(22753) 1998 WT

Astéroïde Apollon
(22753) 1998 WT
Caractéristiques orbitales
Époque (JJ 2458200,5)[1]
Établi sur 904 observ. couvrant 22748 jours (U = 0)
Demi-grand axe (a) 182,361 × 106 km[1]
(1,219 00 ua)
Périhélie (q) 78,436 × 106 km[1]
(0,524 31 ua)
Aphélie (Q) 286,285 × 106 km[1]
(1,913 70 ua)
Excentricité (e) 0,57[1]
Période de révolution (Prév) 492 j
(1,35 a)
Inclinaison (i) 3,20°[1]
Longitude du nœud ascendant (Ω) 307,42°[1]
Argument du périhélie (ω) 324,7°[1]
Anomalie moyenne (M0) 207,7°[1]
Catégorie Astéroïde Apollon[1],[2]
Caractéristiques physiques
Magnitude absolue (H) 17,7[1],[2]
Albédo (A) 0,138

Découverte
Date le [1],[2]
Découvert par le projet Lincoln Near-Earth Asteroid Research (LINEAR)[1],[2]
Lieu Socorro, Nouveau-Mexique (États-Unis)[2]
Désignation 1998 WT[1],[2]

(22753) 1998 WT est un astéroïde Apollon potentiellement dangereux découvert en 1998.

Description modifier

(22753) 1998 WT a été découvert le à l'observatoire Magdalena Ridge, situé dans le comté de Socorro, au Nouveau-Mexique (États-Unis), par le projet Lincoln Near-Earth Asteroid Research (LINEAR).

Caractéristiques orbitales modifier

L'orbite de cet astéroïde est caractérisée par un demi-grand axe de 1,22 UA, un périhélie de 0,52 UA, une excentricité de 0,57 et une inclinaison de 3,20° par rapport à l'écliptique[1]. Du fait de ces caractéristiques, à savoir un demi-grand axe supérieur à 1 UA et un périhélie inférieur à 1,017 UA, il est classé comme astéroïde Apollon[1]. Il est en outre considéré comme un objet potentiellement dangereux, car sa distance minimale à l'orbite terrestre est inférieure à 0,05 UA et son diamètre est d'au moins 150 mètres[3]

Caractéristiques physiques modifier

(22753) 1998 WT a une magnitude absolue (H) de 17,7 et un albédo estimé à 0,138.

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Références modifier

  1. a b c d e f g h i j k l m n o et p (en) « (22753) 1998 WT » [html], sur le site du Jet Propulsion Laboratory (consulté le )
  2. a b c d e et f (en) « (22753) 1998 WT » [html], sur le site du Centre des planètes mineures (consulté le )
  3. (fr) Tristan Ferroir, ENS Lyon, « Chute de météorites : flux et risques », Planet-Terre,