Baâlons

commune française du département des Ardennes

Baâlons
Baâlons
Blason de Baâlons
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Ardennes
Arrondissement Charleville-Mézières
Intercommunalité Communauté de communes des Crêtes Préardennaises
Maire
Mandat
Raoul Charbonneaux
2020-2024
Code postal 08430
Code commune 08041
Démographie
Gentilé Baâlonnais
Population
municipale
206 hab. (2021 en diminution de 11,59 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 35′ 42″ nord, 4° 40′ 16″ est
Altitude 220 m
Superficie 14,72 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Charleville-Mézières
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nouvion-sur-Meuse
Législatives Première circonscription
Localisation
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Baâlons
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Baâlons

Baâlons est une commune française, située dans le département des Ardennes en région Grand Est.

Géographie modifier

 
Baâlons et ses environs.


Localisation modifier

Baâlons se situe dans une légère dépression (alt. 238 mètres à l'église), à proximité nord de la ligne ardennaise de partage des eaux. Deuxième étage du terrain jurassique : marnes et calcaires argilo-siliceux durs, exploitables pour moellons.


Géologie et relief modifier

Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie, par le BRGM :

Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

Sismicité modifier

Commune située dans une zone de sismicité faible[1].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 958 mm, avec 14,2 jours de précipitations en janvier et 9,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Launois-sur-Vence_sapc », sur la commune de Launois-sur-Vence à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 889,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −12,8 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Hydrographie et les eaux souterraines modifier

  • Ruisseau de Bairon[9].
  • Ruisseau de Saint-Lambert[10].
  • Ruisseau de Baâlons[11].
  • Fossé 02 de la Commune de Saint-Loup-Terrier[12].
  • Ruisseau des Puiselets[13].

Voies de communications et transports modifier

Voies routières modifier

  • A34 : Échangeurs Poix-Terron, Yvernaumont, Boulzicourt.
  • A203 :Échangeurs Villers-Semeuse, Lumes.

Transports en commun modifier

SNCF modifier
 
Gare d'Amagne - Lucquy.

Intercommunalité modifier

Commune membre de la Communauté de communes des Crêtes Préardennaises

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Baâlons est une commune rurale[Note 2],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Charleville-Mézières, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (54,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,2 %), prairies (41 %), terres arables (13,9 %), zones urbanisées (1,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire modifier

Le Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France(Archives MAE)[20] , de Cl. Marin Saugrain[21], en 1726, indique :

« BAALON, dans la Champagne, Diocèse de Reims, Parlement de Paris, Intendance de Châlons, Élection de Rhetel, a 419 habitans. La Cure vaut neuf cens livres. »

Deux habitants ont été admis parmi les 4281 Justes parmi les nations de France[22] pour avoir sauvé des personnes juives persécutées par le régime nazi et le gouvernement de Vichy :

Commanderie hospitalière de Sainte-Croix modifier

Les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem tenaient un établissement nommé Sainte-Croix[25],[26], déjà au commencement du XIIIe siècle, qui se composait d'une maison avec plus de 400 arpents de terre. C'était un ancien fief amorti où la commanderie avait la haute, moyenne et basse justice. Cette maison se trouvait sur le chemin de Mézières à Attigny.

Au mois d', Salomon de Baâlons, chevalier, par devant l'archevêque de Reims, renonce aux revendications qu'il soulevait au sujet de l'usage d'un bois au dit Baâlons : il en laisse aux religieux, habitant la maison de Sainte-Croix, l'usage pour leur chauffage et la construction, en ne conservant que des hêtres et des chênes, et ajoute le pâturage moyennant un cens de deux septiers d'avoine.
La maison avait été en partie rebâtie, d’après un marché dressé le , pour la construction d'un corps de logis de 48 pas de long sur 30 de large.
La cense comprenait 112 arpents ; elle était louée en 1497 pour 4 livres tournois, pour 130 livres en 1698 ; pour 200 livres tournois, 15 livres de chanvre et 30 livres de beurre, en 1732 ; 400 livres en 1788. Il y avait en outre 32 arpents de bois exploités à part.

Il n'en reste, aujourd'hui, rien d'autre que le toponyme.

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Ludovic Dasnois DVD  
mars 2008 mars 2012 Henri Charpentier    
avril 2012 juin 2020 Pascal Nihotte    
juin 2020 En cours Raoul Charbonneaux[27]   Ancien agriculteur

Budget et fiscalité 2021 modifier

En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[28] :

  • total des produits de fonctionnement : 136 000 , soit 630  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 123 000 , soit 572  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 55 000 , soit 258  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 13 000 , soit 60  par habitant ;
  • endettement : 17 000 , soit 79  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 15,05 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 33,83 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 18,76 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 24 200 [29].

Économie modifier

Entreprises et commerces modifier

Agriculture modifier

  • Élevage de vaches laitières[30].
  • Culture et élevage associés.
  • Culture de céréales, de légumineuses et de graines oléagineuses.

Tourisme modifier

  • Hébergements et restauration à Poix-Terron, La Sabotterie, Hagnicourt, Lametz[31].

Commerces modifier

  • Commerces et services de proximité à Bairon, Faissault, Villers-Semeuse, Boulzicourt[32].

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

Pyramide des âges modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

En 2021, la commune comptait 206 habitants[Note 4], en diminution de 11,59 % par rapport à 2015 (Ardennes : −3,2 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
660751795902925947920907862
1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
682633609553528476415377392
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
346301288259232251204173169
1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021
163147160170195199235207206
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Établissements d'enseignements[37] :

  • Écoles maternelles à Saint-Loup Terrier, Poix-Terron, Tourteron, Guignicourt-sur-Vence.
  • Écoles primaires à Poix-Terron, Guignicourt-sur-Vence.
  • Collèges à Nouvion-sur-Meuse, Attigny, Charleville-Mézière, Villers-Semeuse.
  • Lycées à Charleville-Mézière.

Santé modifier

Professionnels et établissements de santé[38] :

  • Médecins à Poix-Terron, Le Chesne, Boulzicourt, Saulces-Monclin, Flize, Attigny.
  • Pharmacies à Poix-Terron, Sorcy-Bauthémont, Le Chesne, Saul Monclin, Flize.
  • Hôpitaux à Charleville-Mézières, Sedan.

Cultes modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Église paroissiale Saint-Rémi[40]. Remarquable église des XIIIe et XIVe siècles, de style roman tardif, doté d'un tympan de porte du Xe siècle, représentant un homme avec une crosse et un livre ouvert, entouré de deux anges[41].
Harmonium[42].
  • Chapelle Sainte-Anne[43], érigée en 1911 sur l'emplacement d'une chapelle datant de 1807, près de la source de sainte Anne, lieu de pèlerinage. La procession de Sainte-Anne se tient le de chaque année[44],[45].
  • Ancien fief de Géraumont. S'y dresse encore un château, aujourd'hui exploitation agricole.
  • Monument aux morts[46] Conflits commémorés : Guerre franco-allemande de 1914-1918.

Les hameaux et lieux-dits modifier

La Folie et la Grangette modifier

La Folie est un ancien fief. Son seigneur féodal, Definfe, demeurant en sa terre de Bussy-lès-Séchault, le proposa à la vente, le , dans Les Affiches de Reims [48]:

« A vendre les terres et seigneuries de la Grangette et de la Folie, qui tiennent ensemble, avec haute, moyenne et basse justice. Elles sont situées entre Omont et Balon, à 3 lieues de Mézières, 4 de Sedan et 5 de Rethel dont elles ressortissent. Celle de la Grangette consiste en un tiers des droits seigneuriaux, terres, prés, bois. Celle de la Folie en un château bâti en pierre de taille, entouré de grange, écuries et murs, jardin et fossés, terres, prés, bois, etc. ».
La mise en vente dut être infructueuse, car le , il réitère l'offre par la même gazette.

Il n'en reste, aujourd'hui, rien d'autre que le toponyme.

Les Puiselets modifier

Écart en deux parties, vers la limite du ban de Mazerny. Il est aujourd'hui fort peu peuplé. Le Dictionnaire général des villes bourgs, villages, hameaux et fermes de la France, de Duclos[49], indique, en 1846, 70 habitants. On peut y visiter les vieux chênes dans le chemin creux et l'ancien lavoir.

Beauvois modifier

Hameau peuplé.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Eugène Houssière, émigré en Louisiane, États-Unis, en 1883 et y fait fortune dans le pétrole, donateur de la chapelle Sainte-Anne en 1911[50],[51],[52].

Héraldique modifier

  Blason
Parti : au 1er d'or au lion de sable, au 2e d'argent à trois fasces de sable, le tout sommé d'un chef de gueules chargé de trois étoiles d'or[53].
Détails
Création Jean-Jacques Baron. Adopté le 19 décembre 2008.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Schéma Départemental d’Analyse et de Couverture des Risques du département des Ardennes.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Baâlons et Launois-sur-Vence », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Launois-sur-Vence_sapc », sur la commune de Launois-sur-Vence - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Launois-sur-Vence_sapc », sur la commune de Launois-sur-Vence - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. Ruisseau de Bairon
  10. Ruisseau de Saint-Lambert
  11. Ruisseau de Baâlon
  12. Fossé 02 de la Commune de Saint-Loup-Terrier
  13. Ruisseau des Puiselets
  14. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. GA0107 FR MAESA GA 55/1
  21. Cl. Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, Paris, 1726, t.1, p. 271 [1]
  22. Baâlons en 1939-1945
  23. Nestor Prime
  24. Roger Prime
  25. Eugène Mannier, Ordre de Malte: les commanderies du grand prieuré de France, Paris : Auguste Aubry & Dumoulin, 1872, pp.288-289 [2]
  26. Édouard de Barthélemy, Notes sur les établissements des ordres religieux & militaires du Temple de Saint-Jean de Jérusalem & de Saint-Antoine de Viennois, dans l'ancien archi-diocèse de Reims, dans les Travaux de l'Académie nationale de Reims, Reims : imprimerie de l'Académie, 1880-1881, vol.70, n°2&3, p.38 [3].
  27. « Municipales 2020. Enjeux et résultats. Baâlons », sur Le Monde.
  28. Les comptes de la commune
  29. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  30. Annuaires
  31. Hébergements et restauration
  32. Commerces et services de proximité
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Établissements d'enseignements
  38. Professionnels et établissements de santé
  39. Paroisse Notre Dame des Crêtes
  40. Église Saint-Rémi, sur l'Observatoire du patrimoine religieux
  41. Église paroissiale Saint-Rémi
  42. Église paroissiale Saint-Rémi : Harmonium
  43. L'on peut voir quelques photographies de l'édifice dans Commons = Category:Sainte Anne à Baâlons.
  44. Procession et pique-nique pour la fête dela Sainte-Anne à Baâlons, sur L'Ardennais (journal)
  45. Topoguide Hauts Crêtes
  46. Monument aux morts
  47. Bas-relief : saint évêque et deux anges. Église paroissiale Saint-Rémi.
  48. Topographie ardennaise, dans la Revue de Champagne et de Brie, Paris : H. Menu & Arcis-sur-Aube : L. Frémont, 1894, 2e série, tome 6, p. 830 [4]
  49. Duclos, Dictionnaire général des villes bourgs, villages, hameaux et fermes de la France, 4e éd., Paris & Limoges : Martial Ardent frères, p. 387 [5]
  50. Caroline Jouret, « De l'ardoise à l'or noir: leur aïeul Ardennais fait fortune en Amérique, ils reviennent au bercail », France 3,‎ (lire en ligne)
  51. (en) « Eugene Houssiere », sur findagrave.com.
  52. (en) Tonja Koob Marking et Jennifer Snape, Louisiana's Oil Heritage, Arcadia Publishing, (lire en ligne), p. 22
  53. Blqson