Bélarga

commune française du département de l'Hérault

Bélarga
Bélarga
Blason de Bélarga
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes Vallée de l'Hérault
Maire
Mandat
José Martinez
2020-2026
Code postal 34230
Code commune 34029
Démographie
Gentilé Bélarganais
Population
municipale
668 hab. (2021 en augmentation de 21,45 % par rapport à 2015)
Densité 162 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 33′ 12″ nord, 3° 29′ 15″ est
Altitude 27 m
Min. 17 m
Max. 84 m
Superficie 4,13 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gignac
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Bélarga

Bélarga [be.laʁ.ga] (en occitan Belargan [be.'lar.ɣa]) est une commune française située dans le centre du département de l'Hérault, en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Hérault, le Dardaillon, le Rouviège et par le ruisseau de Peyre Gazan.

Bélarga est une commune rurale qui compte 668 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Bélarganais ou Bélarganaises.

Géographie modifier

 
Carte.
 
Plan cadastral de la section du Village, 1825.

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Bélarga
Tressan Puilacher
Paulhan   Plaissan
Campagnan Saint-Pargoire

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 641 mm, avec 5,9 jours de précipitations en janvier et 2,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-André-de-Sangonis à 10,79 km à vol d'oiseau[3], est de 15,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 652,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[7],[8],[9].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Bélarga est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[I 1],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2],[I 3].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (81,2 %), zones urbanisées (10,5 %), zones agricoles hétérogènes (8,3 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Bélarga est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Hérault, le ruisseau de Rouvièges et le Dardaillon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1984, 1986, 1994, 1995, 1996, 1997, 1999, 2002, 2003, 2014 et 2019[15],[13].

Bélarga est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 3],[16].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bélarga.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 282 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 282 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].

Risques technologiques modifier

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[19].

La commune est en outre située en aval du Barrage du Salagou, un ouvrage de classe A[Note 4] sur le Salagou, mis en service en 1968 et disposant d'une retenue de 102 millions de mètres cubes. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[21].

Histoire modifier

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1947 1959 Vincent Vidallet    
1959 1983 René Gazagnes    
1983 mars 2001 Jean-Claude Marc    
mars 2001 mars 2008 Françoise Martin PCF Professeur des écoles
mars 2008 mars 2020 Jean-Claude Marc PS Agent technique
mars 2020 En cours
(au 28 mai 2020)
José Martinez[22],[23] SE Maître d’œuvre[24],[25]

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].

En 2021, la commune comptait 668 habitants[Note 5], en augmentation de 21,45 % par rapport à 2015 (Hérault : +7,29 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
256263279273369330341331341
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
331375392374362286326295328
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
336340373321316288295296254
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
250247228245241258397451586
2021 - - - - - - - -
668--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Revenus modifier

En 2018, la commune compte 248 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 623 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 390 [I 4] (19 820  dans le département[I 5]).

Emploi modifier

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 16,5 % 9,1 % 11 %
Département[I 7] 8,9 % 11,1 % 11,2 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 389 personnes, parmi lesquelles on compte 72,2 % d'actifs (61,2 % ayant un emploi et 11 % de chômeurs) et 27,8 % d'inactifs[Note 7],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 72 emplois en 2018, contre 42 en 2013 et 49 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 239, soit un indicateur de concentration d'emploi de 30 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56,7 %[I 10].

Sur ces 239 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 54 travaillent dans la commune, soit 23 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 84,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,5 % les transports en commun, 6,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture modifier

33 établissements[Note 8] sont implantés à Bélarga au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 13].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 33
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
2 6,1 % (6,7 %)
Construction 8 24,2 % (14,1 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
11 33,3 % (28 %)
Activités immobilières 1 3 % (5,3 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
4 12,1 % (17,1 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
4 12,1 % (14,2 %)
Autres activités de services 3 9,1 % (8,1 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (11 sur les 33 entreprises implantées à Bélarga), contre 28 % au niveau départemental[I 14].

Agriculture modifier

La commune est dans la « Plaine viticole », une petite région agricole occupant la bande côtière du département de l'Hérault[30]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la viticulture[Carte 4].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 32 20 18 13
SAU[Note 11] (ha) 243 157 132 179

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 32 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 20 en 2000 puis à 18 en 2010[32] et enfin à 13 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 59 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67 % de ses exploitations[33],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 243 ha en 1988 à 179 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 8 à 14 ha[32].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Héraldique modifier

Les armoiries de Bélarga se blasonnent ainsi :

D'hermine, au sautoir losangé d'argent et d'azur.

Personnalités liées à la commune modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  4. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[20].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[31].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Bélarga » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Bélarga » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Bélarga » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Bélarga » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Bélarga et Saint-André-de-Sangonis », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « St Andre De Sangonis » (commune de Saint-André-de-Sangonis) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « St Andre De Sangonis » (commune de Saint-André-de-Sangonis) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Bélarga », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  8. « Liste des ZNIEFF de la commune de Bélarga », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « Liste des espaces protégés sur la commune de Bélarga », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Bélarga », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  15. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur herault.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  16. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Bélarga », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  20. Article R214-112 du code de l’environnement
  21. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  22. Résultats au 1er tour des élections municipales et communautaires 2020 de Bélarga, publié sur le site du ministère de l’Intérieur (consulté le ).
  23. Trois nouveaux conseillers élus hier, publié le sur le site du Midi-Libre (consulté le ).
  24. José Martinez candidat à un second mandat à Belarga, publié le sur le site du Midi-Libre (consulté le ).
  25. Fiche de la mairie de Bélarga, mise à jour le sur le site mon-maire.fr (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  31. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  32. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Bélarga - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  33. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Hérault » (consulté le ).
  34. a et b « Eglise paroissiale Saint-Etienne », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Mission Archives 34, Archives contemporaines de Bélarga : répertoire numérique détaillé, Montpellier, Mission Archives 34, , 15 p.
  • Mireille Brunet, « Un dossier sur l'éolienne de Bélarga (canton de Gignac) », Bulletin du Groupe de recherches et d'études du Clermontais, nos 70-72,‎
  • « Mémoire concernant l'église de Bélarga dédiée à saint Étienne premier martyr, L.J.C. », Études héraultaises, Montpellier, Association Études sur l'Hérault, no 43,‎ , p. 227-228
  • Pierre David et Jean-Claude Richard Ralite, « La vente des terres et seigneuries de Lavagnac, Saint-Pons-de-Mauchiens, Bélarga, Plaissan et Roquemengarde en 1781 », Cahiers d'arts et traditions rurales, nos 8-9,‎ 1995-1996, p. 148-169
  • Philippe Huppe et Jean-Denis Bergasse, Histoire d'Adissan et de la vicomté de Plaissan des origines à la fin du XIXe siècle : la moyenne Vallée de l'Hérault, Cholet, Ed. Pays et terroirs, , 250 p.
  • H. Bellugou, La Révolution dans le canton de Saint-Pargoire (Hérault), 1789-1800, Montpellier, , 404 p.

Fonds d'archives modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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