anthroponyme germanique Blîthahar[14] qu’Albert Dauzat donne sous la forme Blithar, nom qui était aussi celui d'un chef burgonde, c'est le même anthroponyme que l'on rencontre dans Bleurville (Vosges, Blederici villa 1050, ou éventuellement Blitrich dans ce cas) et Blicourt (Oise, Blericurtis 1240)[15]. Ernest Nègre préfère le citer sous sa forme latinisée Blitharius[16], tel qu'il apparaît dans les documents rédigés en latin médiéval, par exemple dans le polyptyque d'Irminon[17].

Remarque : il est admis depuis le début du XXe siècle que la terminaison -ans (parfois et anciennement -ens) représente dans la plupart des cas, le suffixe germanique -ing (romanisé en -ingos)[18], ce qui est confirmé dans le cas de Bletterans par les formes anciennes Bleterenco « chez les gens de Blithar(ius) », traduit en latin par (in) villa Bletterensi, avec le suffixe latin -ensis, signifiant « dans le domaine rural des gens de Blithar(ius) ».

Histoire modifier

 
Bletterans vers 1550. Par Claude Luc

Bletterans, située dans la région des Gaules habitée par les Séquanes, est rattachée sous Jules César à la Séquanie, avec Besançon pour capitale.

La région, au gré des invasions, des traités et du jeu politique, va passer par de nombreux maîtres. Administrée par un comte Bourguignon, elle prit le nom de Comté, puis de Franche Comté par le comte de Renaud. En 1157, la Comté passa à Frédéric Barberousse, empereur d'Allemagne.

Bletterans a été bâtie entre les bras de la Seille, un château cité sous la forme castrum Bletterentis en latin médiéval, a servi de refuge contre les bandes de pillards.

Bien plus tard, Jean Ier de Chalon-Arlay, 1er seigneur d'Arlay, construisit en 1275, la cité fortifiée, qui devint place de guerre.

Elle revint au roi de France en 1295.

Charles VIII de France la céda à l'empereur du Saint-Empire et à son fils, Philippe le Beau. Celui-ci épousa en 1497, Jeanne infante d'Espagne, Bletterans devint territoire espagnol et ce jusqu'en 1674.

En 1593, les armées d'Henri IV firent des ravages dans la région, notamment à Arlay.

En août 1637, durant la guerre de Dix ans, Bletterans est prise, pillée et saccagée, par les troupes françaises de l'armée de Franche-Comté, dont fait partie le régiment de Montausier, commandé par Henri duc de Longueville. Les fortifications ne furent jamais relevées.

La cité devait connaître une grande pauvreté, jusqu'en 1789, très endettée. Il fallut attendre 1801 pour que les administrateurs apportent des améliorations notables[19].

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Élections présidentielles modifier

La ville de Bletterans place en tête à l'issue du premier tour de l'élection présidentielle française de 2017, Marine Le Pen (RN) avec 26,02 % des suffrages. Mais lors du second tour, Emmanuel Macron (LaREM) est en tête avec 59,00 %[20].

Élections régionales modifier

La ville de Bletterans place la liste "Notre Région Par Cœur" menée par Marie-Guite Dufay, présidente sortante (PS) en tête, dès le 1er tour des élections régionales de 2021 en Bourgogne-Franche-Comté, avec 31,25 % des suffrages. Lors du second tour, les habitants décideront de placer de nouveau la liste de "Notre Région Par Cœur" menée par Marie-Guite Dufay, présidente sortante (PS) en tête, avec cette fois-ci, près de 42,19 % des suffrages. Devant les autres listes menées par Gilles Platret (LR) en seconde position avec 25,25 %, Julien Odoul (RN), troisième avec 24,58 % et en dernière position celle de Denis Thuriot (LaREM) avec 7,97 %. Il est important de souligner une abstention record lors de cette élection qui n'ont pas épargné la ville de Bletterans avec lors du premier tour 70,27 % d'abstention et au second, 67,02 %[21].

Élections départementales modifier

La ville de Bletterans faisant partie du Canton de Bletterans place le binôme de Philippe Antoine (LaREM) et Danielle Brulebois (LaREM), en tête, dès le 1er tour des Élections départementales de 2021 dans le Jura, avec 62,69 % des suffrages. Lors du second tour, les habitants décideront de placer de nouveau le binôme de Philippe Antoine (LaREM) et Danielle Brulebois (LaREM), en tête, avec cette fois-ci, près de 71,53 % des suffrages. Devant l'autre binôme menée par Josiane Hoellard (RN) et Michel Seuret (RN) qui obtient 28,47 %. Il est important de souligner une abstention record lors de cette élection qui n'ont pas épargné la ville de Bletterans avec lors du premier tour 70,48 % d'abstention et au second, 67,12 %[22].

Liste des maires de Bletterans modifier

Liste des maires successifs depuis le XXe siècle
Période Identité Étiquette Qualité
1904 1919[23] François Chevrot Républicain Docteur en médecine à Bletterans
Conseiller général (1898-1910)
1919 1925 M. Huguenin    
1925 1932 M. Roland    
1932 1936 Philibert Culas    
1936 1939 Arthur Renard    
1939 1943 Philibert Culas    
1943 1945 Jules Milloux    
1945 1945 Philibert Culas    
1945 1953 Roger Devaux SFIO  
1953 1971 Paul Vercher   gendarme, résistant
1971 2001 Jean Perraudin   vétérinaire, conseiller général, conseiller régional
mars 2001 2018 François Perrodin DVD Médecin
avril 2018 En cours Stéphane Lamberger DVD  

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

En 2021, la commune comptait 1 527 habitants[Note 4], en augmentation de 6,34 % par rapport à 2015 (Jura : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6756818481 1001 1851 2311 2301 2201 292
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1761 1631 2191 1911 3081 3041 1841 1141 102
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1321 1161 0729559789981 0271 0091 005
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 0341 0851 1651 3501 4231 3591 4131 4001 394
2015 2020 2021 - - - - - -
1 4361 5271 527------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Lieux et monuments modifier

  • Église de la Conversion-de-Saint-Paul (XVIIe-XVIIIe-XIXe s.), Rue Notre-Dame, inscrite à l'IGPC depuis 1986[28], orgue de chœur construit par les facteurs Daublaine-Callinet, classé monuments historiques[29],[30] ;
  • Chapelle du couvent ;
  • École (XIXe s.), Rue des Granges, inscrite à l'IGPC depuis 1986[31] ;
  • Maisons (XVIIIe-XIXe s.) de la Rue des Granges, inscrites à l'IGPC depuis 1986[32],[33],[34] ;
  • Maisons (XVIIIe-XIXe s.), inscrites à l'IGPC depuis 1986[35] ;
  • Couvent des Ursulines (XIXe s.), Rue Louis le Grand, inscrit à l'IGPC depuis 1986[36] ;
  • Maison (XVIIIe-XIXe s.), Rue Louis le Grand, inscrite à l'IGPC depuis 1986[37] ;
  • Mairie (XIXe s.), Place de la Mairie, inscrite à l'IGPC depuis 1986[38] ;
  • Moulin (XVIIIe-XIXe s.), lieu-dit « Au moulin Rondeau », inscrit à l'IGPC depuis 1986[39] ;
  • Moulin (XIXe s.), lieu-dit « La Foule », inscrit à l'IGPC depuis 1986[40] ;
  • Traces des fortifications (du XIIIe au XVIIe s.), inscrites à l'IGPC depuis 1986[41].

Durant la Seconde Guerre mondiale, la région a revêtu une importance stratégique capitale pour la circulation des personnalités de la Résistance. En effet, plusieurs terrains d'atterrissage ou de parachutage, DZ (Courlaoux, Courgette, Orion[42]) étaient implantés sur les plateaux environnants.

Ces terrains ont en particulier permis les opérations suivantes[43] :

Personnalités liées à la commune modifier

Jumelages modifier

Bletterans est jumelé avec   Thuin (Belgique).

Héraldique modifier

  Blason
D'azur au lion couronné d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Alphonse Rousset et Frédéric Moreau (architecte), Dictionnaire géographique, historique et statistique des communes de la Franche-Comté et des hameaux qui en dépendent, classés par département, Bintot, 1855, lire en ligne
  • Renseignements recueillis par les écrits de l'abbé Riviàre, né à Bletterans en 1772.
  • Écrits de sieur Phillibert Lardanchet, notaire, âgé de 80 ans (1700).
  • Tiré du livre de Jules Milloux Histoire d'une petite ville de Franche-Comté - BLETTERANS édité par Maurice Declume à Lons-le-Saunier.
  • Essaie de toponymie en Bletteranie, Jean Perraudin, 2015.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Bletterans et Lombard », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Lombard », sur la commune de Lombard - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Lombard », sur la commune de Lombard - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b c et d Théophile Perrenot, La Toponymie burgonde - (Toponymie germanique & burgonde — Toponymie franc-comtoise — Toponymie romande — Toponymie burgonde — Toponymie savoyarde — Noms composés et noms divers), Editions des Régionalismes, 2017 (réédition), p. 68 (lire en ligne sur GoogleBooks) [1]
  15. a b et c Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 89a.
  16. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, volume II, formations non romanes, formations dialectales, p. 791, n° 13529 (lire en ligne)[2]
  17. Dictionary of Medieval Names from European Sources, 2015 - 2023 (lire en ligne - anglais) [3]
  18. Charles Rostaing Les Noms de lieux, Presses universitaires de France, coll. Que sais-je ?, 1re édition 1945 ; 10e édition 1985, p. 64
  19. Jules Milloux, Histoire d'une petite ville de Franche-Comté, Lons-le-Saunier, Maurice Declume.
  20. Ministère de l'Intérieur, « Résultats de l'élection présidentielle 2017 », sur interieur.gouv.fr.
  21. Ministère de l'Intérieur, « Jura - commune de Bletterans », sur elections.interieur.gouv.fr.
  22. Ministère de l'Intérieur, « Jura (39 ) - canton de Bletterans commune de Bletterans », sur elections.interieur.gouv.fr.
  23. MairesGenWeb, Maires de Bletterans
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Église de la Conversion-de-Saint-Paul (XVIe-XVIIIe-XIXe s) », notice no IA00015178, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. « Orgue de choeur », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  30. « Orgue de choeur : partie instrumentale de l'orgue », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  31. « Ecole (XIXe s) », notice no IA00015187, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Maison 1 (XVIIIe-XIXe s) », notice no IA00015186, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Maison 2 (XVIIIe-XIXe s.) », notice no IA00015184, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Maison 3 (XVIIIe-XIXe s) », notice no IA00015185, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Maisons (XVIIIe-XIXe s) », notice no IA00015182, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « Couvent (XIXe s) », notice no IA00015179, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Maison (XVIIIe-XIXe s) », notice no IA00015183, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « Mairie (XIXe s) », notice no IA00015177, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. « Moulin Rondeau (XVIIIe-XIXe s) », notice no IA00015188, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. « Moulin de La Foule (XIXe s) », notice no IA00015189, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « Fortifications (XIIIe à XVIIe s) », notice no IA00015180, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. (en) « Tillet Pierre - Tentative of History of In/Exfiltrations into/from France during WWII from 1940 to 1945 (Essai de l'histoire des in / exfiltrations en / à partir de la France pendant la Seconde Guerre mondiale de 1940 à 1945), mention des terrains: pages 28, 30, 35, 42, 44, 51. », sur plan-sussex-1944.net (consulté le ).
  43. http://www.plan-sussex-1944.net/francais/pdf/infiltrations_en_france.pdf
  44. Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, 1894, p.453.