Bivès

commune française du département du Gers

Bivès
Bivès
Vue générale.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Condom
Intercommunalité Communauté de communes Bastides de Lomagne
Maire
Mandat
Chantal Calac
2020-2026
Code postal 32380
Code commune 32055
Démographie
Gentilé Bivèsiens, Bivèsiennes
Population
municipale
126 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 50′ 03″ nord, 0° 48′ 20″ est
Altitude 182 m
Min. 107 m
Max. 192 m
Superficie 9,93 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Fleurance-Lomagne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Bivès
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Bivès
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Bivès
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Bivès

Bivès (Vivèrs en gascon) est une commune française située dans le nord-est du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la Lomagne, une ancienne circonscription de la province de Gascogne ayant titre de vicomté, surnommée « Toscane française ».

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Arrats et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Bivès est une commune rurale qui compte 126 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 549 habitants en 1831. Ses habitants sont appelés les Bivèsiens ou Bivèsiennes.

Géographie modifier

Localisation modifier

Cette commune rurale se situe en Gascogne dans la vallée de l'Arrats en Lomagne à 28 kilomètres au nord-est d’Auch qui est la préfecture.

Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes sont Cadeilhan, Estramiac, Homps, Monfort, Saint-Léonard, Tournecoupe et Bajonnette.

Géologie et relief modifier

Bivès se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[2].

Hydrographie modifier

 
Réseaux hydrographique et routier de Bivès.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par l'Arrats, un bras de l'Arrats, le ruisseau de Barrère, le ruisseau de Muras, le ruisseau de Napard, le ruisseau de Saudroue et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 11 km de longueur totale[4],[Carte 1].

L'Arrats, d'une longueur totale de 162,1 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Loup, après avoir traversé 66 communes[5].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 732 mm, avec 10,1 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mauroux à 9 km à vol d'oiseau[8], est de 14,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,6 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Milieux naturels et biodiversité modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[12] : les « bois et bosquets de Bives » (826 ha), couvrant 4 communes du département[13] et deux ZNIEFF de type 2[Note 2],[12] :

  • les « collines de Saint-Léonard à Bivès » (817 ha), couvrant 4 communes du département[14] ;
  • le « cours de l'Arrats » (815 ha), couvrant 30 communes dont 22 dans le Gers et huit dans le Tarn-et-Garonne[15].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Bivès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[16],[I 1],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,7 %), zones agricoles hétérogènes (15,3 %), forêts (4 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports modifier

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Bivès est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Arrats. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[21]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2008, 2009 et 2018[22],[19].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bivès.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 75 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 75 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1998, 2003 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999[19].

Toponymie modifier

Histoire modifier

Au Xe siècle, Bivès était le fief de la famille de ce nom. Dès 1418 le fief devient celui de la maison de Marrenx. L’une ou l’autre de ces familles a pu construire la partie la plus ancienne du château de Bivès. Puis par alliance à partir du XVe siècle, le château est la propriété des Castelbajac.

En effet, Pierre de Castelbajac, Seigneur de Paridoux épouse en 1520, Rose de Marrenx, dame de Bivès. Les terres sont vendues en 1557 pour 1370 livres à Bernard de Roquelaure.

Son petit fils, Bernard de Castelbajac passe bail à bâtir avec les maçons du village les et pour opérer des démolitions et d'importantes transformations du château auquel il a été adjoint un corps de logis d’un étage, parallélépipède flanqué au nord-est d’une tour ronde, gage d’une vis de pierre.

Sa petite fille, seigneuresse de Bivès, Philiberte de Castelbajac, épousera Octavien II du Bouzet coseigneur de Ligardes, capitaine du régiment de Roquepine, deuxième fils d’Octavien I, le . Elle lui apportera donc le village de Bivès en dot.

En 1629 un contrat passé avec un maître lissier d’Aubusson témoigne des préoccupations décoratives du château de Bivès.

Devenu par échange la propriété d'Henri de Preissac d'Esclignac qui plus tard émigrera. Le château sera alors vendu comme un bien national le .

En 1855 Bivès devient la propriété de la famille de Mellis. Le château sera victime d'un incendie. Une reconstruction partielle fera l'objet d’une transformation et d’un changement de style renaissance. Dorénavant l’image actuelle du château n’a pas changé.

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2001 2008 Jean-Noël Mauran DVG  
2008 2020 Aline Barailhé[25] DVD Retraitée Fonction publique
2020 En cours Chantal Calac    

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27]. En 2021, la commune comptait 126 habitants[Note 4], en stagnation par rapport à 2015 (Gers : +0,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
495508549502549452445425455
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
406376378342338342317286272
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
255259216239238249220206193
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
170147133125130131131124133
2021 - - - - - - - -
126--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Depuis le dernier recensement de 2007, on y compte 138 habitants. La moyenne est de 13,9 habitants par km². Depuis 1999, la population de Bivès a augmenté de 6,2 %.

Enseignement modifier

Manifestations culturelles et festivités modifier

Économie modifier

Emploi modifier

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 4] 6,6 % 4,5 % 9,2 %
Département[I 5] 6,1 % 7,5 % 8,2 %
France entière[I 6] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 76 personnes, parmi lesquelles on compte 78,9 % d'actifs (69,7 % ayant un emploi et 9,2 % de chômeurs) et 21,1 % d'inactifs[Note 5],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 7]. Elle compte 40 emplois en 2018, contre 30 en 2013 et 30 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 53, soit un indicateur de concentration d'emploi de 75,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,6 %[I 8].

Sur ces 53 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 21 travaillent dans la commune, soit 40 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 83 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 15,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

Activités hors agriculture modifier

8 établissements[Note 6] sont implantés à Bivès au [I 11]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37,5 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 8 entreprises implantées à Bivès), contre 14,4 % au niveau départemental[I 12].

Agriculture modifier

La commune est dans la Lomagne, une petite région agricole occupant le nord-est du département du Gers[31]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 7] sur la commune est l'exploitation de grandes cultures (hors céréales et oléoprotéagineuses)[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 29 21 16 17
SAU[Note 8] (ha) 773 955 891 965

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 29 lors du recensement agricole de 1988[Note 9] à 21 en 2000 puis à 16 en 2010[33] et enfin à 17 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 41 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[34],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 773 ha en 1988 à 965 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 27 à 57 ha[33].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

À Bivès se trouvent quelques curiosités telles que :

L’église Saint-André modifier

L'église paroissiale est en réalité une ancienne chapelle voûtée en berceau avec une sacristie du XIIe siècle. La nef, le chœur et le clocher-mur datent de 1612.

Le clocher comporte cinq arcades toutes garnies de leur cloche, ce qui est rarissime.

En entrant dans la chapelle, le regard se porte à droite sur une statue moderne d’un bienheureux martyr de Germain de Paris : Antoine Charles Octavien du Bouzet (1739-1792)[35] né au château de Bivès.

Celui-ci au diocèse de Lectoure, fut vicaire général de Reims et abbé commendataire de Notre-Dame-des-Vertus à partir de 1775. Il fut assassiné lors des massacres de , le 3, en l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés à Paris où il a été incarcéré pour refus de serment. Il sera béatifié sous Pie XI le comme faisant partie des "Martyrs de Septembre".

Un des vitraux près du chœur représente saint André.

En 1853, l’église sera restaurée.

Actuellement le clocher se détériore et des travaux doivent être entrepris pour le restaurer.

L'édifice est répertorié dans la base Mérimée[36].

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

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Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  6. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  7. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  8. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  9. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[32].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Bivès » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Bivès » (consulté le ).
  5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Bivès » (consulté le ).
  9. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  10. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  11. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Bivès » (consulté le ).
  12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Plan séisme
  3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Fiche communale de Bivès », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  5. Sandre, « l'Arrats »
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Bivès et Mauroux », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  10. « Station Météo-France « Mauroux » (commune de Mauroux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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  14. « ZNIEFF les « collines de Saint-Léonard à Bivès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF le « cours de l'Arrats » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  21. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gers », sur gers.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Bivès », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  25. Site de la préfecture - fiche de Bivès
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Michel de La Torre, Gers : Le guide complet de ses 462 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5032-2, BNF 35576310).
  31. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  32. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  33. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Bivès - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  34. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gers » (consulté le ).
  35. Concernant Antoine Charles Octavien du Bouzet, l'on peut lire : Pierre-Louis Péchenard, Deux confesseurs de la foi : Vincent Abraham et Antoine-Charles-Octavien Du Bouzet, massacrés à Paris les 2 et 3 septembre 1792, Paris : J. Mersch, 1901, 29 p.
  36. « Église paroissiale Saint-André », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).