Bangor (Morbihan)

commune française du département du Morbihan

Bangor
Bangor (Morbihan)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Lorient
Intercommunalité Communauté de communes de Belle-Île-en-Mer
Maire
Mandat
Annaïck Huchet
2020-2026
Code postal 56360
Code commune 56009
Démographie
Gentilé Bangorins
Population
municipale
1 010 hab. (2021 en augmentation de 2,96 % par rapport à 2015)
Densité 40 hab./km2
Population
agglomération
5 158 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 18′ 57″ nord, 3° 11′ 14″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 58 m
Superficie 25,54 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Quiberon
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Bangor
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Bangor
Géolocalisation sur la carte : Morbihan
Voir sur la carte topographique du Morbihan
Bangor
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Voir sur la carte administrative de Bretagne
Bangor
Liens
Site web bangor.fr

Bangor [bɑ̃gɔʁ] est une commune française, située sur l'île de Belle-Île-en-Mer, dans le département du Morbihan en région Bretagne.

Géographie modifier

Situation modifier

Bangor est une des quatre communes de Belle-Île-en-Mer, dont le territoire s'étend sur la côte sud-ouest exposée aux vents dominants, tandis que le bourg chef-lieu est situé presque au centre géographique de l'île. Bangor possède les sites les plus sauvages de Belle-Île.

Communes limitrophes modifier

Relief modifier

L'altitude de la commune varie de 0 à 58 mètres. Le littoral, très déchiqueté, est constitué d'une succession de falaises rocheuses et de criques abritant de petites plages. L'intérieur des terres présente l'aspect d'un plateau échancré par quelques vallons au fond desquelles coulent de modestes cours d'eau qui terminent leur course au fond des criques.

Climat modifier

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,7 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,3 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11,5 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 813 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,8 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1930 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après. La température moyenne annuelle évolue de 12,3 °C pour 1981-2010[8] à 12,4 °C pour 1991-2020[9].

Statistiques 1981-2010 et records BELLE ILE-LE TALUT (56) - alt : 34 m 47° 17′ 36″ N, 3° 13′ 06″ O
Records établis sur la période du 01-04-1930 au 04-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 6 5,5 6,9 8 10,9 13,3 15,1 15,3 13,9 12 8,9 6,7 10,2
Température moyenne (°C) 7,9 7,5 9,1 10,7 13,6 16,2 18,1 18,3 16,8 14,2 10,9 8,6 12,7
Température maximale moyenne (°C) 9,7 9,5 11,4 13,4 16,4 19,1 21,1 21,4 19,7 16,3 12,9 10,6 15,2
Record de froid (°C)
date du record
−10
20.01.1963
−8,4
03.02.1956
−4,8
07.03.1971
−1,6
12.04.1986
3
07.05.1997
5,4
01.06.1962
8,2
23.07.1954
7,4
31.08.1986
6,6
27.09.1943
2
30.10.1997
−3,4
20.11.1985
−6,2
26.12.1962
−10
1963
Record de chaleur (°C)
date du record
14,5
13.01.1993
16,2
25.02.19
21,5
28.03.12
25
24.04.1984
28,2
25.05.12
34,8
28.06.1976
33,8
11.07.1949
33,4
04.08.03
30,8
06.09.21
24,8
01.10.1997
19,2
05.11.1971
16,1
30.12.15
34,8
1976
Précipitations (mm) 82 60,9 54,3 50,4 52,2 32,4 38,3 33,5 56,3 77,7 78,4 85 701,4
Source : « Fiche 56009001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme modifier

Typologie modifier

Bangor est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[10],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[15]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[16],[17].

En 2020, 61,9 % des logements de Bangor étaient, selon l'INSEE, des résidences secondaires[18].

Occupation des sols modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le tableau ci-dessous présente l' occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 1,0 % 26
Aéroports 1,0 % 26
Terres arables hors périmètres d'irrigation 15,4 % 396
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 28,3 % 726
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 28,6 % 733
Pelouses et pâturages naturels 2,1 % 53
Landes et broussailles 22,2 % 571
Mers et océans 1,3 % 34
Source : Corine Land Cover[19]

Habitat modifier

En 2019 on recensait 1 371 logements à Bangor. 472 logements étaient des résidences principales (34,4 %), 849 logements des résidences secondaires (61,9 %) et 51 des logements vacants (3,7 %). Sur ces 1 371 logements, 1 314 logements étaient des maisons (95,8 %) contre 40 seulement des appartements (2,9 %). Le tableau ci-dessous présente la répartition en catégories et types de logements à Bangor en 2019 en comparaison avec celles du Morbihan et de la France entière.

Le logement à Bangor (56) en 2019.
Bangor[20] Morbihan[21] France entière[22]
Résidences principales (en %) 34,4 74,9 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 61,9 17,9 9,8
Logements vacants (en %) 3,7 16,2 8,1

Toponymie modifier

Bangor, selon Léon Fleuriot et Hervé Abalain, serait formé du radical Ban signifiant « supérieur, suprême » et Gor « troupe ». Il est usuellement donné le sens de « monastère » à Bangor[Note 5],[23]. Alternativement, Bangor serait un vieux mot celtique qui désignerait l'enclos autour d'un monastère[24].

La commune tire son nom de celui d'une abbaye de Bangor d'Irlande ou du Pays de Galles d'où sont venus les premiers moines installés sur l'île au VIIe siècle pour y fonder un prieuré[réf. nécessaire].

Histoire modifier

Préhistoire modifier

 
La Pierre Sainte Anne.

La commune était bien occupée dès la préhistoire comme en témoigne un menhir : la Pierre Sainte Anne.

Moyen Âge modifier

Le prieuré de Bangor a été pendant dix siècles le chef-lieu de l'île. Il a été fondé par des moines bénédictins venus coloniser et repeupler l'île à partir du VIIe siècle ; on ne sait pas s'il s'agit de l'abbaye de Bangor en Irlande d'où l'on sait que des moines comme saint Colomban sont venus évangéliser l'Armorique, ou du Monastère de Bangor-Fawr, fondé au Pays de Galles vers 545 sur le détroit de Menai.

La colonisation a consisté à diviser l'Île en quatre paroisses dont Bangor occupe le milieu, et chaque paroisse en petits domaines concédés aux familles résiduelles de l'île ou aux colons que les moines font venir de Bretagne.

Au IXe siècle, l'île est dévastée par les Vikings, et le prieuré est placé sous la protection séculaire des comtes de Cornouaille (en Bretagne armoricaine). En 1029, le comte de Cornouaille Alain Canhiart confie l’île à l’abbaye Sainte-Croix de Quimperlé qu’il vient de fonder. Celle-ci relevant directement du pape, Belle-Île bénéficie d'une immunité qui ne la fait relever ni de l’évêché de Vannes, ni du duché de Bretagne. L'administration de l’île est déléguée à un prévôt de l'abbaye qui dispose du pouvoir temporel (droit de basse, moyenne et haute justice qui s’exerce tantôt à Belle-Île tantôt à Quimperlé), puis uniquement à Quimperlé à partir de 1408.

Un autre comte de Cornouaille confie l'île aux Bénédictins de Redon qui parviennent à en prendre possession après de longues contestations de l'abbé de Quimperlé. Le prieuré reste au même endroit que celui de leurs prédécesseurs (à l'emplacement actuel du camping municipal de Bangor) et ils construisent à Palais un fort qui deviendra par la suite la capitale de l'île à la place de Bangor.

Belle-Île reste sous le gouvernement des moines jusqu'au XVIe siècle, époque où les attaques incessantes des pirates les obligent à résigner leur seigneurie dans les mains du roi, ou plutôt à la régente Catherine de Médicis qui inféode l'île aux Gondi, alors titulaires du duché de Retz. Mais les terres restent sous le régime de mainmorte jusqu'à l'afféagement de la fin du XVIIIe siècle.

Situé à Bangor, sur la côte ouest de Belle-Île, le phare de Goulphar entre en service en 1836.

Le sémaphore du Talut est mis en service en 1862[25].

L'aérodrome de Belle-Île situé sur le territoire communal a été inauguré en 1954.

Politique et administration modifier

Administration municipale modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1791 1797 Pierre Paul Féchant    
1797 1799 Pierre Vincent Le Matelot    
1799 1809 Pierre Paul Féchant    
1809 1810 Jean Martin Labado    
1810 1818 Jean Jacques Hippolyte Le Dru    
1818 1839 Pierre Vincent Le Matelot    
1839 1844 Jean Jacques Hippolyte Le Dru    
1844 1852 G. Féchant    
1852 1874 Jean Patern Brière    
1874 1876 Louis Marie Laléous    
1876 1896 Mathurin L'Hermite    
1896 1900 Pierre Marie L'Hermite    
1900 1919 François Marie Le Bihan    
1919 1925 Onésime Bénoni L'Hermite    
1925 1935 Hervé    
1935 1946 François Le Marec    
1946 1960 Jean Marie Le Bihan    
1960 1971 Paul Bédex    
1971 1977 Adolphe Oliéric    
1977 1983 Paul Meunier    
1983 1989 Jean Yves Daniel    
1989 2001 Lucien Maho    
2001 2014 Pierre-Yves Désard    
2014[26]
Réélue en 2020[27]
En cours Annaïck Huchet SE Présidente de la Communauté de communes

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29]. En 2021, la commune comptait 1 010 habitants[Note 6], en augmentation de 2,96 % par rapport à 2015 (Morbihan : +3,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2181 1831 0051 4181 6381 7621 7421 7121 820
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8131 8011 8681 8621 8071 6651 6151 5651 541
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4541 4841 3421 0741 017988929809670
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
578550563637735738875894946
2017 2021 - - - - - - -
9991 010-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Bangor.

Bangor dans les beaux-arts modifier

Des peintres ont représenté des paysages de la commune. Parmi les plus connus :

Personnalités liées à la commune modifier

  • Le peintre australien John Peter Russell, arrivé à Belle-Île-en-Mer en 1883. Il séjournera d'abord dans un gîte loué à Envag avant de faire construire un manoir, surnommé le « château de l'Anglais » à Goulphar.
  • Le peintre Claude Monet séjourna au village de Kervilahouen.
  • Le critique d'art Anatole Jakovsky achète en 1949 une maison de vacances au n°3 rue Clérain de Bangor, où il séjournera jusqu’à sa mort en 1983.

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Cette érymologie reprend celle de Léon Fleuriot suivi par Hervé Abalain (Les noms de lieux bretons. Universels Gisserot. 2000.), ainsi que celle, en anglais, de A.D. Mills - Dictionary of British Place-names. Oxford University Press. 1991, 2003.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le ).
  7. « Fiche du Poste 56009001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  9. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  16. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. Martin Vaugoude, « Limiter les résidences secondaires : le sujet qui divise la Bretagne. », sur letelegramme.fr, (consulté le ).
  19. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  20. « Chiffres clés - Logement en 2019 à Bangor » (consulté le ).
  21. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans le Morbihan » (consulté le ).
  22. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).
  23. Hervé Abalain : Les noms de lieux bretons - Universels Gisserot. 2000 - Page 55.
  24. E. Anwyl et A. W. Wade-Evans, « Welsh Mediæval Law », The Celtic Review, vol. 6, no 22,‎ , p. 188 (ISSN 1755-6066, DOI 10.2307/30070223, lire en ligne, consulté le )
  25. Office de tourisme de Belle-Île-en-Mer, Les Sémaphores de Belle-Ile, consulté le 13 septembre 2014.
  26. « Municipales à Bangor. Annaïck Huchet, élue maire de Bangor », Ouest-France, 29 mars 2014.
  27. « Bangor. Annaïck Huchet réélue pour un deuxième mandat », sur Maville.com, (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Aero-club Belle-Ile Charles Robin.