Beyrie-sur-Joyeuse

commune française du département des Pyrénées-Atlantiques

Beyrie-sur-Joyeuse
Beyrie-sur-Joyeuse
Les ruines du château.
Blason de Beyrie-sur-Joyeuse
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Gilbert Dublanc
2020-2026
Code postal 64120
Code commune 64120
Démographie
Gentilé Bithirindar
Population
municipale
538 hab. (2021 en augmentation de 3,66 % par rapport à 2015)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 18′ 49″ nord, 1° 04′ 47″ ouest
Altitude Min. 52 m
Max. 328 m
Superficie 22,80 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Palais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Beyrie-sur-Joyeuse
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Beyrie-sur-Joyeuse
Liens
Site web https://www.beyriesurjoyeuse.fr

Beyrie-sur-Joyeuse est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Bithirindar[1].

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune de Beyrie-sur-Joyeuse se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 92 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 48 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 6 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Orsanco (2,5 km), Luxe-Sumberraute (3,7 km), Garris (3,7 km), Luxe-Sumberraute (4,2 km), Béguios (5,2 km), Aïcirits-Camou-Suhast (5,3 km), Amendeuix-Oneix (5,5 km), Méharin (5,7 km).

Sur le plan historique et culturel, Beyrie-sur-Joyeuse fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9],[10]. La commune est dans le Pays de Mixe (Amikuze), au nord-est de ce territoire.

Hydrographie modifier

 
Réseaux hydrographique et routier de Beyrie-sur-Joyeuse.

La commune est drainée par la Joyeuse, aiherdiko erreka, algeiruko erreka, un bras de la Joyeuse, iroiko erreka, laherminagako erreka, lakugneko erreka, Lapitchuta Erréka, otsaraneko erreka, Pagardoyko erreka, Teilérako erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 36 km de longueur totale[12],[Carte 1].

La Joyeuse, d'une longueur totale de 26,7 km, prend sa source dans la commune d'Iholdy et s'écoule vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Bidouze à Amendeuix-Oneix, après avoir traversé 7 communes[13].

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 389 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast à 5 km à vol d'oiseau[17], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 219,1 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Réseau Natura 2000 modifier

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[22], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[23],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Trois ZNIEFF de type 2[Note 5] sont recensées sur la commune[24],[Carte 3] :

  • les « landes, bois et prairies du bassin de la Bidouze » (11 263,46 ha), couvrant 25 communes du département[25] ;
  • les « landes, bois et prairies du Pays de Mixe » (1 739,31 ha), couvrant 9 communes du département[26] ;
  • le « réseau hydrographique de la Bidouze et annexes hydrauliques » (2 867,4 ha), couvrant 30 communes dont 1 dans les Landes et 29 dans les Pyrénées-Atlantiques[27].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Beyrie-sur-Joyeuse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[28],[29],[30].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Palais, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[31],[32].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (63,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (35,1 %), prairies (31,4 %), forêts (28,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,6 %)[33]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux modifier

Voies de communication et transports modifier

Beyrie-sur-Joyeuse est desservie par les routes départementales 8 et 808.

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Beyrie-sur-Joyeuse est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[35]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[36].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment la Joyeuse. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2008, 2009 et 2014[37],[35].

Beyrie-sur-Joyeuse est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[38]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[39],[40].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Beyrie-sur-Joyeuse.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[41]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[42].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1994[35].

Toponymie modifier

Attestations anciennes modifier

Le toponyme Beyrie apparaît sous les formes Beyria (1072[34]), Sanctus-Julianus de Beyre in Amixa (XIIe siècle[43], cartulaire de Sorde[44]), Berina, Beirie et Beiries (1119[34]), Beyrina (1125[34]), Sanctus Julianus de Beirie (1160[34]), Beyrina (1292[34]), Beyrie (1350[34]), Sent Juliaa de Beyrie (1472[43], notaires de Labastide-Villefranche[45]), Beyria et Veyria (1621[43] pour ces deux formes, Martin Biscay[46]).
Le 26 août 1961, Beyrie devient Beyrie-sur-Joyeuse.

Étymologie modifier

Jean-Baptiste Orpustan[34] indique que Beyrie signifie « vitrerie », du gascon veiria.

Autres toponymes modifier

Le toponyme Aintzi apparaît sous les formes Aynciburu et Aynziburu (1621[43] pour ces deux formes, Martin Biscay[46]), Aincie (1708[43], registre de la commune d'Irissarry) et Aincy (1863[43], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[43]).

Près de Beyrie, le cartulaire de Dax[47] mentionnait une église isolée, sanctus michael de erem, qui partage le toponyme avec la maison Eremia. Selon Jean-Baptiste Orpustan[34], le toponyme est hérité du latin eremus, originellement « désert », qui est devenu eremu dans le lexique basque, soit « étendue, surface ».

Graphie basque modifier

Son nom basque actuel est Bithiriña[1].

Histoire modifier

Héraldique modifier

  Blasonnement :
Écartelé aux 1 et 4 de gueules à une aigle d'or ; aux 2 et 3 d'argent au lion d'azur[48].

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1983 1989 Richard Gaby    
1989 1995 Jean Arrayet    
1995 2008 Jean-Claude Maintenu DVD[49]  
2008 2014 Jeanine Hourquebie    
2014   Gilbert Dublanc   Technicien
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité modifier

La commune appartient à six structures intercommunales[50] :

  • la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
  • le SIVU de ramassage scolaire de Beyrie-sur-Joyeuse et Orsanco ;
  • le syndicat AEP du pays de Mixe ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal pour le fonctionnement des écoles d'Amikuze ;
  • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.

Beyrie-sur-Joyeuse accueille le siège du SIVU de ramassage scolaire de Beyrie-sur-Joyeuse et Orsanco.

Population et société modifier

Démographie modifier

Le recensement[51] à caractère fiscal de 1412-1413, réalisé[52] sur ordre de Charles III de Navarre, comparé à celui de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports[53], révèle une démographie en forte croissance. Le premier indique à Beyrie la présence de 10 feux, le second de 75 (72 + 3 feux secondaires).
Le recensement de la population de Basse-Navarre de 1695[54] dénombre 113 feux à Beyrie.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[56].

En 2021, la commune comptait 538 habitants[Note 9], en augmentation de 3,66 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
760791726956967950961966911
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
826793770736776767721688709
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
725669654592615598575522465
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
446425450451460464505508513
2015 2020 2021 - - - - - -
519538538------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[57] puis Insee à partir de 2006[58].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

La commune dispose d'une école élémentaire publique[59].

Économie modifier

La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine modifier

Langues modifier

D'après la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Beyrie-sur-Joyeuse est le bas-navarrais oriental.

Mythologie modifier

Xaindia, la sainte en basque, est le nom donné à l'héroïne d'une légende traditionnelle du pays de Beyrie et de la forêt d'Iraty.

Patrimoine civil modifier

Le château de Beyrie-sur-Joyeuse est une demeure seigneuriale (en basque jauregi) à l'état d'abandon. La maison forte à l'origine est antérieure à 1320[réf. souhaitée].

Patrimoine religieux modifier

L'église Saint-Julien-de-Lescar[60] date de 1889. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel.

Équipements modifier

Éducation modifier

La commune dispose d'une école primaire.

Personnalités liées à la commune modifier

Pour approfondir modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Beyrie-sur-Joyeuse » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Beyrie-sur-Joyeuse », sur www.geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Beyrie-sur-Joyeuse », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b - Académie de la langue basque
  2. a b et c « Métadonnées de la commune de Beyrie-sur-Joyeuse », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Beyrie-sur-Joyeuse et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Beyrie-sur-Joyeuse et Bayonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Beyrie-sur-Joyeuse et Saint-Palais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Communes les plus proches de Beyrie-sur-Joyeuse », sur www.villorama.com (consulté le ).
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
  8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  9. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  11. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af ag ah ai aj ak al am an ao ap aq ar as at au av aw ax ay az ba bb bc bd be bf bg bh bi bj bk bl bm bn bo bp bq br bs bt bu bv bw bx by bz ca cb cc cd ce cf cg ch ci cj ck cl cm cn co cp cq cr cs ct cu cv cw cx cy cz et da Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
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  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  16. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  20. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  21. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  22. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Beyrie-sur-Joyeuse », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  41. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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  45. Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  46. a et b Derecho de naturaleza que la merindad de San-Juan-del-pie-del-puerto, una de las seys de Navarra, tiene en Castilla - 1622 petit in-4°
  47. Cartulaire de Dax, d'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
  48. Guy Ascarat
  49. « Annuaire des Mairies des Pyrénées-Atlantiques », sur Annuaire des Mairies et Institutions de France, 2006-2007 (consulté le ).
  50. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  51. Recensements cités par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 26. Le même ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne démographique de 5.5 par feu.
  52. Transcrit et publié par Ricardo Cierbide, Censos de población de la Baja Navarra, Max Niemeyer Verlag, Tübingen, 1993
  53. Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, E 575, transcrit par Louis Baratchart dans Les amis de la vieille Navarre, janvier 1995, pages 44-54
  54. Bibliothèque nationale, 6956, registre Moreau 979, cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 299.
  55. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  56. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  57. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  58. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  59. {{http://www.education.gouv.fr/pid24302/annuaire-resultat-recherche.html?ecole=1&lycee_name=&localisation=1&ville_name=Beyrie-sur-Joyeuse%20%2864%29}}.
  60. « L'église Saint-Julien-de-Lescar », notice no IA64000689, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.