Église Santissimo Nome di Maria
Ne doit pas être confondu avec Église Santissimo Nome di Maria al Foro Traiano.
L'église Santissimo Nome di Maria (en français : église Très-Saint-Nom-de-Marie) est une église romaine située dans le quartier Appio-Latino sur la via Centuripe à proximité de la via Latina.
| Église Santissimo Nome di Maria | |
| Présentation | |
|---|---|
| Nom local | Chiesa del Santissimo Nome di Maria |
| Culte | Catholique romain |
| Type | Église paroissiale |
| Début de la construction | XXe siècle |
| Fin des travaux | 1980 |
| Style dominant | Architecture moderne |
| Géographie | |
| Pays |  Italie |
| Région | Latium |
| Ville | Rome |
| Coordonnées | 41° 52′ 16″ nord, 12° 30′ 41″ est |
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Historique modifier
L'église fut construite sur les plans de l'architecte Aldo Ortolani. Son érection est terminée en 1980 et elle est consacrée le . L'église était déjà siège paroissial depuis le avec le décret Quo uberius du cardinal Clemente Micara et allouée aux religieux de la Société de Marie. Le , elle devient le siège du titre cardinalice Santissimo Nome di Maria a Via Latina institué par le pape Jean-Paul II qui y fait une visite paroissiale le . Le titulaire en est actuellement le cardinal Gaudencio Rosales, archevêque métropolite de Manille aux Philippines[1]. La fête patronale de la paroisse est le Saint Nom de Marie, le qui est par ailleurs la fête patronale de la Société de Marie (Marianistes).
Architecture et décorations modifier
L'église est entièrement construite en béton selon une architecture moderne. La façade se compose d'un portail unique. Un pilier situé à la droite de l'église porte une croix. L'intérieur est constitué d'une nef unique et avec système particulier d'éclairage naturel filtrant au travers de fins vitraux bleus entourant les angles des murs diffusant une lumière très particulière dans l'église.
Notes et références modifier
- Fiche de Gaudencio Rosales sur le site officiel du Vatican
Annexes modifier
Bibliographie modifier
- C. Rendina, Le Chiese di Roma, Newton & Compton Editori, Milan 2000, p. 270.
