Ambronay

commune française du département de l'Ain

Ambronay
Ambronay
Vue du château d'Ambronay (ou château de Blains), mairie d'Ambronay.
Blason de Ambronay
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Belley
Intercommunalité Communauté de communes de la Plaine de l'Ain
Maire
Mandat
Vincent Mancuso
2023-2026
Code postal 01500
Code commune 01007
Démographie
Gentilé Ambrons
Population
municipale
2 833 hab. (2021 en augmentation de 8,34 % par rapport à 2015)
Densité 84 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 00′ 23″ nord, 5° 21′ 40″ est
Altitude Min. 225 m
Max. 765 m
Superficie 33,55 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Ambérieu-en-Bugey
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ambérieu-en-Bugey
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Ambronay
Liens
Site web ambronay.fr

Ambronay (prononcé [ɑ̃.bʁɔ.ne]) est une commune française, située dans le département de l'Ain en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle se situe à quelques kilomètres d'Ambérieu-en-Bugey.

Géographie modifier

 
Abbaye Notre-Dame d'Ambronay.

La commune d'Ambronay se situe au centre d’un hémicycle de moyenne montagne, au pied du contrefort le plus occidental du Bugey ; elle est bordée sur sa façade ouest par la rivière l'Ain.

Il s'agit d'une commune rurale dont le territoire compte 3 355 ha dont 720 boisés.

Le point le plus haut s'établit au lieu-dit le Morimont qui culmine à 643 m ; en plaine, le point le plus bas est à 299 m près du hameau du Genoud.


Communes limitrophes modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Bourgogne, vallée de la Saône » et « Jura »[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 184 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ambérieu », sur la commune de Château-Gaillard à 6 km à vol d'oiseau[3], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 117,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Ambronay est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Ambérieu-en-Bugey, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 15 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,7 %), forêts (24,9 %), prairies (17,1 %), zones agricoles hétérogènes (7,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,5 %), zones urbanisées (4,8 %), mines, décharges et chantiers (2,7 %), eaux continentales[Note 3] (1,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,7 %)[12].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Dans les documents médiévaux, Ambronay est mentionnée sous les formes suivantes Ambroniacus en 1193, Ambroniacum en 1225, Ambronais (v.1250), Villa Ambruniaci (1285), Ambronay (v.1325), Ambrogniacus / Ambrognacus (1339), Anbronnay (v.1341), Ambornaco (1417), Ambrunay (1465), Ambrognay (1554), Ambournay (1563), Ambronay (1613), Ambournay en Bugey (1662), Ambournay / Ambronay (1789)[13],[14].

Le toponyme de Ambronay provient très probablement d'un nom de « domaine gallo-romaine Ambroniacum, formés avec le suffixe -acum du gentilice Ambronius »[14].

Histoire modifier

La restauration des bâtiments anciens continue et fait partie des « 1000 projets » du deuxième gouvernement François Fillon. L'histoire d'Ambronay continue d'être étroitement liée à celle de la France.

Antiquité modifier

Moyen Âge modifier

Un moine irlandais y aurait initialement fondé une abbaye de femmes, puis vers l'an 800, saint Barnard, officier de la cour de Charlemagne, entreprend la restauration des bâtiments primitifs et installe un monastère obéissant à la règle de saint Benoît. Il obtient la totale indépendance de l'abbaye qui, au fil des siècles, va devenir de plus en plus puissante. Une bulle de 1051 du pape Léon IX atteste cette indépendance. Mais la convoitise et les nombreuses guerres font qu'en 1282, l'abbaye demande la protection des Savoyards. Ambronay est alors fortifiée.

En 1308[15],[Note 4], la « fameuse prise d'Ambronay » qui ne dura qu'une semaine fut le fait d'un tout petit nombre d'habitants ralliés au parti dauphinois. À cette occasion aucun homme d'arme dauphinois ne prit part à cette rébellion. Au début de l'année 1308, le prévôt d'Ambronay dispose d'une garnison « forte » de trois hommes d'armes, qui sont remplacés par d'autres tous les deux ou trois jours[16].

En 1310[17], les gens du Dauphin incendient les défenses de la ville. En 1341[18], trois jours après la Pentecôte, la moitié de la ville, l'étable, la grande tour et la tour du comte sont ravagées par un incendie.

En 1470, la ville a ses armoiries actuelles.

Époque moderne modifier

En 1601, Ambronay est rattachée au royaume de France par le traité de Lyon. Charles de Gontaut-Biron arase la tour Dauphine et le déclin continue jusqu'en 1652, date à laquelle l'abbaye est rattachée à la riche congrégation des moines de Saint Maur. De grosses restaurations sont entreprises.

Époque contemporaine modifier

La Révolution supprime les ordres religieux le et tout est dispersé à Ambronay. Le cloître est reconverti en prison. Antoine Louis Albitte, en 1793, fait abattre le clocher de l'abbaye.

Il faut attendre le pour que le chanoine Garcin et le député Alexandre Bérard obtiennent le début du classement de l'abbaye, suivi en 1905 par celui du cloître.

La ville a son aspect actuel depuis 1762. La rue principale est alors percée et perd son passage couvert, le quartier nord et deux de ses trois portes. Seule la porte de la Gargouille est conservée.

Dans la plaine, un camp militaire est installé en 1916 pour fournir le pain aux soldats du front pendant la Première Guerre mondiale. Il ferme définitivement en .

Le festival international de musique baroque est créé en 1980. En 2003, le centre culturel de rencontre d'Ambronay est ouvert.

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs[19]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1876 1892 Auguste Passerat de Silans[réf. nécessaire]    
Les données manquantes sont à compléter.
1945 1947 Jules Blanchet[20],[21] PCF Résistant FTPF
Député de l'Ain (1946 → 1951)
Médaille de la Résistance, croix de guerre
Les données manquantes sont à compléter.
1971 1983 François Beau    
1973 2001 Daniel Bénassy DVG Conseiller général d'Ambérieu-en-Bugey (2001 → 2015)
Vice-président du conseil général de l'Ain[Quand ?]
2001 2008 Gabriel Fournier UDF  
2008 avril 2014[22] Robert Greffet    
avril 2014[23] mai 2020 Gisèle Levrat DVG  
mai 2020[24],[25] mars 2023 Marie-Christine Barillot   Fonctionnaire retraitée
mars 2023   Vincent Mancuso[26]    

Démographie modifier

Les habitants de Ambronay sont appelés les Ambrones et les Ambrons, notamment sur le site de la mairie. On trouve également mentionnées les formes Ambrunois ou Ambournois[13],[27].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2021, la commune comptait 2 833 habitants[Note 5], en augmentation de 8,34 % par rapport à 2015 (Ain : +4,96 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5712 3751 8951 8821 7981 8331 7371 8131 835
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7731 7061 7281 5021 5061 4921 5011 4151 327
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2781 2821 2411 1711 2081 1641 0971 1001 216
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 0371 1931 2701 8621 9962 1462 2192 2412 328
2014 2019 2021 - - - - - -
2 5702 8002 833------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Cloître de l'abbaye Notre-Dame d'Ambronay
 
Abbatiale Notre-Dame d'Ambronay.
 
La gare d'Ambronay au début du XXe siècle.
  • Chapelle Saint-Jacques d'Ambronay.
  • Abbaye Notre-Dame d'Ambronay. Ancienne abbaye bénédictine, fondée au XIe siècle par Barnard de Romans.
  • Au titre des monuments historiques, l'abbatiale Notre-Dame d'Ambronay est classée par arrêté du  ; le cloître et la salle capitulaire font 'l'objet d’un classement par arrêté du , la tour des Archives fait l'objet d’une inscription par arrêté du , les façades et toitures de la tour Dauphine font l'objet d'une inscription par arrêté du , les parties non classées des bâtiments dits conventuels et des bâtiments de l'infirmerie font l'objet d'une inscription par arrêté du , et les bâtiments composant l'abbaye, bâtiments dits conventuels, bâtiments de l'infirmerie, logis abbatial, pigeonnier font l'objet d’un classement par arrêté du [32].
  • Bastide de Gironville ou Fort Sarrazin ou Les Terreaux. L'édifice est une ancienne maison forte fossoyée[33] du XIVe siècle dont les vestiges se dressent sur la commune au bord de l'Ain.
Elle fut bâti, vers 1330, par les dauphins de Viennois[34] dans le cadre de la guerre entre savoyards et dauphinois. Il s'agit alors d'une levée de terre renforcée par des défenses en bois. Elle ne pourra cependant éviter le passage des troupes dauphinoises marchant sur les Savoyards lors de la bataille de Varey.
La bastide est classé au titre des monuments historiques par arrêté du [35].
  • Enceinte urbaine. Des anciennes fortifications de la ville subsistent la porte de la Gargouille, la tour des Archives (XIIIe siècle ?), la tour Dauphine[36].
  • Hôtel de ville dit château de Blains ou château d'Ambronay. Cet ancien château du XVIe siècle, a été remanié au XIXe siècle.
  • Gare d'Ambronay - Priay.

Culture modifier

Labellisé Centre culturel de rencontre depuis 2003, Ambronay est un lieu de partage où la culture est accessible à chacun, un lieu d'échange ouvert sur la vie. Enfants, adolescents, amateurs, professionnels, chercheurs, étudiants, artistes internationaux, jeunes professionnels, tout le monde trouve à Ambronay un espace de création et d'épanouissement ouvert à tous.

Pour les amateurs, le Chœur du festival d'Ambronay réunit chaque année entre trente et quarante choristes autour de chefs de renom. Autour de sa réflexion artistique et de sa thématique « musique et sacré », le centre de recherche d'Ambronay a choisi de se déployer dans différentes directions : chercheurs et créateurs travaillent de concert pour en explorer les ramifications intellectuelles, humaines, sociales et artistiques.

Enfin, le Label Ambronay est distribué par Harmonia Mundi depuis 2005. Grâce au soutien des partenaires institutionnels, une nouvelle phase de restauration et de valorisation du patrimoine s'ouvre. Elle permettra aux résidences de s'épanouir et aux séminaires d'entreprises de prendre forme.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blasonnement :
De gueules au faisceau rayonnant de treize épis d'or (représentant les treize hameaux de la commune) lié du même[37].

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. N. Chorrier donne pour sa part dans son Histoire générale du Dauphiné la date de 1316, qui fut reprise par Guigue, Quinsonas, Vingtrinier, et d'autres. Cette date de 1316 étant peu probable car une trêve à peu près respectée avait été signée en 1314 à Villar-Benoît (Pontcharra). Il en est de même pour le siège et la prise de Saint-Germain.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Ambronay et Château-Gaillard », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Ambérieu », sur la commune de Château-Gaillard - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Ambérieu », sur la commune de Château-Gaillard - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a et b Histoire des communes de l'Ain, 1984, p. 52, Présentation.
  14. a et b Henry Suter, « Ambronay », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ).
  15. Alain Kersuzan, Défendre la Bresse et le Bugey - Les châteaux savoyards dans la guerre contre le Dauphiné (1282 - 1355), collection Histoire et Archéologie médiévales n°14, Presses universitaires de Lyon, Lyon, 2005, (ISBN 272970762X), p. 14-15.
  16. Nicolas Mengus, Châteaux forts au Moyen Âge, Rennes, Éditions Ouest-France, , 283 p. (ISBN 978-2-7373-8461-5), p. 169.
  17. Alain Kersuzan, ibid., p. 52.
  18. Alain Kersuzan, ibid., p. 83.
  19. « Les maires de Ambronay », sur francegenweb.org (consulté le ).
  20. Claude Pennetier, Charles Sowerwine, « BLANCHET Jules, Alfred : Né le 22 novembre 1911 à Ambronay (Ain), mort le 19 janvier 1962 à Ambronay ; cultivateur ; militant et élu communiste de l’Ain ; député (1946-1958) », Le Maitron en ligne, 20/10/2008 mis à jour le 23/12/2013 (consulté le ).
  21. « Jules, Alfred Blanchet (1911-1962) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  22. « La liste «Ambronay pour tous» sera conduite par Gisèle Levrat : Après la décision de Robert Greffet actuel maire d’Ambronay, de ne pas solliciter un second mandat, dix membres du conseil sortant ont souhaité poursuivre sur une liste apolitique, conduite par Gisèle Levrat, 60 ans retraitée et actuelle première adjointe », Le Progrès,‎ 11/10/2013 mis à jour le 30/1/2014 (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Gisèle Levrat, 1re femme maire de la commune », Le Progrès,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Marie-Christine Barillot entre dans la bataille des municipales : Actuellement deuxième adjointe au sein du conseil municipal d’Ambronay, Marie-Christine Barillot officialise sa candidature en tant que tête de liste aux prochaines élections municipales en 2020 », Bugey Côtière,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Après avoir accompli un mandat en tant que conseillère municipale, suivi par un mandat en qualité d’adjointe, je pense avoir bien compris le fonctionnement d’une commune ».
  25. « Ambronay - Marie-Christine Barillot est la nouvelle magistrate », La Voix de l'Ain,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Marie-Christine Barillot a été élue à la majorité avec 18 voix pour et 5 abstentions du côté de l'équipe minoritaire représentée par Vincent Mancuso ».
  26. « Vincent Mancuso élu nouveau maire », Le Progrès, .
  27. Gentilé, sur habitants.fr
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « Abbaye (ancienne) », notice no PA00116291, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. Action thématique programmée en archéologie métropolitaine : "inventaire des fortifications de terre" (groupe Rhône-Alpes), Château de Terre : de la motte à la maison-forte - histoire et archéologie médiévales dans la région Rhône-Alpes, juin 1987-décembre 1988, p. 6.
  34. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 16 (cf. Ambronay).
  35. « Bastide de Gironville dite Fort Sarrazin », notice no PA00125733, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du Moyen Âge en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 28e éd. (1re éd. 1979), 1304 p. (ISBN 2-86535-070-3, OCLC 1078727877), p. 30.
  37. Banque de blason, sur labanquedublason2.com (section “communes de France” puis “01” puis “Ambronay”)

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Louis Trénard et Raymond Chevallier, Histoire des communes de l'Ain : Le Bugey, Roanne, Éditions Horvath, , 503 p. (ISBN 978-2-7171-0314-4).

Articles connexes modifier

Liens externes modifier