Biesheim

commune française du département du Haut-Rhin

Biesheim
Biesheim
La mairie.
Blason de Biesheim
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Colmar-Ribeauvillé
Intercommunalité Communauté de communes Pays Rhin-Brisach
Maire
Mandat
Gérard Hug
2020-2026
Code postal 68600
Code commune 68036
Démographie
Population
municipale
2 501 hab. (2021 en diminution de 1,77 % par rapport à 2015)
Densité 151 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 02′ 30″ nord, 7° 32′ 38″ est
Altitude Min. 184 m
Max. 194 m
Superficie 16,55 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Biesheim
(ville isolée)
Aire d'attraction Colmar
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ensisheim
Législatives Première circonscription
Localisation
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Biesheim
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Biesheim
Liens
Site web biesheim.fr

Biesheim [bisaim] Écouter est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace. Ses habitants sont appelés les Biesheimois et les Biesheimoises.

Géographie modifier

Biesheim est bordée à l'est par le Rhin.

Communes limitrophes de Biesheim
Kunheim
Widensolen   Le Rhin
Vieux-Brisach
(Allemagne)
Wolfgantzen Volgelsheim

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Alsace, caractérisée par une pluviométrie faible, particulièrement en automne et en hiver, un été chaud et bien ensoleillé, une humidité de l’air basse au printemps et en été, des vents faibles et des brouillards fréquents en automne (25 à 30 jours)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 629 mm, avec 7,6 jours de précipitations en janvier et 9,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Colmar-Inra », sur la commune de Colmar à 15 km à vol d'oiseau[3], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 558,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −22,5 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Biesheim est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Biesheim, une unité urbaine monocommunale[11] de 2 571 habitants en 2017, constituant une ville isolée[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Colmar, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,8 %), forêts (25,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,2 %), zones agricoles hétérogènes (6,8 %), zones urbanisées (5,9 %), eaux continentales[Note 4] (3,2 %), prairies (1,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire modifier

Après la guerre de Trente Ans, le traité de Westphalie () et de Münster donne Vieux-Brisach, les territoires autrichiens de Haute et Basse Alsace et le grand bailliage impérial d'Alsace à la France. Louis XIV installe en une chambre royale à Ensisheim (ancien siège de la régence d’Autriche) remplacée en au même endroit par le conseil souverain d'Alsace présidé par Charles Colbert de Croissy (alors intendant à Toulon et frère de Jean-Baptiste Colbert), intendant de la nouvelle province. La première séance se tient le . En , ce conseil est rétrogradé au rang de conseil provincial dépendant du parlement de Metz.

Colmar étant toujours réticente à subir la domination française, Vieux-Brisach accueille en le conseil souverain d'Alsace, retrouvant là ses fonctions antérieures. Au même moment, le , les troupes françaises, commandées par Louis XIV en personne, prennent Colmar et détruisirent ses fortifications.

Vieux-Brisach est très bien fortifiée et défendue hors ses murs par le fort Mortier situé côté alsacien et réaménagé vers par Vauban. Cependant, elle est trop petite pour héberger à la fois le pouvoir militaire, le bailliage et la plus haute instance judiciaire d’Alsace.

De plus, Biesheim, rasé en par un incendie, de nouveau fortifié en comme en témoigne l'extrait d’un plan de Colmar de Mérian, est entièrement détruit ainsi que Volgelsheim pendant le siège de Brisach en par les impériaux (guerre de Hollande). Leurs habitants se réfugient sur une île du Rhin dans des huttes misérables couvertes de paille, ce qui donne le surnom encore actuel de ce lieu : Stroïstadt (ville de paille).

Pour reloger tout ce monde et donner un lieu sûr au conseil couverain, Louis XIV décide de construire en , sur cette île, une ville nouvelle appelée Ville Neuve Brisach ou Ville Neuve St Louis (civita nova de Brisach dans les registres paroissiaux en opposition à veteri Brisach : Vieux-Brisach ou Brisach la haute). La première séance du conseil couverain y est tenue en .

Ville Neuve Brisach devient rapidement une ville importante de près de 1 500 habitants composée des anciens habitants de Biesheim, des magistrats du conseil souverain et de leur personnel, de nombreux artisans et commerçants venus de plusieurs provinces de France, des immigrés venus en masse du Brisgau et de Suisse (calvinistes) attirés par les exemptions de taxes, des militaires, des fonctionnaires du bailliage et d'une communauté juive autorisée, contre subside, à s'installer à la Ville Neuve dès son origine.

Les principales régions de France à fournir des artisans et commerçants sont la Picardie, l'Auvergne[17], le Périgord[18] et surtout la Savoie[19].

De nombreux militaires issus de toute la France et même du Luxembourg et d'Irlande s’établissent dans la cité. Les différents régiments relevés au long des registres paroissiaux sont : le régiment de Suisse de M. Planta, des Vaisseaux, irlandais d'Adlone de M. Stapelton, des Fusiliers, du Roy, de Bourgogne, de la Couronne, de la Marche, de Gransé, de Champagne, de Picardie, le régiment étranger de Berincke, de Navarre, de Bossue, Dupontois, d'Anjou de M. Montflangin, du Piémont, de Barmende, de Bigorre, d'Arlon, d'Alsace, de Villiers, de Normandie, du Beaugerlois de M. Villette et le régiment de Guyenne.

Des signatures de parents illustres figurent dans les registres paroissiaux des naissances : Salomon Jean, procureur, neuf enfants ; d'Andlau François Humbert, conseiller, six enfants ; de Boisgauthier Antoine, conseiller, un enfant ; Brousse Jean Baptiste, huit enfants ; de Favier François, avocat général, neuf enfants ; de Guillemain de Corny André, conseiller, six enfants ; Le Laboureur Jean Augustin Claude, avocat général, deux enfants ; Nithard Joseph, procureur, trois enfants ; Triboux Toussaint procureur, trois enfants etc.

Toute cette population vit en parfaite harmonie, comme l'attestent les parrainages des personnages illustres cités plus haut, en faveur des enfants des habitants les plus modestes. Le seul conflit noté est celui opposant la communauté juive, expulsée de Vieux Brisach et autorisée à séjourner à la Ville Neuve pour approvisionner l'armée en chevaux et autres bestiaux, aux bourgeois laboureurs de l'ancien Biesheim[20] dont les pâtures étaient envahies par les « extraordinaires » troupeaux des juifs.

Cette communauté juive a été très tôt placée sous la protection de Louis XIV puisqu'une ordonnance du leur a fixé le même statut que les juifs du rabbinat de Metz, et Ville Neuve Brisach devient donc le siège juridique de tous les juifs d'Alsace (Aaron Wormser est le premier titulaire du rabbinat)[21]. Les juifs (trente-huit familles en ) se dotèrent, le , d’un trio d'élus (Wolf Bloch, Isaac Netter, Meyer Rabys) responsables de la communauté, avec un budget de 50 livres tournoi annuel. Ils ont pouvoir d'exclusion.

La ville comprend également un fondeur devenu célèbre : le Suisse Jean-Jacques Keller, inventeur du mortier (d'où le nom du fort). Ce fort Mortier, objet d'une étude en cours[Quand ?], est complété par le fort Saint-Jacques aussi nommé fort des Cadets ou fort entre les ponts (construit en sur l'île pour dominer le pont entre la ville neuve et Breisach). Il abrite une académie militaire de jeunes nobles instruits par des maîtres d'armes, des maîtres de danse et de peinture.

Fait remarquable, la ville est dotée d'un instituteur en français (Roger Jean, François Henrion puis Pierre Derlachaux) et d'instituteurs en langue allemande (Georg Brunner jusqu'à son décès en , Georg Buosch jusqu'à son décès en ).

L'église et les registres paroissiaux sont tenus par Pierre Dulys curé de Vieux-Brisach, puis par Louis Petigot jésuite et enfin par le curé Jean-Jacques Schwartz originaire de Vieux-Brisach (sa sœur, Marie Françoise, est mariée avec un chirurgien de Limoges Jean Rousset).

Ils sont assistés ou remplacés par les pères Augustins de Vieux-Brisach : Jean Bonus Contus, Bernard Schorer, Joannes Bonus van Kindert, François Charles Ritter, François Frédéric Fillistorff, Denis Streit, Michel Philipponat, Jean Henri Halbysen et le père Edouard.

Les responsables des registres paroissiaux germanisent ou francisent allègrement au gré de leur humeur et origine les patronymes de leurs ouailles.

La particularité de cette ville éphémère est qu'elle peut être reconstituée entièrement par les différentes pièces retrouvées aux archives : nombre, situation, propriétaires et locataires des maisons ; nom, profession et religion des occupants ; recensements, demandes d'admission à la bourgeoisie, liste des veuves, des étrangers, des réfugiés etc. Seuls manquent un plan complet et des reproductions des principales habitations ou palais. Les vues présentées sont celles visibles au Stadtbauamt/Stadtarchiv et au musée de Vieux-Brisach.

La destruction modifier

L'histoire de la ville, en expansion continue et à l'avenir brillant, fut brutalement interrompue par le traité de Ryswick () qui rend au Rhin son rôle de frontière et provoque la perte des têtes de pont de Huningue, Fort Louis, Vieux-Brisach, du Brisgau et la destruction de la Ville Neuve.

Il est à noter que Louis XIV hésite un certain temps entre rendre à l'Autriche Strasbourg ou conserver Vieux Brisach. On imagine le désarroi de toutes ces personnes mises devant le fait accompli et obligées de plier bagage rapidement. Certains quittent définitivement la région, un grand nombre, même d'origine française (Bosson, Richard, Blaisemaille, Flamischon), s'établit à Vieux Brisach.

Les anciens habitants de Biesheim (en majorité laboureurs ou journaliers) reconstruisent leur village et leur église avec les matériaux récupérés, les cabaretiers s'en vont à Neuf-Brisach, une grande partie des juifs, non autorisés, ainsi que les protestants, à s'établir à Neuf-Brisach, s'installent à Biesheim et y fondent une des communautés les plus prospères de Haute Alsace (1/3 de la population au XIXe siècle).

La décision de la construction de Neuf-Brisach est relatée dans le journal du marquis de Dangeau[22] :

« Monseigneur courut le cerf et au retour de la chasse il joua chez Madame La Princesse De Conty au brelan. -le roi fait travailler à Neuf-Brisach ; ce sera une place qui coûtera du moins cinq millions. Il n'y a aucune habitation ; on la fait en plein champ. On la place environ à trois quarts de lieues de Brisach. Il nous reste encore quelque ouvrage en deçà du Rhin que nous communiquerons à la place nouvelle par de grosses redoutes »[23]

La Seconde Guerre mondiale modifier

La commune a été décorée, le , de la Croix de guerre 1939-1945[24].

Héraldique modifier


Les armes de Biesheim se blasonnent ainsi :
« D'azur au saumon d'argent posé en bande, la queue recourbée, à la filière cousue de gueules. »[25]

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs à partir de 1890[26]
Période Identité Étiquette Qualité
1889 1917 Henri Seiler (1849-1930)   Epicier
1917 1918 François Joseph Seiler (1848-?)   Sellier
1918 1941 Joseph Althusser (1878-1953)   Cultivateur
1941 1945 Pierre Biellmann (1913-2003)   Cultivateur
1945 1965 Lucien Fohrer (1908-1980)   Cultivateur
mars 1965 mars 1977 François Hug (1924-2004)   Conducteur de travaux comptables
mars 1977 mars 1983 Émile Jaeger (1912-1995)   Militaire
mars 1983 mars 2014 Georges Trescher RPR puis UMP Conducteur de travaux retraité
mars 2014 En cours
(au 31 mai 2020)
Gérard Hug [27]
Réélu pour le mandat 2020-2026
UDI Président de la CC Pays Rhin-Brisach (2017 → )
Les données manquantes sont à compléter.

Finances locales modifier

En 2015, les finances communales était constituées ainsi[28] :

  • total des produits de fonctionnement : 5 119 000 , soit 2 012  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 3 625 000 , soit 1 425  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 1 030 000 , soit 405  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 1 695 000 , soit 666  par habitant ;
  • endettement : 2 291 000 , soit 901  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 6,14 % ;
  • taxe foncière sur le bâti : 9,61 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 46,68 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

En 2021, la commune comptait 2 501 habitants[Note 5], en diminution de 1,77 % par rapport à 2015 (Haut-Rhin : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4071 4721 5701 6321 7671 7901 7571 8611 942
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
1 7551 6061 5371 4481 4481 4761 4301 4321 377
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3401 2961 2751 2051 1461 1641 053847962
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 0191 1491 8741 9592 1252 3152 3292 3032 447
2015 2020 2021 - - - - - -
2 5462 5102 501------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments modifier

Prieuré de Saint Jean-Baptiste modifier

Jumelages modifier

Biesheim est jumelée avec :

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Biesheim et Colmar », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Colmar-Inra », sur la commune de Colmar - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Colmar-Inra », sur la commune de Colmar - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Biesheim », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Colmar », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Arbaret Mathias, Bachelard André, Chusset Jean, Fougerousse Jacques, Garnier Jean, Martin Jean, Perissel Jean, Poirier Georges scieurs de long
  18. Bompignat dit La Poussière - Chaigne Bernard scieurs de long
  19. Bald dit La Ferté Jean François grenadier et Aurill Armand soldat au régiment des Vaisseaux, Briancon Jacques - Culla François - Dubourg Louis - Muss Jean Martin - Grandjean François - Bellosa Mathieu marchands, Roll Pierre-François - Cuquat Jacques chaudronniers, Deville Jean mercier, Blanc François - Miege Michel aubergistes, Bonnet Pierre directeur de l'hôpital militaire, Donnat Marin hôtelier, Minet Pantaléon verrier, etc.
  20. Joseph Eyraut, Jean-Georges Goetmann, Adam Maire, Gervais Vogtein, Jean Roursch, Jean Schouster, Menrad Keller, Blaise Zimerman, Jean Houque, Andres Kerman, François Dubuisson, Andres Beringer, Martin Duremberger, Christian Hourst, Andres Schleé et François Blanc)
  21. La Communauté juive de Biesheim
  22. tome7 1699-1700
  23. Généalogie centre Alsace, le site de Pierre Marck
  24. Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945
  25. Archives Départementales du Haut-Rhin
  26. a et b Archives départementales du Haut-Rhin
  27. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  28. « Les comptes de la commune », sur alize2.finances.gouv.fr (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Notice no IA68005092, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Eglise paroissiale Saint-Jean-Baptiste
  34. Biesheim, St Jean-Baptiste, orgues de Georges Schwenkedel
  35. « Vicus gallo-romain de la Oedenbourg », notice no PA00085743, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « relais de poste », notice no IA68005099, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. Notice no IA68005093, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Cimetière
  38. Notice no IA68005094, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Cimetière juif
  39. Monument aux Morts
  40. Musée de l’Instrumentation Optique
  41. Musée Gallo-Romain