Émilie Brout & Maxime Marion

Duo d'artistes Française et Franco-Luxembourgeois
Émilie Brout & Maxime Marion
Émilie Brout & Maxime Marion, 2021
Naissance
Nationalité
Activité
Formation
Site web

Émilie Brout & Maxime Marion, nés en 1984 et 1982, sont un duo d'artistes vidéastes franco-luxembourgeois.

Biographie modifier

Émilie Brout & Maxime Marion commencent leur collaboration durant leurs études à l'École nationale supérieure des arts décoratifs de Paris[1].

Leur travail a intégré des collections telles que celles du Centre Pompidou[2] et de FRAC (Fonds Régionaux d'Art contemporain)[3] à travers la France, et a été largement couvert par des médias tels que Zérodeux[4], Le Monde[5], Arte[6], Les Inrocks[7], Libération[8], Beaux-Arts[9], Frieze[10], Observer[11] ou BBC[12]. Ils ont été exposés dans des institutions internationales tels que le KW Institute for Contemporay Art[13], le Centre Pompidou[14], le Casino Luxembourg, le BPS22 ou encore le MAC VAL, et ont notamment bénéficié d'expositions personnelles à la Chaufferie (Haute École des arts du Rhin, Strasbourg), la Villa du Parc (Annemasse) et aux galeries 22,48 m² (Paris) et Steve Turner (Los Angeles).

Démarche artistique modifier

Les œuvres d’Émilie Brout & Maxime Marion explorent les usages, le langage et la culture à l’heure d’Internet, notamment la circulation des images en ligne et leur mise en récit. Avec la vidéo, l'installation et le web comme médiums de prédilection, les artistes interrogent ainsi au fil de leurs recherches les relations qui distinguent une œuvre d’art d’un produit de consommation, un objet de sa représentation idéalisée[15].

Références modifier

  1. François Salmeron, « Émilie Brout & Maxime Marion : l'amour en ligne », Le Quotidien de l'art,‎ (lire en ligne, consulté le )
  2. Net Plus Ultra, « Le Centre Pompidou fait entrer des NFT dans ses collections », France Inter,‎ (écouter en ligne)
  3. « Base du réseau Videomuseum » (consulté le )
  4. Sophie Lapalu, « Émilie Brout & Maxime Marion : deux gouttes naviguant à travers le vide », Zérodeux,‎ (lire en ligne, consulté le )
  5. Emmanuelle Jardonnet, « Un premier round réussi pour la foire Around Video à Lille », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  6. Tracks, « Émilie Brout & Maxime Marion », Arte,‎
  7. Ingrid Luquet-Gad, « Frankenstein à l’ère de l’IA : un duo d’artistes update le mythe avec succès », Les Inrocks,‎ (lire en ligne, consulté le )
  8. Clémentine Mercier, « Great Stories : à l'amour comme à la guerre », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le )
  9. Sarah Ihler-Meyer, « Quand les jeunes artistes rêvent de cyborgs », Beaux-Arts,‎ (lire en ligne, consulté le )
  10. (en) Wilson Tarbox, « Critic's guides: what to see in Paris during FIAC », Frieze,‎ (lire en ligne, consulté le )
  11. (en) Guelda Voien, « Art Worlds Descends On Brussels », Observer,‎ (lire en ligne, consulté le )
  12. (en) Dougal Show, « The woman who became a corporation », BBC,‎
  13. (en) « Poetics of Encryption », sur KW Institute of Contemporary Art, (consulté le )
  14. Ingrid Luquet-Gad, « À Paris, le Centre Pompidou présente ses NFT selon un parti pris curatorial d’une grande finesse », Les Inrocks,‎ (lire en ligne, consulté le )
  15. « Émilie Brout & Maxime Marion », sur Centre Pompidou, (consulté le )