Auvers-Saint-Georges

commune française du département de l'Essonne

Auvers-Saint-Georges
Auvers-Saint-Georges
L’hôtel de ville.
Blason de Auvers-Saint-Georges
Blason
Auvers-Saint-Georges
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Essonne
Arrondissement Étampes
Intercommunalité Communauté de communes Entre Juine et Renarde
Maire
Mandat
Denis Meunier
2020-2026
Code postal 91580
Code commune 91038
Démographie
Gentilé Auversois
Population
municipale
1 277 hab. (2021 en diminution de 2,15 % par rapport à 2015)
Densité 98 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 29′ 33″ nord, 2° 13′ 07″ est
Altitude Min. 63 m
Max. 156 m
Superficie 12,99 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Étréchy
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Étampes
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Auvers-Saint-Georges
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Auvers-Saint-Georges
Liens
Site web www.auvers-saint-georges.fr

Auvers-Saint-Georges[1] (prononcé [ovɛʁ sɛ̃ ʒɔʁʒ] Écouter) est une commune française située à 42 kilomètres au sud-ouest de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.

Géographie modifier

Situation modifier

 
Position d’Auvers-Saint-Georges en Essonne.

Auvers-Saint-Georges est située à quarante-deux kilomètres au sud-ouest de Paris-Notre-Dame[2], point zéro des routes de France, vingt-trois kilomètres au sud-ouest d'Évry[3], huit kilomètres au nord-est d'Étampes[4], dix kilomètres à l'ouest de La Ferté-Alais[5], onze kilomètres au sud-ouest d'Arpajon[6], seize kilomètres au sud-est de Dourdan[7], dix-sept kilomètres au sud-ouest de Montlhéry[8], vingt et un kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt[9], vingt-trois kilomètres au sud-ouest de Corbeil-Essonnes[10], vingt-cinq kilomètres au sud de Palaiseau[11].

Elle fait partie des 69 communes du parc naturel régional du Gâtinais français[12].

Occupation des sols.
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Espace urbain construit 4,9 % 62,83
Espace urbain non construit 3,4 % 42,77
Espace rural 91,7 % 1 163,91
Source : Iaurif[13]

Hydrographie modifier

La commune est traversée par la rivière la Juine.

Relief et géologie modifier

Le point le plus bas de la commune est situé à soixante-trois mètres d'altitude et le point culminant à cent cinquante-six mètres[14]. La commune comporte un des sites de la réserve naturelle des sites géologiques de l'Essonne.

Communes limitrophes modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[15]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[16].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 661 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Courdimanche-sur-Essonne à 14 km à vol d'oiseau[17], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 594,8 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Voies de communication et transports modifier

La ligne C du RER dessert la gare de la commune voisine d'Étréchy.

La commune est desservie par deux lignes de bus, les lignes 68-16 et 913-50 du réseau de bus Essonne Sud Ouest.

Lieux-dits, écarts et quartiers modifier

Chagrenon, Saint Fiacre.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Auvers-Saint-Georges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[21],[22],[23]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Étréchy, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[24] et 18 643 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[25],[26].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[27],[28].

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Alberia puis Alveris en 1082, Auversiaco en 1132, Auversio et Alversio en 1195[29]. La commune fut créée en 1793 sous le nom d'Auvers, la mention de « Saint-Georges » relative à l'église paroissiale fut ajoutée en 1801 dans le Bulletin des lois[30].

Auvers correspond à un type toponymique que l'on rencontre dans la Sarthe, la Haute-Loire et la Manche[31].

Les toponymistes envisagent différentes interprétations dont aucune ne fait l'unanimité.
Il peut s'agir d'un surnom gaulois ethnique Arvernus, d'après l'ethnonyme Arvernes[32],[33]. Moins probablement, cette dénomination peut avoir un caractère topographique are « devant » et vern- « aulne » (cf. verne)[34]. Cette dernière explication a longtemps été utilisée également pour expliquer l'ethnonyme, mais elle est aujourd'hui rejetée par des spécialistes du gaulois qui considère ver- comme le radical signifiant « au-dessus »[35].

Note : l'évolution du radical Arvern- > Alvern- > Alver- > Auver- est tout à fait conforme aux règles phonétiques de la langue française.

Histoire modifier

Le territoire d'Auvers-Saint-Georges fut disputé au VIIe siècle entre deux royaumes francs, celui de Neustrie commandé par Childebert et celui d'Austrasie. Il est également un lieu de bataille durant la guerre de Cent Ans[36].

Lors de la seconde guerre, au début du mois d'aout 1944, j'étais avec mon grand-père dans une maison qu'on nous avait louée ou prêtée ? afin de s'éloigner d'Étréchy et d'Étampes où il y avait des bombardements. Un jour (j' étais très jeune..6ans) j'ai vu les Allemands venir et nous obliger à les loger, l'un était âgé et a discuté gentiment avec mon grand-père, ils avaient le même âge et le même métier, ébéniste, et il m'a même donné une tablette de chocolat mais l'autre qui devait avoir 20 ans, était très grand et il a été très méchant avec nous car en passant la porte il avait cassé ses lunettes de soleil. Le vieux a fait signe a mon grand-père de faire attention. On les a eu quelques jours, puis ils sont partis soit sur des vélos soit dans des charrettes avec des chevaux...ils se sauvaient. Et nous nous sommes repartis à Étréchy ou plutôt à Pierre-Brou, un hameau où nous avions une maison de vacances, c'était un ancien poste de diligence. Les bombes étaient tombées dans le jardin. (Josette Poulard-Steinmann, souvenirs de mon enfance)

Lors de la Seconde Guerre mondiale, la commune a été libérée le 22 août 1944[37].

Population et société modifier

Démographie modifier

Les habitants sont nommés les Auversois[38].

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[40].

En 2021, la commune comptait 1 277 habitants[Note 3], en diminution de 2,15 % par rapport à 2015 (Essonne : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8758839779079429309301 020990
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9329611 011947901910938417451
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
436436431392434446400495506
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
5365746398429921 0591 1511 1791 304
2018 2021 - - - - - - -
1 2721 277-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,4 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 643 hommes pour 629 femmes, soit un taux de 50,55 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,98 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[42]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
0,6 
4,7 
75-89 ans
6,2 
17,1 
60-74 ans
15,9 
21,2 
45-59 ans
22,6 
18,8 
30-44 ans
19,1 
17,0 
15-29 ans
16,2 
21,0 
0-14 ans
19,4 
Pyramide des âges du département de l'Essonne en 2020 en pourcentage[43]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,3 
75-89 ans
7,1 
12,9 
60-74 ans
13,8 
20,1 
45-59 ans
19,6 
19,9 
30-44 ans
20,1 
19,9 
15-29 ans
18,3 
21,4 
0-14 ans
19,8 

Politique et administration modifier

Politique locale modifier

La commune d'Auvers-Saint-Georges est rattachée au canton d'Étampes, représenté par les conseillers départementaux Marie-Claire Chambaret et Guy Crosnier (DVD), à l'arrondissement d’Étampes et à la troisième circonscription de l'Essonne, représentée par la députée Laëtitia Romeiro Dias (LREM).

L'Insee attribue à la commune le code 91 1 09 038[44]. La commune de est enregistrée au répertoire des entreprises sous le code SIREN 219 100 385. Son activité est enregistrée sous le code APE 8411Z[45].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[46].
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
En cours Denis Meunier UMPDVD Fonctionnaire[47]

Tendances et résultats politiques modifier

Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :

Élections législatives, résultats des deuxièmes tours :

Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores :

Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores :

Élections cantonales et départementales, résultats des deuxièmes tours :

Élections municipales, résultats des deuxièmes tours :

Référendums :

Enseignement modifier

Les établissements scolaires d'Auvers-Saint-Georges dépendent de l'académie de Versailles. Elle dispose sur son territoire d'une école élémentaire publique[63].

Santé modifier

Services publics modifier

Jumelages modifier

La commune n'a développé aucune association de jumelage.

Vie quotidienne à Auvers-Saint-Georges modifier

Culture modifier

Sports modifier

Lieux de culte modifier

 
L'église Saint-Georges.

La paroisse catholique d'Auvers-Saint-Georges est rattachée au secteur pastoral de la Vallée de la Juine-Étréchy et du diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église Saint-Georges[64].

Médias modifier

L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.

Économie modifier

Emplois, revenus et niveau de vie modifier

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 46 309 , ce qui plaçait Auvers-Saint-Georges au 658e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[65].

Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
  Agriculteurs Artisans, commerçants,
chefs d’entreprise
Cadres et professions
intellectuelles supérieures
Professions
intermédiaires
Employés Ouvriers
Auvers-Saint-Georges - - - - - -
Zone d'emploi de Dourdan 0,7 % 6,0 % 18,9 % 28,5 % 26,3 % 19,6 %
Moyenne nationale 2,2 % 6,0 % 15,4 % 24,6 % 28,7 % 23,2 %
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006.
  Agriculture Industrie Construction Commerce Services aux
entreprises
Services aux
particuliers
Auvers-Saint-Georges - - - - - -
Zone d'emploi de Dourdan 1,7 % 10,4 % 7,5 % 11,8 % 21,6 % 6,9 %
Moyenne nationale 3,5 % 15,2 % 6,4 % 13,3 % 13,3 % 7,6 %
Sources : Insee[66],[67],[68]

Culture locale et patrimoine modifier

Patrimoine environnemental modifier

Les berges de la Juine et les espaces boisés entourant le bourg ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l'Essonne[69].

La « Réserve Naturelle des Sites Géologiques de l'Essonne » protège six sites d'affleurement, de type stratotype du stampien, dont la « Carrière des Sablons ». Cette réserve a été mise en place par le décret no 89-499 du 17 juillet 1989.

Patrimoine architectural modifier

L'église Saint-Georges a été inscrite aux monuments historiques le [70].

Le pont de pierre du chemin de Vaux, XVIIe au XVIIIe siècle, permet de franchir la rivière la Juine à hauteur du moulin de Vaux[71].

Deux moulins, de Vaux et du Chagrenon, hors activité de meunerie, subsistent encore sur le territoire de la commune[72].

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique et logotype modifier

  Blason
De sinople à saint Georges à cheval terrassant le dragon, le tout contourné d'argent et soutenu de deux coquilles d'escargot du même[73].
Détails
Officiel
Alias
 
Alias du blason de Auvers-Saint-Georges
Elle a aussi un logotype.

Auvers-Saint-Georges dans les arts et la culture modifier

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Auvers-Saint-Georges », p. 335–338
  • Collectif d'auteurs, Les Fossiles Du Falun d'Auvers-Saint-Georges : Stampien, Essonne, C.D.D.P. de l'Essonne, , 86 p. (ISBN 978-2-903785-05-5)

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références modifier

  1. Fiche d'Auvers-Saint-Georges dans le Code officiel géographique sur le site de l'Insee. Consulté le 31/07/2012.
  2. Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
  3. Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
  4. Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Étampes sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
  5. Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
  6. Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
  7. Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Dourdan sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
  8. Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
  9. Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
  10. Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
  11. Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Palaiseau sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
  12. Parc naturel régional du Gâtinais français
  13. Fiche d'occupation des sols en 2008 sur le site de l'Iaurif. Consulté le 07/11/2010.
  14. « Données géographiques » sur Géoportail (consulté le 19/02/2013.)..
  15. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  16. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  17. « Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Courdimanche-sur-Essonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  18. « Station Météo-France « Courdimanche » (commune de Courdimanche-sur-Essonne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  19. « Station Météo-France « Courdimanche » (commune de Courdimanche-sur-Essonne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  20. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Unité urbaine 2020 d'Étréchy », sur insee.fr (consulté le ).
  25. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  26. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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  28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  29. « Fiche d'Auvers-Saint-Georges sur le site du Quid. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) Consulté le 01/02/2010.
  30. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 40a.
  32. ibidem
  33. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Droz, Genève, t. I, 1990, p. 680, § 11485.
  34. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
  35. Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise, éditions errance 1994, p. 200.
  36. Le Patrimoine des communes de l'Essonne, page 335, Edition Flohic, Paris, 2001, (ISBN 2-84234-126-0).
  37. J. Chapuy, "Sur la libération d’Auvers-Saint-Georges (note du 15 octobre 1944)", in Corpus Etampois.
  38. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 30/03/2009.
  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Auvers-Saint-Georges (91038) », (consulté le ).
  43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Essonne (91) », (consulté le ).
  44. Fiche communale sur le site de l'Insee. Consulté le 07/01/2010.
  45. Fiche entreprise de la commune d'Auvers-Saint-Georges sur le site verif.com Consulté le 15/03/2011.
  46. Liste des maires successifs sur la base de données mairesgenweb.org Consulté le 25/05/2009.
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  48. Résultats de l'élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/06/2009.
  49. Résultats de l'élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/06/2009.
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  51. Résultats de l'élection 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/06/2009.
  52. Résultats de l'élection législative 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/06/2009.
  53. Résultats de l'élection législative 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 20/06/2012.
  54. Résultats de l'élection européenne 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/06/2009.
  55. Résultats de l'élection européenne 2009 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/06/2009.
  56. Résultats de l'élection régionale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/06/2009.
  57. Résultats de l'élection régionale 2010 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 23/03/2010.
  58. Résultats de l'élection cantonale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/06/2009.
  59. Résultats de l'élection cantonale 2011 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 02/04/2011.
  60. Résultats de l élection municipale 2008 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/01/2013.
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