Balma

commune française du département de la Haute-Garonne

Balma
Balma
Lotissements du sud de la commune de Balma en 2006.
Blason de Balma
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Toulouse Métropole
Maire
Mandat
Vincent Terrail-Novès
2020-2026
Code postal 31130
Code commune 31044
Démographie
Gentilé Balmanais
Population
municipale
17 385 hab. (2021 en augmentation de 9,98 % par rapport à 2015)
Densité 1 048 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 36′ 40″ nord, 1° 29′ 58″ est
Altitude Min. 135 m
Max. 218 m
Superficie 16,59 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Toulouse
(banlieue)
Aire d'attraction Toulouse
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Toulouse-10
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Balma
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Balma
Liens
Site web Site officiel

Balma est une commune française située dans la banlieue est de Toulouse, dans le nord-est du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays toulousain, qui s’étend autour de Toulouse le long de la vallée de la Garonne, bordé à l’ouest par les coteaux du Savès, à l’est par ceux du Lauragais et au sud par ceux de la vallée de l’Ariège et du Volvestre.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Hers-Mort, la Saune, la Seillonne, le ruisseau de Noncesse et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un espace protégé (le « biotope des prairies à Orchis lacté ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Balma est une commune urbaine qui compte 17 385 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Balmanais ou Balmanaises.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le château de Thégra, inscrit en 1984.

Géographie modifier

Localisation modifier

Représentations cartographiques de la commune
 
La commune dans le département
  Mairie
 
Carte OpenStreetMap
 
Carte topographique
 
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

La commune de Balma se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 5 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[2] : Pin-Balma (3,3 km), Quint-Fonsegrives (3,6 km), Montrabé (4,2 km), Toulouse (4,6 km), L'Union (5,3 km), Mondouzil (5,3 km), Flourens (5,4 km), Beaupuy (6,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Balma fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[3].

Balma est limitrophe de six autres communes. Les communes limitrophes sont L'Union, Flourens, Montrabé, Pin-Balma, Quint-Fonsegrives et Toulouse.

Balma est située au nord de la Haute-Garonne, dans l'unité urbaine et l'aire d'attraction de Toulouse, à 5,5 km de son centre-ville[5]. Située en banlieue est de Toulouse, elle est limitrophe de la ville.

Hydrographie modifier

Elle est drainée par l'Hers-Mort, la Saune, la Seillonne, le ruisseau de Noncesse, Riou Gras, le ruisseau de la garrigue et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 19 km de longueur totale[6],[Carte 1].

L'Hers-Mort, d'une longueur totale de 89,3 km, prend sa source dans la commune de Laurac et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Grenade, après avoir traversé 40 communes[7].

La Saune, d'une longueur totale de 31,8 km, prend sa source dans la commune de Vaux et s'écoule vers le sud-est. Elle traverse la commune et se jette dans l'Hers-Mort à Toulouse, après avoir traversé 18 communes[8].

La Seillonne, d'une longueur totale de 24,1 km, prend sa source dans la commune de Caraman et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans la Sausse à L'Union, après avoir traversé 11 communes[9].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 712 mm, avec 9,3 jours de précipitations en janvier et 5,7 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Blagnac à 9 km à vol d'oiseau[12], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 627,0 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Espaces protégés modifier

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[16],[17].

Un espace protégé est présent sur la commune : le « biotope des prairies à Orchis lacté », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 14,5 ha[18].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

 
Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[19] : les « prairies de l'aérodrome de Toulouse-Lasbordes » (47 ha)[20].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Balma est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[21],[I 2],[22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes[I 3] et 1 063 235 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[I 4],[I 5].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune du pôle principal[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6],[I 7].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (53,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (40,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (36,4 %), terres arables (33,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (15,9 %), zones agricoles hétérogènes (11,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,1 %), forêts (1 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communications et transports modifier

Voies de communication modifier

La commune est accessible en voiture par le périphérique de Toulouse, sorties   15 - Roseraie,   16 - Soupetard et   17 - Lasbordes. Seul l'échangeur 16 permet une circulation aisée des autres modes de déplacements actif piétons et vélos.

Transports modifier

La commune compte sur son territoire une station du métro de Toulouse, la station Balma - Gramont, terminus de la ligne A, située au nord de Balma, au niveau de la zone d'activités de Gramont.

La station accueille également les bus de la ligne 20 du réseau Tisséo vers Beaupuy via la ZI Montredon ; la 51 vers le quartier La Terrasse à Toulouse via le centre de Balma ; la 68 vers Castelmaurou via la ZI Montredon ; la 72 vers le quartier Lasbordes via les quartiers du Vidailhan, du Cyprié et le centre de la commune ; la 83 vers le lycée de Saint-Orens-de-Gameville via le sud de la commune ; la 84 vers le collège de Quint-Fonsegrives via le centre-ville et le quartier Lasbordes ; la 101 vers Mondouzil ; la 102 vers Drémil-Lafage via le nord de Balma ; la 103 vers Drémil-Lafage via le nord de Balma également. Le terminus de Balma - Gramont accueille également les autocars de la ligne express Hop!304 du réseau Arc-en-Ciel vers Bessières ; la 353 vers Bessières ; la 376 vers Verfeil ; la 381 vers Le Faget.

Le sud de la commune est également desservi par une ligne de bus à haut niveau de service du réseau Tisséo, le Linéo L1 qui mène au centre-ville de Toulouse et jusqu'au quartier des Sept Deniers depuis Quint-Fonsegrives.

Balma est également desservie par la ligne 104 du réseau Tisséo qui mène à Aigrefeuille depuis la route de Castres, et par la ligne 356 du réseau Arc-en-Ciel qui mène à la gare routière de Toulouse depuis Revel.

L'aérodrome de Toulouse - Lasbordes d'aviation générale, est situé sur le territoire de la commune.

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Balma est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Saune et la Seillonne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1989, 1991, 1992, 1995, 1999 et 2009[26],[24].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Balma.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 4 021 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 4 021 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1991, 1992, 1998, 2002, 2003, 2011, 2016 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

Risques technologiques modifier

La commune est en outre située en aval du barrage de l'Estrade sur la Ganguise (département de l'Aude). À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[29].

Histoire modifier

 
Galet aménagé - Balma - Muséum de Toulouse.

La vie connue sur la commune de Balma commence dès la préhistoire (partie terminale du Paléolithique inférieur), comme en témoignent les récoltes de mobilier préhistorique faites au XIXe siècle et déposées au muséum de Toulouse.

Au Moyen Âge c'est un petit fief appartenant, au moins en partie, à l’évêché de Toulouse, il est érigée en baronnie épiscopale en 1279. C’est donc l’évêque qui est à cette époque seigneur et baron de Balma, puis l'archevêque après l'élévation de l'évêché de Toulouse au rang d'archevêché en 1317. La baronnie de Balma a deux consulats, celui du Pin et celui de Balma. Les consuls sont nommés chaque année par le seigneur évêque, le jour de la Toussaint. Ils sont les intermédiaires entre la noblesse de robe ou d’épée, la grande bourgeoisie et les représentants des ordres religieux d’une part, le peuple de la campagne balmanaise d’autre part.

Leur rôle principal est d’administrer les deniers communaux. Ils lèvent les impôts et les tailles. Ils veillent à l’entretien des chemins, au bon état des ponts et des arbres bordant les routes. Ils assurent l’ordre et la tranquillité dans leur communauté en veillant sur les bonnes mœurs et en faisant respecter les propriétés et les récoltes.

Sous l’Ancien Régime, la population de Balma se compose alors surtout de familles d’agriculteurs. Un petit nombre d’artisans demeure à Lasbordes.

La baronnie épiscopale de Balma est vendue au marquis Guillaume de Castelpers le . En 1789, de nombreuses propriétés ou pièces de terre changent de mains, par la confiscation et la vente des biens du clergé et de la noblesse. Cependant, le mode de vie des balmanais, petits propriétaires, brassiers ou métayers en général, ne change nullement.

  • La commune de Balma est créée par un décret de l’Assemblée nationale constituante le . La commune occupe, à quelques variantes près, le territoire du consulat de Balma. Le premier maire est Henri Lassalle-Préserville.
  • Au cours du XIXe siècle et jusqu’à la grande guerre, la commune de Balma construit ses chemins, se dote d’une mairie et d’un bureau de poste, bâtit presque seule une église au centre de son territoire et reconstruit presque entièrement l’église Saint-Martin de Boville. C’est également au cours de ce siècle que les institutions municipales s’affermissent par le suffrage universel et que l’instruction générale élémentaire est dispensée à tous les enfants.

C’est seulement dans la seconde moitié du XXe siècle que Balma, du village rural, devient la ville résidentielle qu’elle est aujourd’hui. Sa population passe de 1 724 habitants en 1954 à 6 530 en 1970 avec les premières constructions de type pavillonnaire. Le premier lotissement d’habitations est élaboré en 1954 au Clos Saint Pierre. Institutions militaires et entreprises s’implantent. Balma se dote d’infrastructures, lance un projet de ville, se donne tous les atouts pour entrer sereinement dans le troisième millénaire.

Héraldique modifier

Son blasonnement est : De gueules à la crosse d'or posée en barre, accompagnée d'une mitre d'argent garnie d'or en chef et d'une croix occitane d'or.

Politique et administration modifier

Administration municipale modifier

Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 10 000 et 19 999 habitants le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de trente-trois[30],[31].

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Commune faisant partie de la deuxième circonscription de la Haute-Garonne jusqu'au redécoupage législatif de 2010, puis de la troisième circonscription de la Haute-Garonne.

Tendances politiques et résultats modifier

Le maire actuel de la ville, Vincent Terrail-Novès, était membre du parti Les Républicains au moment des élections de 2014 mais a pris ses distances avec ce dernier[32]. En 2020, il se présente sous la liste DVC-LREM et est réélu maire.

Il est, à ce jour, le plus jeune maire élu de la ville de Balma. Le conseil municipal de Balma est composé de 33 membres dont le maire, 9 adjoints au maire, 15 conseillers municipaux délégués et 8 conseillers municipaux.

Alexandre Fieuzal est le benjamin du conseil municipal (23 ans lors de son élection) et Michel Baselga en est le doyen (79 ans lors de son élection).

Vincent Terrail-Novès a été élu en 2014 avec 52,16 % des voix au premier tour. Il a été réélu en 2020 dès le premier tour avec 65,37 % des voix.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1947 Édouard Bayrou    
1947 1947 François Mignonat    
1947 1971 Georges Pradel    
1971 1995 Eugène Bonnet RI puis
UDF-PR
Fonctionnaire
Sénateur de la Haute-Garonne (1974 → 1980)
Conseiller général de Toulouse-VIII (1982 → 2001)
1995 2014 Alain Fillola PS Chef d'entreprise
Conseiller général de Toulouse-VIII (2001 → 2015)
2014 En cours
(au )
Vincent Terrail-Novès UMP-LR
puis DVC[33],[34]
Gérant d'un établissement médico-social, kinésithérapeute
Conseiller régional d'Occitanie (2015 → 2021)
1er vice-président de Toulouse Métropole (2020 → )
Suppléant de la députée Corinne Vignon (2022 → )

Politique de développement durable modifier

La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2009[35]. La démarche a été stoppée en 2014.

Dans son palmarès 2016, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a renouvelé son attribution de deux fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[36]. EN décembre 2018, la ville a reçu la troisième fleurs[37].

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[38],[Note 5]. En 2021, la commune comptait 17 385 habitants[Note 6], en augmentation de 9,98 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
546544603635790802785863883
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
840835795797877893944916965
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
9139098868218689379661 2761 724
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
2 8904 2767 1278 1179 50611 94412 79313 82916 394
2021 - - - - - - - -
17 385--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[41] 1975[41] 1982[41] 1990[41] 1999[41] 2006[42] 2009[43] 2013[44]
Rang de la commune dans le département 12 10 10 12 9 8 8 8
Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

Service public modifier

Vie militaire modifier

La commune accueille l'état-major de la 11e brigade parachutiste au quartier Balma-Ballon. Jusqu'en 1999, elle accueillait à sa place le 14e régiment parachutiste de commandement et de soutien.

Administrations modifier

Un site de la Direction générale des armements et techniques aéronautiques (DGATA), est présent sur la commune, au niveau du quartier de Vidailhan.

Enseignement modifier

Balma fait partie de l'académie de Toulouse.

L'éducation est assurée sur la commune par :

Le lycée de secteur de la commune est le lycée Stéphane-Hessel situé dans le quartier des Argoulets à Toulouse.

Un groupe scolaire public Simone-Veil va être construit sur les terrains de sport du collège Jean Rostand en raison de la forte fréquentation des actuels groupes scolaires.

Un nouveau collège devrait être construit pour les mêmes raisons à proximité du quartier de Vidailhan.

Culture et festivité modifier

La ville possède un agenda culturel bien rempli, comprenant des séances cinémas (trois projections pendant l'été) et activités de plein air, des rassemblements automobiles ou des matchs de différents sports.

Activités sportives modifier

Écologie et recyclage modifier

La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la métropole de Toulouse Métropole[47].

Économie modifier

Revenus modifier

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 7 345 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 16 729 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 26 830 [I 8] (23 140  dans le département[I 9]). 66 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 8] (55,3 % dans le département).

Emploi modifier

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 10] 5,5 % 7 % 7,4 %
Département[I 11] 7,7 % 9,6 % 9,3 %
France entière[I 12] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 10 094 personnes, parmi lesquelles on compte 77,4 % d'actifs (70,1 % ayant un emploi et 7,4 % de chômeurs) et 22,6 % d'inactifs[Note 9],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie du pôle principal de l'aire d'attraction de Toulouse[Carte 4],[I 13]. Elle compte 12 166 emplois en 2018, contre 11 492 en 2013 et 8 520 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 7 223, soit un indicateur de concentration d'emploi de 168,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,8 %[I 14].

Sur ces 7 223 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 1 702 travaillent dans la commune, soit 24 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 72,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 15,5 % les transports en commun, 9,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

Activités hors agriculture modifier

Secteurs d'activités modifier

1 945 établissements[Note 10] sont implantés à Balma au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 17].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 1 945 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
75 3,9 % (5,7 %)
Construction 147 7,6 % (12 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
443 22,8 % (25,9 %)
Information et communication 98 5 % (4,1 %)
Activités financières et d'assurance 169 8,7 % (3,8 %)
Activités immobilières 102 5,2 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
442 22,7 % (19,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
332 17,1 % (16,6 %)
Autres activités de services 137 7 % (7,9 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 22,8 % du nombre total d'établissements de la commune (443 sur les 1945 entreprises implantées à Balma), contre 25,9 % au niveau départemental[I 18].

Entreprises et commerces modifier

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[48] :

  • Bouygues Travaux Publics Regions France, construction d'ouvrages d'art (209 121 k€)
  • LPR - La Palette Rouge, affrètement et organisation des transports (142 517 k€)
  • Societe Hydro-Electrique Du Midi - Shem, production d'électricité (94 349 k€)
  • Celad, conseil en systèmes et logiciels informatiques (90 638 k€)
  • Totana, hypermarchés (44 927 k€)

Agriculture modifier

1988 2000 2010 2020
Exploitations 29 21 13 9
SAU[Note 12] (ha) 921 1 142 1 092 982

La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol[49]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (29 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 982 ha[51],[Carte 6],[Carte 7].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Balma comporte 3 monuments à découvrir :

Personnalités liées à la commune modifier

Pour approfondir modifier

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Bibliographie modifier

  • B. Cabanis, M. Barat, R. Pradelles et J. Pramil, Eglise Saint-Martin de Boville ou Beauville à Lasbordes : éléments de l'histoire de l'église de Lasbordes pour une visite commentée, Histoire vivante de Balma, , 19 p.
  • Guy Eché, Histoire de Balma : l'urbanisation, vol. 2, Toulouse, Editions universitaires du Sud, , 443 p. (ISBN 978-2-7227-0138-0)
  • Guy Eché, Histoire de Balma : Jusqu'à l'urbanisation, vol. 1, Toulouse, Editions universitaires du Sud, , 262 p. (ISBN 978-2-7227-0137-3)
  • Histoire vivante de Balma, Balma : deux mille ans d'histoire, Histoire vivante de Balma, , 93 p. (ISBN 2-9520410-0-8)
  • Christian Bressan, Balma : terre aéronautique, Toulouse, Signes du monde, , 86 p. (ISBN 2-909635-15-5)

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  8. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[50].
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Balma » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

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  5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Balma » (consulté le ).
  9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
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Autres sources modifier

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  2. « Communes les plus proches de Balma », sur villorama.com (consulté le ).
  3. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
  4. Carte IGN sous Géoportail
  5. « Infos, distance et photos de Balma et Toulouse », sur voldoiseau.com (consulté le ).
  6. « Fiche communale de Balma », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
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  8. Sandre, « la Saune »
  9. Sandre, « la Seillonne »
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  14. « Station Météo-France « Toulouse-Blagnac » (commune de Blagnac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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  53. girondins4ever.com Publié le 2022-06-14.
  54. Emmanuel Vaksmann, « La Balmanaise Morgane Laplace championne du Monde de culturisme », La Dépêche,‎ (lire en ligne).
  55. Véronique Haudebourg, « Sophie Duarte, championne d'Europe de cross-country », France 3 Occitanie,‎ (lire en ligne).